La Science Est Aveugle

Homme es-tu capable d’être juste ?Texte n°6 :Au 18ème siècle, sont relancées les luttes des femmes contre les inégalités que leur impose le pouvoir, entre les mains des hommes, aussi bien sous la plume des plus lettrées, qu’avec l’appui des écrivains qui débattent et écrivent sur ce thème. Il est alors logique que, quand éclate la Révolution de 1789, les femmes y participent activement.C’est dans ce contexte, qu’Olympe de Gouges, femme de lettres qui milite pour l’égalité, rédige plusieurs œuvres

Voir grâce à sa langue * Ce procédé qui semble tout droit sorti d’un livre de sciences fiction existe en réalité depuis un moment. C’est le Dr. Paul Bach-y-Rita, qui a appréhendé le premier dans les années 60 la notion de « substitution sensorielle » et le profit que pouvaient en tirer les non voyants. En effet,  les personnes aveugles s’aidant d’une canne, substituent en réalité le son à la vue. C’est le bruit que fait la canne au sol et sa répercussion dans l’espace qui donne une indication visuelleà

privés d’une partie On peut de la même manière, mettre en relation ce constat avec un constat sur les aveugles produisant le même effet : un aveugle est incapable de voir , comment donc peut-il parler cette langue de la lumière sachant qu’il ne sait pas ce que c’est : Diderot l’évoque dans le paragraphe précédent en parlant du mathématicien aveugle Saunderson qui enseigne à ses élève une science de la lumière qu’il n’est pas apte à comprendre. Ils sont forcés de tout dire avec une très petite

Le jeudi 23 octobre 2014 Le texte une science qui dérange, est présenté sous forme d’entretien qui au long du discours va de l’avant à questionner la scientificité de la sociologie ainsi que sa place dans notre environnement social. Tout d’abord, il est important de se questionner du fait à savoir si la sociologie et les sciences sociales sont vraiment considérées comme des sciences. D’après le texte, pour être considéré comme étant une science, la sociologie doit démontrer deux caractères

connaissances et toutes ses facultés » : on parle de « sensationnisme ». L'aveugle de Molyneux et la statue de Condillac : Locke, L.II de l’Essai, consacré à la perception, reproduit la lettre du « savant M. Molyneux » (ch9¶8) : « supposez un aveugle de naissance », qui aurait appris à « distinguer par l'attouchement » le globe et le cube ; s'il venait à recouvrer la vue, il ne pourrait pas les reconnaître sans les toucher, dans l'impossibilité de mettre en rapport les deux expériences. Condillac

réponses aux questions métaphysiques qu’ils se posent. « L’homme est un animal métaphysique ».  Il à une « tendance  irrépressible » à se poser des questions (que ce soit sur l’origine absolue, les sens et les finalités ou encore la mort) que la science ne pourra jamais résoudre selon Schopenhauer. La religion répond au désir de protection des hommes, à ce désir de certitudes qu’ils ressentent. Elle apaise l’angoisse liée à ces désirs infantiles inassouvis en fournissant des dogmes (affirmations

| |Idée dominante : | |Très peu de recherches existent sur les sourds et aveugles, et particulièrement en théorie appliquée. | |Ce manque de recherches est certainement dû à la petite taille de la population représentée : à la nécessité de mener des études basées sur | |des individus

« mystère » dès le premier vers. Et il inscrit la fable dans une science, de longue haleine, qui demande de l'expérience : celle du moraliste : « Ce n'est pas l'ouvrage d'un jour/ Que d'épuiser cette science », et celle de l'amoureux (Le lecteur sait que La Fontaine est âgé ). Le fabuliste manie la confusion. Lorsqu'il montre (déictique « voici ») l'aveugle, il a recours à la parenthèse pour corriger l'ambiguïté entre un amoureux aveugle et le dieu de l'amour (vers 8). C'est que le récit qui suit va

Le progrès des sciences est indiscutable : tous les jours, des scientifiques innovent, cherchent, découvrent de nouvelles théories très utiles à l’humanité, mais aussi à la connaissance du monde qui nous entoure. D’un autre côté, on ne peut pas négliger la place que tient, et qu’a toujours tenue, la religion dans nos sociétés au fil du temps. Celle-ci n’a pas pour autant toujours susciter l’approbation du tout individu, et a engendré maintes questionnements et réflexions sur le sujet. En

ce qui le distingue encore plus de la population et qui fait de lui un étranger. On remarque qu'il est celui qui est placé le plus haut dans la cité, en étant roi, et pourtant à la toute fin de la pièce il sera celui qui est au plus bas en étant aveugle et en s'exilant. Car Œdipe se condamne lui-même quand il prononce la condamnation du meurtrier de Laïos, il lui promet une vie déshéritée, un exil et ordonne au peuple de le rejeter. Il ne réalisera que plus tard que ces paroles se retourneront contre