La Souveraineté Selon Jean Bodin Chapitre 8

Définition[modifier] Définition juridique[modifier] Origine[modifier] Le concept émerge pour la première fois avec Jean Bodin dans les Six livres de la République (1576). Tout en s'inscrivant dans un contexte de réinterprétation du droit latin, cet émergence annonce en fait les logiques étatiques modernes[1]. Il ne recouvre en effet aucune notion de la législation romaine : ni l'imperium, qui désigne une simple « puissance de commandement militaire »[2], ni la summa potestas, qui se rapporte à

s’oppose à ces nouveaux régimes qui naissent de l’œuvre de la Révolution Française. 1789 est une charnière historique qui permet d’opposer l’ancien et le nouveau régime. L’ancien régime se base sur la souveraineté royale. Cesse d’exister en Juin 1789 pour faire place au nouveau régime qui donne la souveraineté à la Nation. Les révolutionnaires en 1789 sont à l’origine de cette opposition entre ancien et nouveau régime. Ils ont clairement voulu abattre cet ancien régime pour faire de nouveau. Dans la mesure

La souveraineté (du latin médiéval superanus qui dérive du latin classique superus « supérieur » ; et du concept grec Basileus) désigne le droit exclusif d'exercer l'autorité politique(législative, judiciaire et/ou exécutive) sur une zone géographique ou un groupe de peuples. Le concept émerge avec celui d'État, au Moyen Âge. Le souverain est donc au départ une personne identifiée (le représentant de l'État, le roi) puis se détache de plus en plus de sa personne pour devenir un concept théorique

appliqué par la classe politique. C'est une science descriptive : elle s'intéresse à ce qui est réellement. * L'exemple du régime anglais Selon le droit constitutionnel : Le régime est un régime à séparation souple des pouvoirs dans lequel un certain nombre de mécanismes placent les pouvoirs législatifs et exécutif sur un pied d'égalité. Selon la science politique : C'est un régime bipartiste dans lequel l'existence d'une majorité parlementaire place le chef du gouvernement dans une position

© Nathan 2020. HGGSP, Chapitre 5 CHAPITRE 5 - Le défi de la construction de la paix Depuis le XVIIe siècle, les relations diplomatiques sont régies par le système d’équilibre des puissances, défini lors des traités de paix de Westphalie (1648) qui mettent fin à la guerre de Trente Ans. Ce système n’exclut pas la guerre. Au XXe siècle, la violence inégalée des guerres mondiales donne naissance à une autre vision de la paix. Fondée sur la sécurité collective, elle aboutit à la création de la

mettre, poser, mettre debout, être fier) Hommo homini lapus Droit public : ensemble des règles et des principes tendant à ordonnancer la vie politique et garantir les droits et libertés de chacun dans la « société ». La société est un fait de nature selon Aristote (IVème siècle), c’est une « réalité », elle est au nombre des réalités qui existent naturellement. L’Homme ne peut pas vivreisolé donc ils se regroupent car ils ont peur du désordre, de l’injustice. Les deux premiers besoins de l’Homme sont

utilise pas encore au tribunal, c'est seulement la loi qui compte au 19ème. L'idéequ ela loi est l'expression de la volonté générale a fondé le principe de la souveraineté de la loi = On ne peut pas remettre en cause la loi CAR elle est l'expression de la volonté générale. - Suppression de la souveraineté de la loi après la 2GM. On prend conscience que les parlements peuvent violer les droit de chacun. Un parlement a une majorité qui peut opprimer une minorité.

grands philosophes (Socrate, Platon, Galilée, Kant, Hegel…) en retracent l’émergence et les grandes étapes de la pensée philosophique. Il montre comment se sont petit à petit tissés les liens entre la raison et la liberté. Chapitre 1 : L’invention de la raison Le premier chapitre « présente » la raison. Et c’est sous l’interrogation d’Emile Noel : « La raison est-elle inhérente à la pensée ou bien a-t-elle été inventée? ». François Châtelet commence par la Grèce classique où tout à commencer, et prend

Cette dernière appelle en effet le traitement deux autres notions étroitement liées, à savoir celles de Nation et de Souveraineté. [Problématique] L’évocation de ces deux éléments, inhérents à la notion d’État, mène à s’interroger sur leur substance et leurs conséquences sur le plan juridique et politique. [Annonce de plan] En effet, l’étude de la Nation et de la Souveraineté dévoile un travail doctrinal d’une particulière richesse, et conduit de ce fait à relativiser la notion en apparence

majeure est la Somme théologique qui s’organise comme une succession de questions et de réponses. 2 3 2 Loin d’être exhaustive et sujette à controverses, cette définition dresse néanmoins les grandes armatures de la scolastique médiévale8. Selon l’historien, l’ « Etat-République » se serait réalisé au sein de la pensée scolastique « de façon plus ou moins complète, en concurrence avec d’autres modèles gouvernementaux.9 » Il en résulterait l’Etat-nation -remplaçant l’ « Etat-république »