La Sachette Notre Dame De Paris

moue en refermant un bouton de sa chemise. — Je suis allé ouvrir la porte de ton nouveau chez-toi à Delahaye Moving, reprit Paul. Les déménageurs ont livré tes cartons avant-hier. J’ai mis un peu d’ordre, comme je pouvais. 5 Tu as acheté tout Paris ou tu as laissé quand même deux ou trois choses dans leurs magasins ? — Merci de t’être occupé de ça ; l’appartement est bien ? — Tu verras, je pense que tu vas aimer, et puis tu n’es pas loin du bureau. Depuis qu’Arthur avait achevé l’imposante construction

aucune limite, aussi n’y avait-il aucune activité humaine, qu’elle fût constructive ou destructive, aucune manifestation de la vie en germe ou bien à son déclin, qui ne fût accompagnée de puanteur. Et c’est naturellement à Paris que la puanteur était la plus grande, car Paris était la plus grande ville de France. Et au sein de la capitale il était un endroit où la puanteur régnait de façon particulièrement infernale, entre la rue aux Fers et la rue de la Ferronnerie, c’était le cimetière des

aucune limite, aussi n’y avait-il aucune activité humaine, qu’elle fût constructive ou destructive, aucune manifestation de la vie en germe ou bien à son déclin, qui ne fût accompagnée de puanteur. Et c’est naturellement à Paris que la puanteur était la plus grande, car Paris était la plus grande ville de France. Et au sein de la capitale il était un endroit où la puanteur régnait de façon particulièrement infernale, entre la rue aux Fers et la rue de la Ferronnerie, c’était le cimetière des Innocents

limite, aussi n'y avait-il aucune activité humaine, –3– qu'elle fût constructive ou destructive, aucune manifestation de la vie en germe ou bien à son déclin, qui ne fût accompagnée de puanteur. Et c'est naturellement à Paris que la puanteur était la plus grande, car Paris était la plus grande ville de France. Et au sein de la capitale il était un endroit où la puanteur régnait de façon particulièrement infernale, entre la rue aux Fers et la rue de la Ferronnerie, c'était le cimetière des Innocents

lumineuse. II Le Parfum Lecteur, as-tu quelquefois respiré Avec ivresse et lente gourmandise Ce grain d‘encens qui remplit une église, Ou d‘un sachet le musc invétéré? Charme profond, magique, dont nous grise Dans le présent le passé restauré! Ainsi l‘amant sur un corps adoré Du souvenir cueille la fleur exquise. De ses cheveux élastiques et lourds, Vivant sachet, encensoir de l‘alcôve, Une senteur montait, sauvage et fauve, Et des habits, mousseline ou velours, Tout imprégnés de sa jeunesse pure, Se

lumineuse. II Le Parfum Lecteur, as-tu quelquefois respiré Avec ivresse et lente gourmandise Ce grain d'encens qui remplit une église, Ou d'un sachet le musc invétéré? Charme profond, magique, dont nous grise Dans le présent le passé restauré! Ainsi l'amant sur un corps adoré Du souvenir cueille la fleur exquise. De ses cheveux élastiques et lourds, Vivant sachet, encensoir de l'alcôve, Une senteur montait, sauvage et fauve, Et des habits, mousseline ou velours, Tout imprégnés de sa jeunesse pure, Se

mal que ça… Nous aussi, ça nous fait chaud au cœur. Et chez Delphine, la Cosmolectrice (ou est-ce un Cosmolecteur ?) porte de la fourrure, mais… c’est la sienne. Oh la bonne idée ! Cher Cosmo, j’ai passé un excellent week-end d’anniversaire à Paris avec chéri, seulement, un peu avant Avignon, le train qui nous ramène dans le Sud s’arrête au milieu de la voie ! Retard annoncé : une heure quinze. Et là je voulais te dire merci, car je venais juste de lire ton article « Maintenant je n’attends plus

102 1. 1. 1. 1. Les évènements 102 1. 1. 1. 2. La vision de Baudelaire 103 1. 1. 2. Paris au XIX e siècle 104 1. 1. 2. 1. Avant Haussmann 104 1. 1. 2. 2. Les travaux du Baron Haussmann

.............. 116 Franciscae meae laudes........................................................................................ 92 L'Héautontimorouménos................................................................................... 117 À une dame créole........................................................................................ L'Irremédiable........................................................................................ 94 119 Moesta et errabunda.......................

de la dame qu’on aime sans chercher à défendre son honneur n’est-il pas incompatible avec le code de l’honneur ? 2. L’amant contrevient ici à un grand nombre de « commandements ». La demande initiale de l’amant vous paraît-elle « courtoise » ? La réponse favorable de la dame vous paraît-elle probable ? 3. La requête du « vieux » chevalier contrevient-elle à la recommandation IV ? Les vertus de l’amant sont-elles une condition sine qua non de l’amour que consentirait à lui porter la dame ? On