La Révolution Esthétique

du xxe siècle. L'art est défini non par les propriétés esthétiques des objets ou des œuvres, mais seulement par le concept ou l'idée de l'art. 2) Les années 60 marquent le réel début de l’« art contemporain ». Les catégories esthétiques traditionnelles, peinture et sculpture, explosent. Importent plus l’intention de l’artiste, sa démarche, ou, mieux encore, le « concept »… Focus sur l’art conceptuel et le minimal art. 3) REVOLUTION CULTURELLE Cubisme 1) Le cubisme est un mouvement

A rendre le 18.03.2013 PENSEZ-VOUS QU’IL ENTRE DANS LES FONCTIONS DE L’ARTISTE DE CHERCHER A CHANGER LE MONDE ? L’artiste a pour fonction de créer des œuvres à visée esthétique, cependant depuis toujours il ne peut s’empêcher de prendre part au politique, au social dans ses œuvres. Depuis que l’art existe deux thèses s’opposent et quand certains pensent que le rôle de l’artiste n’est aucunement de donner son avis

Les Curiosités Esthétiques à titre posthume. 2) Contexte historique Baudelaire a vécu durant l'éveil de la monarchie de juillet. La mauvaise maintenance du régime démocratique mis en place conduit à une révolution en 1848. Baudelaire participe à cette révolution à travers laquelle il exprime sa révolte personnelle. Il se révolte dans la monarchie car ce régime lui rappelle un mauvais souvenir de son beau-père monarchiste qui lui a volé l'amour de sa mère. La révolution de 1848 cause une

Russie connait une effervescence dans le domaine de l’art. Effectivement, révolution rime

Apollinaire, célèbre écrivain et poète français, est considéré comme le chantre de la modernité, c'est-à-dire qu'il célèbre la modernité. Lorsque Apollinaire publie le recueil Alcool en 1913, l'Europe est en pleine ébullition culturelle avec la deuxième révolution industrielle reposant sur l'utilisation de nouvelles sources d'énergie avec l'électricité, le gaz et le pétrole.

Peut-on définir le beau ? A) La finalité sans fin de l’œuvre d’art. La finalité première de l’œuvre d’art est la production d’un sentiment esthétique qui touche mes cinq sens et ma sensibilité. La première fonction de l’art est évidemment de produire de la beauté, puisque c’est sa définition. Le beau renvoie à la valeur à laquelle renvoie le jugement esthétique. La beauté est une finalité sans fin, car elle n’a pas d’autre but qu’elle-même. Elle est gratuite et infiniment libre. C’est ce qui correspond

harmonieuse : - la révolution francaise et plus généralement l’ère révolutionnaire des 1776 à 1848 La révolution industrielle, en Angleterre et ensuite en Europe de l’ouest et en Amérique du Nord. À cette occasion émerge une seconde crise . Car l’enjeu de la crise est la disparition de l’organisation générale de la société dite trditonnelle, organisation qui a amené malgré les luttes politiques autour de l’État et malgré le développement socio-économique de la bourgeoisie. La révolution francaise et

en clamant qu’elle est horrible, mais subit une fascination pour sa laideur, qui peut aller jusqu’à une reconnaissance esthétique. I. Une ambition alchimique A. Hors de la poésie Traditionnellement, la laideur du monde et celle de l’homme n’ont pas droit de cité en poésie. Avec les romantiques, puis plus nettement encore avec Baudelaire, c’est une révolution que d’introduire en poésie des sujets et des mots que l’on considère à leur époque comme antipoétiques (« une charogne »

partir du milieu du XIX° siècle en France ? Afin d’y répondre, un plan chronologique paraît le plus approprié ; les évènements historiques conditionnant l’engagement politique de la littérature. La question de la modernité en tant que nouveauté esthétique sera étudiée au fur et à mesure, mais la question de l’engagement comprendra à la fois la littérature plus classique à l’intérieur de la période moderne, car la limite est souvent floue. I) Le retour du politique : mi XIX° - début XX° Pour

hédonisme, personnalisation des processus de socialisation, éducation permissive, libération sexuelle, humour). Cette vision de la société met en avant un néo-individualisme de type narcissique et, plus exactement, ce que Lipovetsky appelle la « seconde révolution individualiste ». Dans ses derniers essais, Lipovetsky remet en cause le concept de post-modernité considéré comme ambigu et même inadéquat. En réalité, c'est une hyper-modernité, une « modernité superlative » et effrénée qui caractérise, à ses