La Rente Ricardo

la critique de la théorie classique de l'équilibre automatique. Le développement contemporain du chômage est souvent présenté par les néoclassiques comme une réfutation de la théorie keynésienne par les faits. C'est de bonne guerre. Keynes jugeait Ricardo très cohérent mais sans pertinence avec la réalité. Pourtant, il n'est pas certain que l'industrialisation volontariste du Mexique soit très orthodoxe. Elle n'a pas tenu compte de l'existence d'un marché mondial. L'investissement mexicain a créé des

internationale du travail = Théorie de Ricardo (même schéma que celui de Smith au niveau des individus) = spécialisation des nations du fait du processus du marché dans l'activité où on réussit le mieux + interdépendances des individus réglées par le marché. Pour Ricardo, individu // nation = > prône le libre-échange, facteur de richesse pour tous => négation de la possibilité d'un appauvrissement des nations par le commerce international. Faille de la théorie de Ricardo = lorsque deux activités sont équivalentes

disciple dans toute l'Europe. (c'est un touriste avant l'heure ! ) Il rencontre alors Voltaire, les physiocrates et surtout Quesnay et les encyclopédistes (surtout Helvétius, rédacteur de l'article "Epingle"). De retour en Ecosse, il bénéficie d'une rente à vie (pour service rendu). CONTEXTE ECONOMIQUE, SOCIAL & POLITIQUE Conjoncture économique très favorable en GB : Smith assiste à la 1e R.I. (1785-1805 environ, selon Rostow) 1776 : Déclaration d'Indépendance américaine 1783 : Victoire

mondial. En 2011, la part des exportations africaines est de 3.3% du commerce mondial. (Mauvaise spécialisation. Spécialisée dans la production des produits primaires dont les couts sont volatils. Aussi, la baisse de certains produits agricoles, la rente commerciale est en baisse. Les pays ont moins de réserve de change, les dépenses publiques diminuent, donc moins de dépenses publiques et dont moins d'exportations.) -Le moyen Orient bénéficie de la hausse du cout du pétrole. - La mauvaise spécialisation

mercantilisme annonçaient déjà certaines thèses smithiennes. On le sait, toute pensée économique fleurit sur un terreau constitué des doctrines économiques héritées du passé. Ricardo ne fait pas exception : il se nourrit de J.-B. Say, de Malthus et… d’Adam Smith. 3. DAVID RICARDO5 3.1. La loi dite des «coûts comparatifs» David Ricardo connaissait son Adam Smith sur le bout des doigts. Il lui emprunte globalement un ensemble de concepts et de thèses : les bienfaits de la division nationale et de la division

quand bon lui semble un certain nombre d'action à un certain prix. Achat pour 100 de quelque chose qui vaut 120. Intérêt à faire en sorte que le cour de l'action augmente. Idée que la propriété à tendance à étouffer l'entreprise. La propriété que Ricardo avait en vue était la propriété foncière. Keynes se réfère à la propriété financière. Toute économie à la conjoncture de sa structure. Les règles du jeu déterminent le fonctionnement du jeu... 1 L'égalité des ressources = emplois Principe de

salaire, dont la division est synonyme de spécialisation et de productivité accrue ; le capital, qui fournit un profit et qui provient du revenu des particuliers ; la terre, dont le propriétaire perçoit la rente. Le montant du produit est supérieur au coût de production car il inclue la rente. Le produit du travail n'appartient donc pas en totalité au travailleur. C'est de cette notion que Marx s'inspire d'ailleurs pour sa théorie de l'exploitation et de la plus-value. Smith a souvent servi de référence

l’environnement n’était pas dynamiques aux echanges. 2eme loi : « loi de rendement décroissant » chez les Classiques différent de celle donnée par Ricardo qui colle a la loi de Malthus. Selon Ricardo, si la pop augmente, on est conduit a utiliser des terres de moins en moins fertile ce qui diminue le rendement de la terre ; s’il diminue consequence est que la rente que percoive les proprietaires terriens diminuent que les prix des denrées alimentaires augmentent et qu’en vertu de la necessité d’un salaire

pertes en capital. Il y a donc une relation inverse entre le prix des titres et le taux d’intérêt. Ex : obligation 1 = 100 € avec i1 = 10% et rente = 10 € Obligation 2 = 100 € avec i2 = 5 % et rente = 5€ Donc on va continuer à acheter les obligations 1 jusqu’à ce qu’elles atteignent 200 € car quand obligation 1 = 200 € avec i1 = 10% et rente = 5 €. Donc c’est à partir de là qu’on commencera à acheter les obligations 2. Le 3ème motif est dominé par l’esprit de spéculation c'est-à-dire

on peut considérer que seule la quantité de travail utilisée pour produire un bien détermine sa valeur d’échange ; dans une économie avancée la formation des prix est plus complexe, et se décompose en trois éléments : le salaire, le profit, et la rente foncière ou fermage, qui sont la rémunération des trois facteurs de production : le travail, le capital, et la terre. Smith distingue également trois secteurs d’activité : l’agriculture, la manufacture, et le commerce. Les distinctions entre les facteurs