La Route joyeuse

ACQUIS ACQUIS Complète le texte suivant avec des mots qui conviennent. Il était une fois un vieil homme et une vieille ………………………………qui étaient très pauvres. Ils n'avaient pas de ………………………………, mais habitaient dans de vieux cartons usés au bord de la route, à la sortie de la ville d'Ambalavao. Leurs vêtements étaient ………………………………, et heureusement que l'hiver n'est pas trop rude sous les tropiques, sinon ils auraient pu mourir de ………………………………. Propose une suite à cette histoire en complétant la phrase:

n’était pas besoin, du moment qu’il arrive, de nous en dire si long. Puissions-nous retrouver l’enfant dans le coeur de l’homme ! MAÎTRE BLAZIUS Ma foi, l’écuelle est vide ; je ne croyais pas avoir tout bu. Adieu ; j’ai préparé, en trottant sur la route, deux ou trois phrases sans prétention qui plairont à monseigneur ; je vais tirer la cloche. (Il sort.) LE CHOEUR Durement cahotée sur son âne essoufflé, dame Pluche gravit la colline ; son écuyer transi gourdine à tour de bras le pauvre animal, qui

dimensions : psychologique, sociologique, historique, politique. Stendhal, lié au romantisme mais présentant déjà les ambitions du réalisme, affirme ainsi : « Un roman est un miroir qui se promène sur une grande route. Tantôt il reflète à vos yeux l’azur des cieux, tantôt la fange des bourbiers de la route. Et l’homme qui porte le miroir dans sa hotte sera accusé par vous d’être immoral ! Son miroir montre la fange, et vous accusez le miroir ! Accusez bien plutôt le grand chemin et le bourbier, et plus encore

d’interventions contestataires effectives sur le terrain, comme on l’a constaté pour l’écologie politique, les mouvements sociaux de 1995 en France ou la mobilisation altermondialiste. Si le marxisme officiel a longtemps été l’inspirateur ou le compagnon de route de la sociologie, sa fossilisation dogmatique et son discrédit lié à la faillite du stalinisme, du maoïsme et du castrisme ont rendu suspects tous les “grands récits” émancipateurs, toutes les utopies des lendemains qui chantent puis déchantent. Or

lui en donnent le pernicieux conseil, à connaître la figure de son mari : curiosité sacrilège qui, du faîte du bonheur, la jetterait dans la perdition et la priverait pour toujours de ses embrassements. Psyché rend grâces à son mari, et déjà plus joyeuse : « Ah ! » dit-elle, « plutôt cent fois mourir que de ne plus goûter la douceur de notre union. Car je t'aime à la folie et je te chéris, qui que tu sois, à l'égal de ma vie ; non, Cupidon lui-même ne t'est pas comparable. Toutefois, à mes prières

n'était pas besoin, du moment qu'il arrive, de nous en dire si long. Puissions-nous retrouver l'enfant dans le coeur de l'homme MAITRE BLAZIUS Ma foi, l'écuelle est vide ; je ne croyais pas avoir tout bu. Adieu ; j'ai préparé, en trottant sur la route, deux ou trois phrases sans prétention qui plairont à monseigneur ; je vais tirer la cloche. Il sort. LE CHOEUR Durement cahotée sur son âne essoufflé, dame Pluche gravit la colline ; son écuyer transi gourdine à tour de bras le pauvre animal

Avant de voir le spectacle : la représentation en appétit ! Pacamambo De Wajdi Mouawad Mise en scène de Marie Provence Créé au Théâtre du Jeu de Paume en novembre 2010 « Raconte-moi ton histoire » [page 2] « Madame La Mort » [page 5] En route pour Pacamambo [page 8] Rêver le spectacle [page 10] Après la représentation : pistes de travail En ligne en novembre 2010. Répétition © Marie Provence Édito Wajdi Mouawad nous invite à pénétrer l’imaginaire d’une jeune fille confrontée au

Débourser une somme de 70 000 francs CFA soit 120 euros environ En effet, ce groupement permet une meilleure lisibilité des activités présentes à Ndangane. Les artisans ont été contactés pour pouvoir s’assurer de ne laisser personne sur le bord de la route. L’original du procès verbal élaboré avec Monsieur Daouda SOW est disponible en Annexe (cf annexe IV) Ainsi, les moyennes et les petites structures peuvent s’exprimer sur un pied d’égalité. Il réuni à ce jour plus d’une vingtaine d’acteurs

ses bras vers moi, ses mains qu’elle a fait battre dans l’air tandis qu’elle gazouillait comme un poussin de canard. » p. 18. C’est une très jeune enfant qui ne maîtrise pas encore le langage que le narrateur définit ainsi « une mélodie de cascade joyeuse, libre, échevelée, un babil folâtre dont je sais désormais su’il doit être au plus près de la langue des anges » p. 298. Elle est l’enfant né du viol d’Émélia, que l’on pourrait considérer comme « l’enfant de la salissure (...) l’enfant

lui, il faut que les trois 15soient impeccables, toujours. Son corps pèse. Elle attend. Nicole a seize ans, bientôt dix-sept. Avant elle, pendant plus de trois ans, il y avait eu Annie, sa première bonne. Annie était si gen- tille, si vive, et joyeuse, gaie, du matin au soir. On voyait qu’elle avait l’habitude du travail. Les lessives pour une famille de cinq personnes sans compter le linge des deux ouvriers, le ménage d’une grande maison, les poules et les lapins, l’entretien du jardin, arroser