La Rumeur Kapferer

situation d’inconfort psychologique d’1 individu lorsque son attitude, ces croyances à l’égard du pdt, de la marque, … sont remise en cause par de new infos qui peuvent ê véhiculées par les médias, les rumeurs, les argumentaires de vente, alors que l’indiv aspire à 1 harmonie avec son environnement (Rumeur = très difficile à maîtrisé). Comment ça se manifeste ? Quant on fait un achat impliquant (financièrement, engagé socialement,…) → Le conso a tendance à chercher

nombre de clients, ces derniers consomment plus et plus souvent, ce sont également les plus fidèles. Enfin, ils sont sources de rumeurs positives, de bouche-à-oreille concernant l’enseigne ou la marque de prédilection. En outre, ils sont cinq fois moins onéreux à toucher qu’un non-client. (Etude du Cabinet Bain, citée dans « Les Marques, Capital de l’entreprise ».Jean-Noël Kapferer ; Les Editions d’Organisation) 1 Kellogg’s 2 Nestlé 3 Les MDD Les marques de distributeurs se développent particulièrement

des sources d’informations externes du consommateur Sources personnelles Sources non personnelles Sources commerciales Vendeurs, salons et foires Publicités, information en magasin, marketing direct, packaging, catalogues Sources non commerciales Rumeur, bouche à oreille Journalistes, tests comparatifs Le risque perçu Le consommateur perçoit un risque quand il ne peut pas anticiper avec certitude les conséquences potentiellement négatives de ses comportements d’achat et de consommation. On parle

^^^J \ marchands ^S^^^^— ^ ^ ^ / K . Ul m \ i •••' \ .•••" \-" ^ * ^ " ~ ~ ~ __—^ Grands / Projets / '\ Opérations \ complexes Causes sociî lies / / / 'y r SPÉCIFIQUE STANDARD - le Contre Marketing avec l'utilisation des rumeurs (Kapferer, 1987). ce...) non marchande supportée par une organisation à but non lucratif. C'est donc une ombrelle pour des Marketing aussi divers que le Marketing Politique (Lindon, 1986), le Marketing Social notamment celui des associations (Flipo, Mayaux

...................................................................28 Mensonge, vérité, réalité .........................................................................................................................................30 Diffusion, rumeur, trace, indiscrétion ......................................................................................................................31 Qualités et défauts ....................................................................................

retenus pour évaluer les marques.     L’intérêt et l’importance de l’implication sont renforcés par la possibilité de mesurer ces états. A ce jour, l’instrument de mesure le plus satisfaisant dont on dispose est de lui de Kapferrer & Laurent (1985). Cet instrument permet de déterminer le niveau et le profil d’implication d’un consommateur à l’égard d’une catégorie de produits.         III – Les caractéristiques psychographiques

financier. Comme on peut s'y attendre, plus le risque perçu est fort, plus on est impliqué. Et puis dans la mesure où des considérations subjectives du produit sont importantes, l'implication augmente. Comment mesurer l'implication ? Laurent et Kapferer ont suggéré la démarche suivante : 1. L'importance des conséquences négatives, une échelle d'évaluation mesure à la fois l'importance du produit et le risque perçu des conséquences négatives. 2. La probabilité subjective d'un mauvais achat, le

dans l’esprit du public. L’expérience personnelle, la satisfaction ou la non satisfaction qui résulte de l’utilisation de la marque, provoque des images partielles et parfois même des préjugés à l’égard de tout nouveau produit de cette marque. La rumeur, l’expérience d’autres personnes peut se répercuter sur la consommation d’un individu. Les origines génératrices font naître des images. L’individu va réagir à ces images en fonction de ses motivations. Les motivations peuvent être des raisons

2.2 Présentation de la mise en œuvre selon Kotler et Dubois 29 2.2.1 Etapes d’une stratégie de communication 29 2.2.2 Précisions sur le mix promotionnel 30 2.3 Le rôle de la marque dans la communication selon Jean-Noël Kapferer 33 2.3.1 A quoi sert la communication de marque ? 33 2.3.2 Le rôle de la publicité pour la marque 34 2.3.3 Implications et obstacles à la logique de marque 35 Deuxième partie : Accueil, usage et perception de

L’escalade des promotions |( Les analystes estiment que l’entreprise ne dispose plus que| |et des remises a fait provisoirement fondre les marges. |d’une centaine de millions de cash à investir alors qu’aucune| |( Les rumeurs vont bon train dans le marché, au point de dire que Bernard Arnault, le|banque ne lui prête plus un euro dans le contexte actuel. | |CEO de LVMH, aurait pensé vendre l’entreprise, car elle n’a pas une image digne du |( Et il faudra bien aussi