La Satire Face Au Travers Humain

De l’Antiquité à nos jours, les hommes ont toujours cherché à défendre leur point de vue. Argumenter c’est affirmer son raisonnement pour prouver son opinion. Ce procédé peut s’accomplir à travers les médias, les photographies et principalement par la littérature qui a voyagé à travers beaucoup de siècles. C’est ainsi qu’Isaac Asimov- écrivain américain dit : «Pour convaincre, la vérité ne peut suffire ». Effectivement on distingue deux types principaux d’argumentation- l’argumentation directe et

histoire. On peut voir qu'il y a une situation initiale : cet homme qui fuit tous les miroirs, de même l'utilisation de l'imparfait « s'aimait » v.1, « passait » v.2 ou « accusait » v.3 a une valeur de répétition, La Fontaine nous décrit le personnage à travers son comportement et ses habitudes. Puis vient le bouleversement de cette situation initiale lorsque « notre Narcisse », terme que l'on analysera plus tard, « va se confier/ Aux lieux les plus cachés qu'il peut s'imaginer » v.11-12, une action « Il

La conclusion permet de confirmer tout ce qui a été écrit tout au long de ce travail et de mettre en avant quelques éléments qui nous paraissaient importants. Ce travail de fin d’étude ayant pour sujet : «  d’aborder la culture contemporaine, à travers un auteur, deux de ses œuvres et son courant littéraire » nous a permis de découvrir Amélie NOTHOMB et le courant de la littérature satirique, d’abord lors d’une recherche individuelle, ensuite dans un travail de groupe lors de la mise en commun

philosophes vont rejeter toutes les solutions théologiques et l’autorité des traditions .Ils font une révision critique des notions fondamentales : le destin de l’homme et l’organisation de la société. Les auteurs ont une grande confiance dans la raison humaine qui doit résoudre tous les problèmes. Ils se caractérisent par une foi optimiste dans le progrès. C’est le moment de la naissance de l’ENCYCLOPÉDIE : grande œuvre destinée à diffuser les « lumières », à combattre l’intolérance et le despotisme

à d’inacceptable quelque soit l’approche du problème. On s’intéressera ensuite à la satire de la nation française que Voltaire fait de cet extrait : que dénonce-t-il et comment ? I/ LES DIFFÉRENTS ASPECTS DE LA DÉNONCIATION 1) Les différentes approches du problème Il y a cinq paragraphes, le cinquième étant la conclusion. Les quatre paragraphes abordent la torture de manière un peu différente, à travers la présentation de contextes différents. • Paragraphe 1 : problème envisagé dans le

« jambe gauche » montrent une froide objectivité du narrateur et un manque d’émotion face a l’atrocité de cette description. III/ La dénonciation par l’ironie Dans ce texte Voltaire dénonce l’esclavagisme. En effet il y a une grande critique des esclaves, par exemple ligne 21 «  les chiens, les singes, les perroquets sont mille fois moins malheureux que nous » ce qui signifie un non respect de l’être humain par rapport aux animaux qui sont plus obéissants. Il y a également une comparaison entre

intrigue : dans Mangeclous, publié trente années avant Belle du Seigneur, sont racontées les deux premières tentatives de séductions de Solal envers Ariane. L'ultime troisième étant exposé dans Belle du Seigneur. Certains des personnages persistent à travers toute l’Oeuvre, et ceux qui apparaissent pour la première fois en 1968 se rapproche à s’y méprendre de ceux des romans précédents : Ariane et Aude par exemple.Solal fait plusieurs fois allusion à son passé conjugal, avec cette derniére femme, homologue

faute sur la femme, il l’accuse de prostitution, d’une mauvaise education envers son fils et de tromperie· De “Va boire” a “Et toi tous les dimanches” → IL y a une gradation de la dispute, on passe de l'intérieur d’une masure à l'intérieur de l'âme humaine.· La dispute atteint son paroxysme au vers 15 avec des vers irrégulier et des insultes forte: “Assasin” et “bandit” qui relevent du meurtre et “prostitue” de tromperie · L’alchimie du crépuscule·

circonstances qui font attendre la suite => le récit reprendra à la fin : trois vers = le dénouement/ huit syllabes comme pour l’agneau => deux lieux/deux personnages : « l’onde/pure/le courant » # « le fond des forêts » => incarnation de deux types humains : l’innocence et la barbarie/ la victime et le tyran + à la fin : le récit toujours au présent de narration : « l’emporte et puis le mange » = brutalité + l’acte en train de se faire -> cruauté en actes. A l’intérieur du récit : le dialogue

Sicile. Les côtes de l'Asie mineure ont été, avant Homère, et jusqu'à l'Islam, domaine grec, d'elles nous sont parvenus les plus grands et les plus influents poètes helléniques. Les Dieux y ont été vus à travers l'amour, l'esprit, le désir ou la crainte, dans cette perspective où l'union entre les humains et les divinités ont été crues possibles au début des temps. Les poètes de l'époque ont imaginé ces figures de la puissance, de l'enchantement et de l'exaltation divines. La Grèce vivait confinée dans