La Rumeur Kapferer

(1984), La persuasion clandestine, Calmann-Lévy, Paris. Friestad M., Wright P. (1995), « Persuasion Knowledge : Lay People’s and Researchers’ Beliefs about the Psychology of Advertising », Journal of Consumer Research, 22, 1, June, p. 62-74. Kapferer J.-N. (1978), Les chemins de la persuasion, le mode d’influence des médias et de la publicité sur les comportements, Gauthier-Villars, Paris. -7- L’étude du comportement du consommateur et de l’acheteur moralisation des pratiques commerciales

(1984), La persuasion clandestine, Calmann-Lévy, Paris. 5 Friestad M., Wright P. (1995), « Persuasion Knowledge : Lay People’s and Researchers’ Beliefs about the Psychology of Advertising », Journal of Consumer Research, 22, 1, June, p. 62-74. 6 Kapferer J.-N. (1978), Les chemins de la persuasion, le mode d’influence des médias et de la publicité sur les comportements, Gauthier-Villars, Paris. -7- L’étude du comportement du consommateur et de l’acheteur moralisation des pratiques commerciales

nombre d’attributs retenus pour évaluer les marques. L’intérêt et l’importance de l’implication sont renforcés par la possibilité de mesurer ces états. A ce jour, l’instrument de mesure le plus satisfaisant dont on dispose est de lui de Kapferrer & Laurent (1985). Cet instrument permet de déterminer le niveau et le profil d’implication d’un consommateur à l’égard d’une catégorie de produits. ← Les caractéristiques psychographiques Les caractéristiques psychologiques

interne : situation L'objectif global de la communication interne consiste à récolter puis à diffuser, à communiquer, des informations pour permettre à l'entreprise et à ses acteurs internes d'exister. Ces informations peuvent avoir pour origine la rumeur. Radio Moquette est un bon indicateur de l'état de la communication dans une organisation. Le besoin d'informations tient compte des différents événements qui se déroulent dans le temps. Il varie selon les lieux et les contextes, tous les services

à un ou des produits ou services, qui en atteste l’authenticité, l’origine et qui signale leur différence vis-à-vis des autres produits et services concurrents »4. Le produit n’est pas une marque, la marque n’est pas une entreprise. 4 J.-N. KAPFERER, « La marque en questions », Dunod, 2006. visuel internet Pub audio presse FONDAMENTAL sEcONDAirE 12  table des matières RAIEN NSEILS FE LQUES CO FOIS, QUEND BIEN A KEVIN PAR RA LE PLUS G T CHOISIR SES JE UX N’A RIEN D’

d’attributs Ensemble d’avantages Ensemble de valeurs Un culture Une personnalité La signalitique :tout commence par un nom: Un nom de marque: distinct, bref, approprié, facile à prononcer, que l’on aime jouer avec, extensible, protégeable. Comme le dit Kapferer, la marque ne décrit pas le produit, elle le distingue. La signalitique: différentes approches pour un nom de marque Marque non propre -> CITROËN Marque lieu -> CONTREXEVILLE Marques initiales -> SAAB Marque descriptive -> OVOMALTINE Marque vocation

DG Dir mrk Dir fi Dir com Depuis les années 90, il y a eu un retour au modèle précédent à la suite de crises financières, politiques, et sociales. Aujourd’hui 80% des entreprises ont opté pour un modèle de base. Il y a aujourd’hui les rumeurs liées sur internet qu’il faut régler au plus vite, et pour cette raison, le PDG et le dir com doivent avoir cette relation pour aller plus vite. Exemples : Carrefour : quand le PDG a restructuré carrefour, il a placé le dir com à côté de lui De même

Style de vie Maîtrise des Sociologues 1970-1990 caractéristiques Socio-styles psychologiques, (Cathelat, 1985)5 comportementales et culturelles Analyse les processus Modèle de Planner Théorie cognitive émotionnels persuasion (Laurent stratégique et Kapferer, 1985) 1990-… Suivant l’évolution des pratiques en sciences humaines, les métiers de la publicité et de la communication se sont adaptés. Devant la complexité croissante des processus cognitifs et de leurs compréhensions, les professionnels du secteur

publicitaire – ou ce qu’il apportera de plus – le bénéfice consommateur). Dans ce qu’elle dit, promet, montre, démontre et affirme, la publicité influence les déterminants cognitifs de l’attitude (qu’est- ce que le produit va faire pour moi). » Selon KAPFERER, la publicité est donc un ensemble d‟éléments qui ont pour unique but d‟engendrer une réaction concrète chez le consommateur et que c‟est le fond de la publicité qui va réellement nous intéresser. Si l‟on le croit, la forme ne possèderait aucun réel

me concerne…) de l’I. On calcule le score d’I grâce aux réponses à 10 différentiels sémantiques en 7 points. Cette échelle a été utilisée avec succès pour distinguer les pubs. Les profils d’implication : Echelle pr évaluer les causes de l’I° (Kapferer et Laurent 1986) ➢ L’intérêt personnel, l’enthousiasme (utilité importance accordée au produit) ➢ La valeur hédoniste (plaisir lié à l’achat & utilisat°) ➢ La valeur de signe (montrer qui je suis par ce que je porte ou consomme)