La Revolution Marginaliste Les Neoclassique

l’augmentation de la population, que va découler « l’état stationnaire ». La variable déterminante du développement humain après 1800 fut la libération de la vitesse technologique. La révolution industrielle constitue donc la première rupture de l’économie humaine avec l’économie naturelle. Et c’est l’école marginaliste qui va libérer l’économie de la terre en annonçant la possibilité d’une croissance perpétuelle en se basant sur cette industrialisation rapide du XIXème siècle. Pour Stanley JEVONS

la fois le peuple et le souverain ». Alfred MARSHALL a publié en 1907 le livre «Principes d’économie politique », ouvrage dans lequel il tenta de synthétiser les auteurs de l’économie politique classique dont Smith et les auteurs de la pensée marginaliste dont Léon WALRAS. Selon lui, l’économie politique est une étude l’humanité dans les affaires de la vie : elle examine la partie de la vie individuelle et sociale qui se rapporte à l’acquisition et à l’usage des choses matérielles nécessaires au

la pensée économique. Il existe plusieurs courants de pensée, mais nous étudierons les plus représentatifs ; il s’agit : - de la pensée classique - de la pensée néoclassique - de la pensée keynésienne - de la pensée marxiste - et les développements contemporains de la pensée libérale néo-classique Au cœur de la révolution industrielle et principalement dans le pays qui en fut le creuset : le ROYAUME UNI, se constitue la pensée classique qui marque encore largement les théories économiques

propriétaire (Aristote). Cependant on est quand même conscient des défauts de cette hypothèse ce qui a amené cette hypothèse à être concurrencé par une hypothèse de valeur travail. La valeur utilité ressurgira avec la révolution marginaliste. La valeur utilité avant la révolution marginaliste : A la fin du 18 siècle, un écossais Adam Smith dans un ouvrage en 1776 au titre la richesse des nations, résume l’ensemble des objections faites à la fonction utilité dans un paradoxe. Smith pose la

a aussi les néo-classiques qui mettent de « l’eau dans leur vin », nuance leur propos et ont une vraie définition de l’état. - Les libéraux interventionnistes (Keynes & marginalistes). Ils laissent le maximum de place au marché, mais il y a des imperfections que l’état doit corriger, mécanisme tempéré. Dans les marginalistes il y a surtout Pareto et Samuelson. Et l’on distingue un sous mouvement avec la théorie des besoins publics (Kolm & Musgrave), ils essaient de synthétiser les libéraux interventionnistes

montrent une nouvelle fois que l’histoire économique du capitalisme industriel est rythmé par des crises économique dont l’origine est le plus souvent financière et monétaire, la croissance n’a donc pas suivi un « trend » harmonieux depuis la première révolution industrielle, mais a été au contraire émaillé par une série de crises brutales. Les crises ne doivent cependant pas faire oublier qu’entre 1820 (ou l’on dispose de statistiques stables) et 2005 la croissance annuelle moyenne des économies industrialisé

prédécesseurs (analyse de la valeur, de la répartition, volonté de scientificité), mais il est original (analyse du rapport salarial, temporalité des lois du capitalisme). M clôt une époque de la pensée éco vers une autre au milieu du 19e. Les néoclassiques 2ème moitié du 19e. Différences entre les néo mais grands éléments communs. 3 ruptures : - Débat sur la théorie des valeurs. Les classiques privilégiaient une approche objective basée sur la quantité de W nécessaire la fabrication des biens

marché - l’individu Ces notions remontent au XVIII° siècle avec trois grands bouleversements : - les lumières sur le plan intellectuel vont transformer l’individu en citoyen - le début de la révolution industrielle sur le plan économique bouleverse les équilibres socio-économiques - les révolutions d’Amérique et de France sur le plan politique qui véhiculent les notions de liberté et de propriété privée Dans cette pensée, l’intérêt individuel et égoïste suffit à lui-seul à guider l’économie

La révolution keynésienne Sommaire Keynes : une destinée exceptionnelle       Une activité foisonnante       L'oeuvre de Keynes L'économie rêvée des " classiques " Le chômage involontaire       L'offre de travail dans l'analyse keynésienne       L'inefficacité d'une baisse des salaires nominaux Une économie de la demande       La critique de la loi de Say       La production effective       Le multiplicateur d'investissement Le modèle complet       Le marché des biens et services      

L'économie 5 II. L'histoire de la pensée économique 6 a. La naissance de l'économie avec Adam Smith 6 b. L'économie pour les classiques: de Say à Ricardo 7 c. L'économie selon Marx 8 d. L'économie marginaliste ou néoclassique 8 e. L'économie selon Keynes 9 f. L'économie pour les monétaristes 9 g. L'économie des déséquilibres 10 h. La microéconomie et la macroéconomie 10 III. Le capitalisme 11 a. Les fondements du