La Revolution Marginaliste Les Neoclassique

des classiques) « l’augmentation de la production pour faire face a l’augmentation de la population oblige a mettre en culture des terres de moins en moins fertiles, ce qui diminue le rendement global de la terre ». La version donnée par les marginalistes « lorsque dans une production on augmente successivement la quantité d’un facteur de variable alors que l’autre reste fixe, on constate dans un premier temps que la productivité de ce facteur augmente et que celle-ci diminue dans un second temps

Apparaissant progressivement entre le XVIIe et le XVIIIe siècles, formalisé comme idée et mis au centre de l’explication économique par A. Smith, il est repris sous une forme qui explicite sa dimension normative par les auteurs de la «  révolution marginaliste  » (C. Menger, W. S. Jevons et L. Walras3), à l’origine de la théorie néo-classique. Le marché désigne un lieu abstrait de rencontre entre des individus offreurs et demandeursd’une marchandise, tous définis par une nature rationnelle; autour

principaux concepts : L'économie est une façon de poser des problèmes, c'est une conception du monde qui n'a pas toujours existé. Il va émerger dans le contexte européen des grandes découvertes. La naissance de l'économie est contemporaine de la révolution industrielle. Chapitre 1: La doctrine mercantiliste : La période du mercantilisme s'étend entre 1450 et 1750: de la fin de la Guerre de cent ans à la fin du règne de Louis XV. Par mercantilisme, on n'entend pas une école politique constituée

économiques. En effet, les dirigeants économiques prennent la plupart de leurs décisions en référence à des courants théoriques. Ainsi, la théorie keynésienne a conduit aux politiques de relance, le monétarisme à la rigueur monétaire. Le renouveau néoclassique a inspiré de nombreuses politiques libérales au cours de la décennie quatre-vingts. Plus particulièrement, le reaganisme s'appuyait sur la réflexion des économistes de l'offre. Aujourd'hui, les théories de la croissance endogène réhabilitent le

(non provoqué notamment par un refus de travail des personnes estimant insuffisant le salaire versé) permanent qui ne se résoudra pas de lui-même, et proclame une nécessité de l'Etat dans la vie économique. Par opposition au modèle classique (et néoclassique), Keynes propose une analyse macro-économique en termes de flux globaux, où la monnaie joue un rôle primordial. Pour lui, le chômage provient d'une insuffisance la demande effective, qui engendre un équilibre de sous-emploi. Il n'existe aucun

l’analyse économique. 4 ans après la publication du capital, la théorie de la valeur travail est critiquée puis progressivement abandonnée par la suite. 1871 : révolution marginaliste CHAPITRE 6 : Origines et fondements de la pensée néoclassique : économie politique de WALRAS La pensée néoclassique prend sa source dans une révolution théorique qui se produit dans les années 1870 et qui est le fait de trois auteurs : JEVONS, MENGER KARL, WALRAS (1874). Ces 3 auteurs ont en commun de mettre en

| |François QUESNAY, médecin de la Marquise de Pompadour et de Louis XV, le fondateur de la physiocratie Autour de François Quesnay on | | | |trouve différentes personnalités : des nobles comme le Marquis de MIRABEAU (le père du Mirabeau de la révolution), des juristes comme| | | |LE MERCIER DE LA RIVIERE, LE TROSNE et des hommes d’affaires comme DUPONT DE NEMOURS (qui s’installera en Amérique plus tard pour | | | |fonder les usines chimiques du même nom) et un ecclésiaste : l’abbé BAUDEAU

d’un homme : François QUESNAY, médecin de la Marquise de Pompadour et de Louis XV, le fondateur de la physiocratie Autour de François Quesnay on trouve différentes personnalités : des nobles comme le Marquis de MIRABEAU (le père du Mirabeau de la révolution), des juristes comme LE MERCIER DE LA RIVIERE, LE TROSNE et des hommes d’affaires comme DUPONT DE NEMOURS (qui s’installera en Amérique plus tard pour fonder les usines chimiques du même nom) et un ecclésiaste : l’abbé BAUDEAU. Ils seront représentés

. . . . . . . . . . 2.2.1 La position de Marx face aux classiques . . . . . . . . . . . . 2.2.2 La théorie de la valeur-travail et la notion d’exploitation . . . 2.2.3 L’inéluctabilité de la crise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3 Les néoclassiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3.1 Un renouveau de l’école classique . . . . . . . . . . . . . . . 2.3.2 L’école de Lausanne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3.3 L’école de Cambridge . . . . . . . . . .

Microéconomie Introduction : Préjugé : microéconomie = dure car trop formalisée Elle s’est mathématisée et coupée de ses racines historiques. Aujourd’hui c’est la théorie néoclassique qui est dominante en microéconomie (recherche, enseignement) Prix nobels d’économie = néoclassiques Classiques : Smith, Ricardo Ils démontrent l’avantage du libéralisme économique avec une démarche nouvelle (néo) Les classiques se concentraient sur les groupes sociaux, les néo sur l’individu (individualisme