La Rumeur Kapferer

bouche à oreille (BAO), autre nom donné à la rumeur. Souvent décrite comme le plus vieux média du monde, la rumeur consiste en l’échange d’informations et d’opinions entre deux consommateurs à propos d’un service ou d’un produit. Avec Internet, le BAO se diffuse instantanément, sans limite géographique entre un nombre quasi illimité de personnes. Le BAO n’est souvent pas maîtrisé par l’entreprise même si cette dernière cherche à diffuser ellemême des rumeurs positive la concernant. Le marketing viral

B) Historique : A l’instar de Jean-Noël KAPFERER (in Rumeurs), le plus vieux média du monde serait la rumeur, autrement dit la perpétuation orale des informations. Le deuxième mode de communication qui est apparu s’est avéré être l’écriture(ou plus précisément les signes), dont on retrouve des traces datant de l’époque préhistorique. Chaque civilisation a développé depuis son propre système d’expression écrite : écritures idéographiques (les hiéroglyphes égyptiens, les pictogrammes

plus faible d’Europe. En revanche, la vente de produit Burn reste pour tous les pays d’Europe en nette progression et notamment en Allemagne et en Espagne ou les ventes ont connu la plus importante progression. En utilisant un outil développé par Kapferer, le prisme. Nous allons définir l’identité des marques grâce aux différentes facettes qui rappelle que la marque est un être de discours. II. L’identité des marques à travers le prisme. A. Prisme Red Bull  B. Prisme Burn C. Prisme Monster

durablement entre l'émetteur et le récepteur. Cette relation peut être directe, une relation entre fournisseur et client, ou bien indirecte par la marque. Celle-ci devient le médiateur et on découvre alors l'importance de la sensibilité à la marque (Kapferer et Laurent, 1983) puis son rôle plus large ( Aaker, 1991). La finalité de l'échange en marketing est reconsidérée, et plus que la fidélité c'est l'attachement à la marque qui devient le but du mode relationnel, car le consommateur achète le produit

4.2.3. Intégrer le buzz marketing dans les enseignements théoriques ……………p66 4.2.4. Intégrer le buzz marketing dans les stratégies globales ……………………….p66 4.2.5. Impliquer les collaborateurs ……………………………………………………………………p67 4.2.6. Se protéger des rumeurs …………………………………………………………………………p67 4.2.7. Les outils à saisir, maintenant …………………………………………………………………p68 Conclusion …………………………………………………………………………………………………………p70 Bibliographie …………………………………………………………………………………………………….p71 Ouvrages…………………………………………………………………………………………………………

et est toujours – le premier vecteur de la communication dans les organisations. » Car il s’agit bien d’orga- niser des stratégies, des informations, des échanges, des outils, mais aussi des sentiments, des impressions, des perceptions… et des rumeurs ! La communication interne doit faire le pont, constamment, entre pratique et théorie, certitude et intuition, méthode et « pifomètre ». 1. Thierry Libaert, Le plan de communication, Dunod, 2003. © Groupe Eyrolles 7 LE NOUVEAU VISAGE

est crédible et de ce fait très écouté. Les « spécialistes » 34 Bricomag, Vive le buzz marketing, n°112, p.78 à 83 Idem 35 Master MSMC 58 Le marketing viral : l’outil d’avenir des entreprises au Maroc ? contribuent à faire enfler la rumeur. Ils rassurent leurs connaissances lorsqu'il s'agit de choisir entre deux marques. Enfin, « le Persuadeur ». 36 Comme son nom l'indique, il persuade tous ceux qu'il rencontre. Sa joie de vivre et sa bonne humeur sont contagieuses. Il aime parler avec

passer une info 2/ créer une norme commune (dialogue commun qui permet de se comprendre) 3/ c’est aussi essayer d’obtenir une influence sur qqn afin de le faire agir 4/ c’est donner une personnalité à un pduit/une marque/une entp. Jean Noël Kapferer qui a créé le prisme d’identité (6 éléments qui nous permet d’identifier une marque). Dans un contexte, une communication en soit n’a aucun sens : qd on doit monter 1 pjet de com, on analyse le contexte (socioculturel, géographique, etc). Bcp

Jean-Noël Kapferer a exprimé avec justesse l’impact de l'apparition d’internet dans 37 les relations des entreprises avec leurs collaborateurs, candidats et autres parties prenantes. Il écrit en 2005 que « L’entreprise ne peut plus se cacher derrière ses marques et leur imaginaire : les médias, le bouche à oreille, la rumeur, les SMS, le NET, les blogs, les chats, les forums, rendent un jour ou l’autre tout transparent ». 37 Kapferer JN. (2005)

 marque  a  suscitée  diverses  émo7ons,  de  la  confiance  au  doute  en  passant  par  le   mystère  mais  aussi  la  joie.  Entre  autres  avec  les  déboires  provoquer  par  certaines  rumeurs   où  les  produits  composés  de  surimi  n’était  pas  issu  de  poisson  mais  seulement  de  déchets   de  la  mer,  a  provoqué  de  véhémentes  discussions  et  des  consommateurs  récalcitrants