La Science Est Elle En Mesure De Dicter Des Conclusions Morales

"résultats", renvoient à une dimension de durabilité ; que les résultats soient partiels, provisoires ou définitifs, ils semblent dicter une temporalité qui leur est propre. Mais un résultat est également une note obtenue après calcul(s) – une dimension de comptabilité n’est donc pas à négliger. Ne parle-t-on pas de "résultats financiers" ? Par ailleurs, dans la mesure où le résultat renvoie à une activité consciente dirigée vers une fin, la dimension de finalité prime sur celle des moyens employés

Ferdinand Brunetière, directeur de la Revue des deux mondes, publia un article retentissant dans lequel il évoquait la faillite de la science. Son argument était que la science n’avait pas tenu ses promesses. Certes, la physique et la chimie avaient beaucoup progressé, les trains roulaient de plus en plus vite et la médecine se montrait de plus en plus efficace. Mais la science n’avait pas rendu les hommes meilleurs, eu d’effet bénéfique en politique, résolu les grands mystères de la nature ni révélé les

« caractère »), principes ou critères d’évaluation de la conduite humaine, parfois appelés mœurs (latin mores) et, par extension, étude de tels principes. Le terme latin ethica désigne la philosophie morale, qui relève des sciences sociales, par opposition aux sciences exactes (mathématiques, logique) et aux sciences empiriques (chimie, physique). Axée sur le concept de responsabilité, l’éthique s’inscrit dans l’histoire des idées. La philosophie grecque la conçut comme une réflexion sur la recherche du

différence de nous à nous-mêmes que de nous à autrui ». A travers ses Essais, dont il inventa le genre, Montaigne met son jugement à l’épreuve sur toutes sortes d’objets d’étude. Issu de la période de la Renaissance, il fut un des précurseurs de notre morale culturelle moderne. G. Lanson a écrit : « Ce n’est pas tant par ce qu’il a trouvé que par ce qu’il a cherché et par sa manière de chercher que Montaigne vaudra toujours. ». Dans un premier temps nous observerons les sujets d’études de Michel de Montaigne

se pose. On suppose alors qu’en raison d’un changement imprévisible de circonstances l’exécution d’un contrat devient plus onéreuse pour l’une des parties au point que le contrat parait totalement inéquitable, ce qui n’était pas le cas lors de sa conclusion. La révision pour imprévision permettrait alors au juge ou aux parties de modifier le contenu du contrat pour l’adapter au changement de circonstances. En droit français le principe c’est le refus de l’acceptation de la révision pour imprécision

définissent les rapports de l'être humain avec le sacré ou la divinité. Une religion particulière est définie par les éléments spécifiques à une communauté de croyants : dogmes, livres sacrés, rites, cultes, sacrements, prescriptions en matière de morale, interdits, organisation, etc. La plupart des religions se sont développées à partir d'une révélation s'appuyant sur l'histoire exemplaire d'un peuple, d'un prophète ou d'un sage qui a enseigné un idéal de vie. La religion peut être définie par

Introduction Tout homme se juge spontanément libre II. La critique déterministe du libre arbitre : la liberté ne serait qu'illusion III. La liberté authentique n'est pas donnée, mais elle est a acquérir Conclusion INTRODUCTION « L'homme nait libre et pourtant partout il est dans les fers ». Avec cette citation dans Contrat Social , Rousseau pose déjà l'ambigüité et la difficulté qu'il y a à comprendre le sens du mot de

Jestaz, Pouvoir juridique et pouvoir moral, RTD civ. 1990, p. 625 et s. Pouvoir juridique, pouvoir moral, ces deux notions sonnent comme des fanfares, mais dont l'expérience indique qu'elles ne jouent pas forcément le même air, ni au même moment, ni dans le même registre. Pourtant on ne se lasse pas de les évoquer ensemble, ce qui paraît être le signe d'une relative harmonie dans la dissonance. Va-t-on reprendre ici l'éternelle question des rapports entre la morale et le droit ? Oui et non. Si cette

modération et agir conformément à nos devoirs. Une conduite raisonnable caractérise une façon d’agir compatible avec les exigences morales, elle désigne une forme de sagesse. -> être rationnel c’est envisager les moyens les plus efficaces pour atteindre un objectif alors qu’être raisonnable suppose de prendre en compte la compatibilité de mon action avec la morale - Le sujet présuppose qu’agir de façon logique c’est-à-dire rationnel puisse être déraisonnable, autrement

 Royaume du Maroc Université Hassan II – Ain Chock Faculté des Science Juridiques Economiques et Sociales CASABLANCA MASTER DROIT DES AFFAIRES SEMESTRE 1 LES ABUS DE DOMINATIONS : L’ABUS DE DéPENDANCE ECONOMIQUE Travail présenté par : ELESSA ADJANDJI Rose Priscilla ANNéE UNIVERSITAIRE 2013 - 2014 PLAN INTRODUCTION I / Les conditions