La Régulation De La Concurrence Et La Régulation Sectorielle Au Maroc

....................................... 42 2.3.7. Conclusions.................................................................................. 45 3. Régulations publiques, mobilités et environnement ................. 46 3.1. La libéralisation du transport aérien européen ..................................... 46 3.1.1. De la régulation à la libéralisation .................................................... 46 3.1.2. Une explosion de l’offre aérienne européenne............................

Qu’ils sachent que leurs encouragements ont constitué pour moi une aide précieuse. INTRODUCTION GENERALE CONTEXTE ECONOMIQUE ET JURIDIQUE Le Maroc est totalement tourné vers la mer pour ce qui concerne son commerce extérieur puisque prés de 98% de ses échanges se font par voie maritime1. Conscient de l’enjeu que recèlent les mers, le Maroc n’a pas tardé de confirmer son intérêt pour la mer et a matérialisé cet engouement par l’adoption d’un plan quinquennal 1973-1978 qui scella définitivement

Californie, de Florida et du Texas. Ces prêts dont le montant total atteint 1200 Milliards de Dollars, ont été distribués à partir du début des années 2000 par des courtiers en prêts immobiliers peu scrupuleux, échappant au contrôle des autorités de régulation. Découpés puis insérés dans des produits financiers complexes, qui en ont démultiplié le risque, ces crédits ont été revendus à des banques et à des investisseurs du monde entier. Lorsque le marché immobilier américain s’est mis à chuter, ces crédits

éveloppement durabl Royaume du Maroc Développement Durable au Maroc Bilan et perspectives De Rio à Rio +20 Juin 2012 SOMMAIRE 1 Préface 4 Résumé exécutif 8 8 8 9 10 12 Bonne gouvernance : de la représentation à la participation 1. Réferentiel culturel du Royaume 2. Evolution de la gouvernance nationale : la réforme constitutionnelle 3. Evolution de la gouvernance à l’échelle régionale : approche territoriale 4. Evolution du rôle de la société civile 5. Gouvernance mondiale du développement

La veille stratégique dans le système national d’information économique des pays en voie de développement : Le cas des PME du Maroc Fouzia AKRIFED, Doctorante en Sciences de l’Information et de la Communication Laboratoire d’accueil : ERSICOM (Equipe de recherche sur les Systèmes d’Information et de Communication des Organisations et des Médias) Université Jean -Moulin Lyon3- France fouziaakrifed@yahoo.fr Résumé : La veille stratégique est le processus volontariste par lequel une entreprise

Royaume du Maroc Ministère de la Santé Direction de l’Epidémiologie et de la Lutte contre les Maladies ( DELM ) Organisation Mondiale de la Santé ( OMS ) ZAYYOUN A. (INAS), MAAROUFI A. (FMPC), KHYATI M(IPM) (Décembre 2003) Recherche réalisée avec le soutien du Bureau Régional de la Méditerranée Orientale (EMRO) Organisation

hiérarchisation des avantages comparés) ; une approche qui considère que le cadre théorique de la spécialisation internationale les plus valides pour comprendre le commerce intrabranche (différenciation des produits, rendement de échelle, structure de concurrence imparfaite). → Le renouvellement du modèle HOS. (I) selon le modèle néo factorielle, la réponse aux paradoxes de Léontief se trouve dans le fait que le facteur de travail n’est pas homogène, mais qu’il existe des différences de qualification à

hiérarchisation des avantages comparés) ; une approche qui considère que le cadre théorique de la spécialisation internationale les plus valides pour comprendre le commerce intrabranche (différenciation des produits, rendement de échelle, structure de concurrence imparfaite). → Le renouvellement du modèle HOS. (I) selon le modèle néo factorielle, la réponse aux paradoxes de Léontief se trouve dans le fait que le facteur de travail n’est pas homogène, mais qu’il existe des différences de qualification à l’intérieur

|Financement des PME au MAROC: moyens, enjeux et contraintes |Disponible en mode multipage | | | | |par Abdellah BOUKHOUF | | |Université mohamed 1er de Oujda - Licence en gestion

administratives (restructuration de l’administration fiscale : la DGI). Ces importantes mutations ont été impulsées par les directives royales du 25 septembre 2005 et les recommandations issues des travaux des « assises nationales sur la fiscalité au Maroc » du 26 au 27 novembre 1999 tenues à Rabat. A l’instar de ceux des pays modernes, le système fiscal marocain a progressé vers un système déclaratif dans lequel c’est le contribuable qui déclare l’assiette de l’impôt et qui paie l’impôt, le tout