La Reine Morte Dénouement

d’exposition du début jusqu’à « tyrannie ». 2.- Acte II Dora et Kaliayev : depuis « Kaliayev la regarde. Kaliayev, après un silence. Personne ne t’aimera jamais comme je t’aime (…) Kaliayev, avec violence. Le lendemain. » 3.- Le dénouement depuis « Dora. Non, je veux savoir. Sa mort du moins est à moi. » jusqu’à la fin. Études d'ensemble : La structure de la pièce, la construction des personnages et de leurs rapports, l’actualité de la pièce aujourd’hui, « les Justes »

la poussière du couchant »[20]. C’est là que Médée use de toute sa ruse pour lui demander ce jour capital : « Créon, tu as une fille ». Et lorsque Créon lui demande de ne surtout pas toucher à Créuse, Médée lui dit que la sorcière est morte, que ses mains ne sont plus vertes des sucs ni des poisons…[21] Elle fait appel à son amour filial pour lui dire qu’elle désire profiter un jour encore de ses fils, la seule chose qu’il lui reste sur la terre. « Pitié, roi, pour la pauvre Médée…

presentede Maximiien Chi REX eret a cels dis soure pagiens. Il li enortet, dont lei nonque chielt, Qued elle fuiet lo nom christiien. Ell‘ent adunet lo suon element, Melz sostendreiet les empedementz Qu‘elle perdesse sa virginitet: Por o‘s furet morte a grand honestet. Enz enl fou la getterent, com arde tost: Elle colpes non avret, por o no‘s coist. A czo no‘s voldret concreidre li REX pagiens, Ad une spede li roveret tolir lo chief. La domnizelle celle kose non contredist, Volt lo seule lazsier

donna à la reine sa femme. La reine vendit ces ladies à Guillaume Penn. Il est probable que ce roi avait une remise et tant pour cent. Ce qui étonne, ce n’est pas que Jacques II ait vendu ces femmes, c’est que Guillaume Penn les ait achetées. L’emplette de Penn s’excuse, ou s’explique, par ceci que Penn, ayant un désert à ensemencer d’hommes, avait besoin de femmes. Les femmes faisaient partie de son outillage. Ces ladies furent une bonne affaire pour sa gracieuse majesté la reine. Les jeunes

un besoin aristocratique de s'élever par ses talents au-dessus de la masse médiocre et anonyme et de se faire distinguer comme lors de la soirée passée avec l'évêque de Besançon (chapitre 29). L'évanouissement de Mme de Rênal, préfiguration du dénouement Dans la cathédrale de Besançon, Julien aperçoit Mme de Rênal, qu'il n'a pas vue depuis des mois, agenouillée dans le confessionnal. Lorsqu’elle. entend le bruit des pas de Julien, elle détourne la tête : elle « jeta un petit cri et se trouva

Cette mort le vengeait ; la Reine avait jadis Étranglé sa femme et son fils. Bref, il ne pleura point. Un flatteur l’alla dire, Et soutint qu’il l’avait vu rire. La colère du Roi, comme dit Salomon, Est terrible, et surtout celle du roi Lion : Mais ce Cerf n’avait pas accoutumé de lire3. Le Monarque lui dit : Chétif hôte des bois Tu ris, tu ne suis pas4 ces gémissantes voix ! Nous n’appliquerons point sur tes membres profanes Nos sacrés ongles ; venez, Loups, Vengez la Reine, immolez tous Ce traître

Jean-Pierre sarrazaC, L’Avenir du drame, Éditions de l’Aire, 198l. – Anne uBersfeLD, Lire le théâtre, Éditions sociales, 1977. 1 Les genres mixtes La tragi-comédie TexTe 1 ➜ p. 108 Corneille, Le Cid n 1. Situation du texte L’étude du dénouement du Cid met en lumière deux caractéristiques de la tragi-comédie : une fin heureuse et les libertés prises avec les règles de bienséance et de vraisemblance. On peut ainsi mieux comprendre 66 • Chapitre 2 • Le théâtre : texte et représentation

refuse. Malgré cela, sous le sceau du secret, la nourrice dévoile à Hippolyte la passion de sa belle-mère. Le jeune héros s'enfuit, horrifié par la passion que lui voue la reine. Phèdre maudit sa nourrice, et, torturée par la honte, voulant fuir le déshonneur, se pend. Alors survient Thésée qui découvre, attachée au cou de sa femme morte, une tablette par laquelle elle accuse calomnieusement Hippolyte d'avoir tenté de la violer. Ce dernier, mis en présence de son père, essaie en vain de se défendre. Thésée

roi Robert La reine Cersei (née Lannister) Le prince Joffrey (fils, 12 ans), héritier du trône de fer La princesse Myrcella (fille, 8 ans) Le prince Tommen (fils, 7 ans) Maison Stark (Seigneur de Loup-Garou) Eddard, Winterfell Catelyn, sa femme, née Tully Robb (14 ans) Sansa (11 ans) Arya (19 ans) Bran (7 ans) Rickon (3 ans) Jon Snow (le bâtard, 14 ans) Jorry Cassel, capitaine de garde Maison Lannister (Le Lion) Tywin Lannister, seigneur de Castral Roc Ser Jaime (frère jumeau de la reine Cersei) Tyrion

sonorités s'agitent tels des sonnettes d'alarme. Les Smith et les Martin sont des personnages sans psychologie, des marionnettes mues par un langage purement social, des coquilles vides d'êtres, des pantins grotesques traversés par la multiplicité morte d'un texte qui aveugle. Ils se battent à coup de mots, car ils ne parviennent à s'accorder ni sur le langage, ni sur le sens que l'on peut attribuer aux événements de la réalité. L'accumulation de coïncidences est soulignée par le retour de la formule