La Raison Selon Descartes

Matière et l'esprit Plan : 1) Problème : Y'a-t-il une autonomie de l'esprit ou doit on réduire l'esprit à la matière ? 2) L'esprit sans la matière a) le dualisme et le monisme chez Spinoza et Descartes b) la spiritualisation de la matière c) La réduction du monde et de la perception : esse est percipi + Kant et la réfutation de l'idéalisme 3) Les enjeux : matérialsime, spiritualisme et humanisme 1) Y'a t-il une autonomie de l'esprit ou doit on réduire l'esprit à la matière ? La réflexion

L’homme est un animal métaphysique […] Avoir l’esprit philosophique, c’est être capable de s’étonner des évènements habituels et des choses de tous les jours, de se poser comme sujet d’étude ce qu’il y a de plus général et de plus ordinaire […]. » Selon lui, philosopher, c’est aller contre l’attitude naturelle de ne pas remarquer qu’on existe. L’homme est un animal métaphysique car il sait qu’il existe et qu’il est mortel. Exister, pour un être humain, ce n’est pas seulement vivre mais c’est également

d'un protocole expérimental. Après avoir interrogé les phénomènes, la raison élabore des hypothèses. L'expérience sensible, dominée par les principes de la raison, rend compte de la validité et de la conformité des hypothèses. La théorie expose donc le résultat de cette dialectique où raison et expérience s'éprouvent l'un l'autre. L'objet vivant peut donc être soumis en propre à la science comme phénomène naturel que la raison rencontre. D'ailleurs, il est une discipline scientifique dont la finalité

Discours de la méthode, René Descartes : 1. Qu’est- ce que Descartes cherche à faire comprendre au sujet de l’esprit humain? Il explique que le bon sens est un aspect bien partagé puisqu’il est universel mais qu’il y a de bonnes et de mauvaises façons de l’utiliser. Le bon sens diffère d’une personne à l’autre puisqu’il est parcouru (chemin pour découvrir le bon sens) et vu (considéré, visions) de différentes façons. Il explique que pour la plupart des êtres humains croient en être si bien pourvus

document utilisé pour l’analyse philosophique Oeuvre : La mort d’Ivan Ilitch de Tolstoï (page 56 à 60) Ivan Ilitch, personnage principal de l’histoire, se rend compte qu’il est en train de mourir et il est dans un désespoir des plus intenses. Selon la logique de Kiesemetter qui mentionnait : « Caius est un homme, tous les hommes sont mortels, donc Caius est mortel ». Ivan ne considérait pas que cette affirmation s’appliquait pour lui. Ainsi, il ne veut pas penser à la mort puisque celui-ci considère

d’examiner la place qu’elle occupe dans la philosophie de Descartes. Historiquement, c’est Descartes, en effet qui a posé la conscience de soi comme la terre natale de la vérité, comme cette certitude résistante ou doute et permettant d’avancer dans la voie de la science à partir d’un point fixe et assurer.   I. Les problèmes de conscience chez Descartes :   Le discours de la méthode est une sorte d’autobiographie intellectuelle par laquelle Descartes retrace son itinéraire spirituel c'est-à-dire les

C'est à partir de Descartes que la notion de conscience réflexive c'est élaborer. C'est Descartes qui a découvert la conscience réflexive et a donc donné naissance à la psychologie. Cogito → Cogitare = penser = je pense « Je pense, donc je suis. » Descartes Méditations Métaphysiques (Au-delà de la nature) Fait expérience de l'intériorité d'une pensée qui est capable de se saisir elle même, en faisant abstraction de tout le reste en dehors de cette pensée. La philosophie de Descartes : Elle poursuit

Terminale 2Fiche synthèse :« Le Discours de la Méthode » , Descartes I. 1ère Partie : Considération touchant les sciences «  Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée  », ainsi Descartes premièrement définit le bon sens

Y A-T-IL UN CRITÈRE ULTIME DU VRAI ? [Ou la vérité ?] [Problématique progressive mixte, nous réfutons Descartes et Leibniz, nous gardons Goedel et Kant.] INTRODUCTION: Autrement dit, pour qu’il y ait vérité, deux conditions doivent être remplies : Il faut que de l’être me soit donné, que quelque chose me soit donné, mais aussi que cette vérité soit vraie pour le sujet connaissant, c’est-à-dire, pour un sujet vrai déclarant la vérité de l’état de chose jugée. Mais ces deux caractères fondamentaux

constente de la conscience. 1. Si la conscience suffisait pour être libre alors les animaux seraient libres car ils sont eux aussi dotés de conscience. Bien entendu Descartes réservait la pensée et l’âme aux seuls êtres humains mais les recherches en éthologie (étude du comportement animale) ont largement mis en cause l’idée cartésienne selon laquelle les animaux ne sont que des machines déterminées tandis que l’homme a un corps dirigée par une âme libre. Les grands singes, les dauphins et les éléphants