La Révolution Keynésienne

optimum économique. On appelle optimum au sens de Pareto une situation économique où il est impossible d’améliorer la situation d’un acteur économique sans dégrader celle d’un autre. La courant classique se développe au cours du siècle des grandes révolutions démocratiques, il donne à la démocratie une légitimité en matière de fonctionnement économique. 1.2.2– L’école néo-classique : Les néoclassiques ont d’importantes divergences avec les classiques : • Ils ont un raisonnement micro-économique.

L'après-guerre favorise => sciences => développement des techniques • culture influencée par États-Unis • religion chrétienne => pratique affaiblie A) Le renouveau des sciences et des techniques • renouveau « 3ème révolution industrielle » => influence : - économie (développement informatique) - quotidien des hommes , mode de vie • connaissance de l’homme et du monde bouleversée avec : - maîtrise de l'atome et du corps humain (avancées considérables

Théorie de l’équilibre V- Les Keynésiens CONCLUSION -1- INTRODUCTION En économie, il n’existe pas de vérité absolues, la plus part des questions dites « économique » sont également des questions politiques. La science économique est composée d’un grand nombre d’écoles qui peuvent être regroupé schématiquement en trois courants : L’analyse libérale selon laquelle le libre fonctionnement des marchés permet d’améliorer la richesse de tous. L’analyse Keynésienne (Keynes), montre que le fonctionnement

B. Révolution agricole : Préalable nécessaire à la révolution industrielle. -Les enclosures : capitalisme naissant : Première forme de propriété privée. Fin de l’Open Field. Agriculteur fait des profits : recherche de rendement : Libéralisme. -Un cercle vertueux : L’augmentation de la production agricole : exode rurale, libération de main d’œuvre et de capitaux. Hausse de productivité du secteur primaire permet développement du secteur secondaire : Effet de déversement. C. Révolution démographique

théories de la crise selon les différentes écoles 25 1. L'école classique 25 2. Les néoclassiques 25 3. L'analyse de Marx 25 4. Les théories keynésiennes 26 A) Les apports fondamentaux 26 B) L'analyse keynésienne de la crise 27 Conclusions 28 Bibliographie 29 Index des idées économiques 30 Annexes 32 1. Le circuit néoclassique 32 2. Le circuit keynésien 33 INTRODUCTION Le cours d’analyse socio-économique de la société contemporaine propose, à mon sens, une exploration d’idées économiques

néoclassique naît de la « révolution marginaliste » dans les années 1870. Si elle connait avec Alfred Marshall et Arthur Cecil Pigou une forte influence, dans sa forme actuelle elle deviendra la principale école de pensée au début des années 1950. Dans la troisième édition de son livre Economics, qui a été un des manuels de référence alors, Paul Samuelson écrit en 1955, « ces dernières années, 90 % des économistes américains ont cessé d'être des « économistes keynésiens » ou « antikeynésiens ». Ils

politiques de développement et de progrès de nos sociétés • depuis toujours, croissance global et progrès sont assimilés. • NTIC auront un impact considérable sur l’économie et la société dans son ensemble, comme ce fut le cas lors des précédentes révolutions industrielles ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Sa vie Né en 1912 à Brooklyn, Milton Friedman est le grand pape de l’ultralibéralisme. Après son doctorat, il enseigne à l’université de Chicago de 1946 à 1977. Chef de file d’une véritable contre-révolution keynésienne dès les années 50, il a vu ses idées triompher dans les années 70, et reçu le prix Nobel en 1976. Il a été le conseiller de nombreux candidats à la présidence des Etats-Unis, résolument ancrés à droite (Richard Nixon et Ronald Reagan notamment). Alors qu’il est professeur à l’université

l’origine par Thorstein Veblen1 en 1900 pour désigner des auteurs qui intègrent la révolution marginaliste initiée par Stanley Jevons et l'école autrichienne (il n'évoque pas Léon Walras). Il classe sous ce vocable notamment Alfred Marshall et les autrichiens. À partir des années trente suite aux travaux de John Hicks le courant walrasien va prendre une place croissante et incorporer une partie de l'apport keynésien à travers la synthèse néoclassique. Cette évolution va conduire les économistes dits

et les décisions politiques ? Les décisions politiques peuvent s'inspirer des théories économiques. En effet, les dirigeants économiques prennent la plupart de leurs décisions en référence à des courants théoriques. Ainsi, la théorie keynésienne a conduit aux politiques de relance, le monétarisme à la rigueur monétaire. Le renouveau néoclassique a inspiré de nombreuses politiques libérales au cours de la décennie quatre-vingts. Plus particulièrement, le reaganisme s'appuyait sur la réflexion