La Rente Ricardo

(certains pays ont des avantages absolus pour la plupart des productions dès lors que leur main d'œuvre est moins coûteuse), David Ricardo prône également le libre-échange, mais basé sur les avantages relatifs : chaque pays a intérêt à se spécialiser dans la production des biens pour lesquels il dispose d'une avantage interne en termes de coûts de production. Selon Ricardo, le libre-échange apparaît comme un jeu à somme positive d'autant plus bénéfique que les échanges internationaux induisent une augmentation

précieux en provenance du nouveau monde et tente de formuler une loi selon laquelle | | | |le pouvoir d’achat des monnaies est inversement proportionnel à la quantité d’or et d’argent existant dans un pays. Cette loi, | | | |reformulée par RICARDO (1817) puis par Irving FISHER (1911), est connue sous le nom de théorie quantitative de la monnaie : | | | |

à l’afflux de métaux précieux en provenance du nouveau monde et tente de formuler une loi selon laquelle le pouvoir d’achat des monnaies est inversement proportionnel à la quantité d’or et d’argent existant dans un pays. Cette loi, reformulée par RICARDO (1817) puis par Irving FISHER (1911), est connue sous le nom de théorie quantitative de la monnaie : M.V = P.Y M : masse monétaire V :  vitesse de circulation de la monnaie P : niveau général des prix Y : niveau de la production   3 - Les variantes

(1766-1734), il publie «  essais sur le principe de population » en 1820. C’est un ouvrage célèbre porteur d’une vision pessimiste sur l’avenir de l’humanité, notamment avec « le monde est menacé d’un raz-de-marée démographique ». Ensuite, David Ricardo (1772-1863) publie «  les principes d’économie politique et de l’impôt  ». On a ensuite John Stuart Mill avec « les principes de l’économie politique » qu’il publie en 1748. Enfin, école française avec 2 auteurs. Jean-Baptiste Say (1767-1832), il

toxiques, des voitures volées (BM). Cela permet à l’Afrique d’être intégrée à la mondialisation par une économie informelle. Maillon faible de la mondialisation en termes d’avantages comparatifs, Une des grandes lois du libéralisme, Ricardo, c’est que chaque pays se spécialise dans ses avantages comparatifs : En Afrique on constate la faiblesse de l’Etat et la capacité à faire de l’illicite. Province quasi-autonome, ou état entrepôt (Djibouti, Benin), et des réglementations facilement

micro-économiques. En effet, il s’agit, dans cette perspective de comprendre les mécanismes fondamentaux du capitalisme quels que soient les jugements que l’on adopte et que l’on développe à son endroit (pour ou contre). Qu’il s’agisse d’Adam Smith ou de David Ricardo (pour) ou de Marx (contre), l’objectif visé, au travers du processus d’accumulation, consiste à répondre à la question du « pourquoi ? » du capitalisme, de son fonctionnement et de sa logique interne ; à cet égard, une telle démarche s’est vu affectée

de la croissance souhaitée (Chine) -épuisement des ressources naturelles + sur-consommation + problème du réchauffement climatique -si la population croit sans connaître de freins nous sommes tous liées à la pauvreté perpétuelle Chapitre 3 : Ricardo -investisseur avisé et très doué : connait le fonctionnement des marchés financiers La théorie des avantages comparatifs et le commerce international -pensée libérale : chacun pour son intérêt va se spécialiser pour que production & consommation

richesse de la nation est considéré comme le point de départ de l’école classique. A Smith l’écrit après un voyage en France et la rencontre avec François Quesnay. Les successeurs de Smith représentant l’école classique sont : - L’anglais David Ricardo (1772-1823) qui a écrit « principes de l’économie politique et de l’impôt » en 1817. Il présente une vision d’ensemble de l’économie industriel anglaise de son époque. Il développe également une théorie originale des échanges internationaux.

l’obtenir tout serait simple mais dans le prix il y a le profit du capital et la (rente financière ) les profits se règlent sur le capital employé et les rentes du sol ne sont pas une rémunération d’un travail les rapports entre les prix des marchandises et leurs coûts en travail seraient pour Adam Smith plutôt vérifiable dans l’époque précédente l’accumulation des capitaux et l’appropriation des sols cependant pour David Ricardo l’explication des marchandises par leurs contenus de travail est valable aussi

étroitement liée au produit intérieur brut (PIB) ou produit national brut (PNB)". a- Le modèle classique: Les premiers économiques qui ont posé les premiers jalons d'une théorie de la croissance sont: Adam Smith (1776) et David Ricardo (1819). Ils ont présenté la croissance comme étant l'accumulation, c'est-à-dire l'ensemble des moyens de productions mis à la disposition des travailleurs, en effet, plus la répartition de capital par tête est élevée plus la richesse par tête augmente