La Romance Du Vin

activement à la chute de Charles X,. Armand Marrast devirnt rédac. en chef en 1836). Il avait un pantalon à plis, des souliers-bottes, une cravate longue et son chapeau à bords retroussés. 8h du matin 》il descend des hauteurs de Montmartre pr prendre vin blanc dans rue Notre-Dame-des-Victoires. Son déjeuner suivait plusieurs parties de billard. Il se dirige vers le passage des Panoramas, pr prendre de l'absinthe. Après visite Arnoux, il entrait à l'esttminet Bordelais pr prendre le Vermouth, enfin qu

l’éternité ? Ailleurs, bien loin d’ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j’eusse aimée, ô toi qui le savais ! Les Fleurs du Mal, 1857 LE VIN DES AMANTS Aujourd’hui l’espace est splendide ! Sans mors, sans éperons, sans bride, Partons à cheval sur le vin Pour un ciel féerique et divin ! Comme deux anges que torture Une implacable calenture, Dans le bleu cristal du matin Suivons le mirage lointain ! Mollement balancés sur l’aile Du tourbillon intelligent

frou-frouEt je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes souliers blessés, un pied près de mon cœur ! Paul Verlaine Il pleure dans mon cœur. ( Recueil : Romances sans paroles 1874) Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ?Ô bruit doux de la

d'orge, tandis que l'élite consommait du vin pur, à la différence des Grecs et Romains. La culture de la vigne, au temps de la conquête, était peu répandue en Gaule et ne dépassait guère les abords de Marseille. Le vin, boisson rare, était donc importé de Rome et considéré comme un luxe : on échangeait un esclave contre une amphore de vin par exemple. Le commerce avec Rome s'intensifiant (l'archéologie sous-marine l'évalue à un million d'amphores par an), le vin s'est progressivement démocratisé 24.

à cause de Don Garcia et ses influences. Par exemple, si Don Juan, dans les Âmes, s'introduit la nuit chez Fausta, à la place de Don Garcia, ce n'est pas de sa propre initiative. Il a été poussé par Don Garcia et il a fallu qu'il boive beaucoup de vin pour se donner du courage. Ici on voit comme c’est un Don Juan différent des autres qu’on avait déjà étudié. De plus, il est porteur d'un billet, dont il n'est pas l'auteur de celui et qui doit décider la jeune femme à se donner à lui ; enfin, il a

démon déguisé en archange, et que Lorenzo regrette de l’avoir jadis écouté 17. Ce n’est qu’un  beau masque, qui se traduit dans la coupe d’une barbe18 – allusion anachronique à la barbe des  Républicains de 1830 – ou dans l’emploi d’une rhétorique échauffée par le vin des banquets  patriotiques19 – nouvel anachronisme, puisque ces banquets furent, de la Restauration jusqu’à  1848,   le   principal   lieu   de   rencontre   des   associations   républicaines   interdites.   D’ailleurs,  Lorenzo n’a pas de peine a

lui... Mais celui-ci revenait et revenait. Pourquoi ? c'est ce qu'il ne s'expliquait pas. Tout à fait | |indépendamment de l'histoire de Bérénice... l'autre, la vraie... D'ailleurs il ne se rappelait que dans ses grandes lignes cette romance,| |cette scie[pic]. Brune alors, la Bérénice de la tragédie. Césarée, c'est du côté d'Antioche, de Beyrouth. Territoire sous mandat. Assez | |moricaude même, des bracelets en veux-tu en voilà, et des tas de chichis, de voiles. Césarée... un beau

connut son apogée au V° siècle av. J.-C. avec Eschyle, Sophocle et Euripide. (p.63) Tragédie veut dire étymologiquement « chant du bouc ». Les représentations théâtrales donnaient lieu à des concours lors des fêtes en l’honneur de Dionysos, dieu du vin. (p.63) Dans sa Poétique (IV° siècle av. J.-C.), le philosophe Aristote définit la fonction morale de la tragédie à l’aide de la notion de catharsis, c’est-à-dire de « purgation des passions » : le spectacle des passions, et des ravages qu’elles

intitulés Spleen, est décrit cet état spécifique qui définit, selon Baudelaire, la condition humaine. * Le Spleen de Paris, postérieur aux Fleurs du mal. * Paul Verlaine, dans son poème « Spleen », a exprimé lui aussi ce curieux sentiment (Romances sans paroles, 1874), tout comme Jules Laforgue dans son poème du même nom (Les Complaintes, 1885), ainsi que Hector Berlioz dans ses Mémoires, qui l'a lui expliqué à l'aide d'une métaphore filée utilisant une expérience chimique avec de l'acide sulfurique

rythmes impairs, d’assonances, de paysages en demi-teintes le confirment, rapprochant même, par exemple, l’univers des Romances sans paroles des plus belles réussites impressionnistes. C’est lui qui a lancé la notion de « poètes maudits ». Ses œuvres : * Poèmes saturniens (1866) * Les Amies (1867) * Fêtes galantes (1869) * La Bonne Chanson (1872) * Romances sans paroles (1874) * Sagesse (1880) * Jadis et naguère (1884) * Amour (1888) Le thème : La note