La Substantifique Moelle Gargantua

gouvernantes font tinter les pots et les flacons. => concert harmonieux QCM chapitres 14 à 24 Ebahi par les qualités de son fils, Grandgousier le compare à Alexandre. En effet, même si Gargantua est un géant qui possède une force herculéenne, ce sont ses facultés intellectuelles qui frappent son père. Gargantua manifeste les même qualités d’observation et d’expérimentation qu’Alexandre le Grand lorsqu’il réussit à dompter son cheval Bucéphale. Thubal Holoferne = confusion et ivrognerie Durée exceptionnelle

dialogue du Schpountz de Marcel Pagnol, ou de l'extrait de la biographie que Jean-Robert Probst a consacrée au clown Chicky, le rire interroge autant qu'il interpelle : aussi doit-il être pris au sérieux, comme nous le rappelle le célèbre prologue de Gargantua, rédigé par Rabelais en 1534.      Nous analyserons cette problématique selon une triple perspective : après avoir dans une première partie rappelé combien l'aspect facétieux, plaisant, voire bouffon du comique pouvait le dévaluer comme genre mineur

Mots clés : Un prologue burlesque , lecteur, Ivresse ( stylistique et littéraire, AppéRABELAIS LE PROLOGUEtit du savoir), paraître, grotesque ; contrastes, comparaison didactisme ; Situation : début du prologue de Gargantua ; Le narrateur s'adresse à son lecteur :il ne faut pas se laisser tromper par les apparences. M algré son titre et le ton comique, l'œuvre qu'il s'apprête à lire contient une sagesse qu'il lui appartient de savoir repérer

Ponge - Le parti pris des choses (1942) Page � sur �6 17OBJET D’ÉTUDE II : « La littérature d'idées du XVIe siècle au XVIIIe » ! A. L’œuvre : Gargantua, 1535, François Rabelais 1. Texte 1 : « Aux lecteurs », prologue de Gargantua, (extraits) 2. Texte 2 : Prologue de Gargantua, (extraits) 3. Texte 3 : Chapitre 53 de Gargantua : « L’abbaye de Thélème »(extraits) B. Le parcours : rire et savoir 4. Texte 4 : L’ingénu (1767) extrait du chapitre I, Voltaire
 C. Lectures cursives :

Explication linéaire 2Gargantua sur les tours de Notre Dame Si Gargantua adopte la structure d’un roman de chevalerie, exposant de façon chronologique l’enfance, puis l’éducation du héros éponyme, certains chapitres rompent avec la tradition en exploitant le thème du gigantisme cher à Rabelais. En effet, après l’échec de l’éducation menée par les précepteurs sophistes, G s’en va poursuivre ses études ss l’égide du précepteur humaniste Ponocratès. Confronté à un véritable harcèlement de

peuvent exercer sur leurs lecteurs une domination intellectuelle : il en est ainsi quand des « maîtres à penser » acquièrent une autorité morale par leurs ouvrages qu’un certain public malléable admirent inconditionnellement ; Rabelais se moque dans Gargantua des précepteurs sophistes qui obligeaient leurs élèves à apprendre par cœur des ouvrages latins ou à vénérer par-dessus tout Aristote. Dans le Candide de Voltaire, le précepteur de Candide, Pangloss a lu si passionnément les ouvrages du philosophe

| | L'œuvre de Rabelais | | Dès 1532, Rabelais entreprend une vaste épopée burlesque dont les premiers volumes, Pantagruel, Gargantua, attirent les foudres "sorboniques". Beaucoup plus tard, il publie un Tiers Livre, puis un Quart Livre, qui furent aussi vivement discutés.Pantagruel (1532) et Gargantua (1534) content les aventures mirifiques du géant Gargantua, de son père Grandgousier et de son fils Pantagruel.Le Tiers livre (1546) et le Quart Livre (1552) sont consacrés à Panurge, l'ami

regardant ne saisissant que la "forme" de la toile, sans en saisir l'essence. Rabelais, en préface de Gargantua, tient un discours approchant concernant la littérature, disant qu'au dela de la forme d'une oeuvre, il est possible de l'observer de manière plus appuyée afin d'en "tirer la substantifique moelle" comme il l'a écrit lui même, usant de la métaphore d'un chien qui casserait un os pour en tirer la moelle plutot que de se contenter de le ronger. Ce propos s'illustrera dans la suite de la nouvelle dans

Gargantua analyseRabelais, Gargantua, Résumé-analyse Quand on découvre Gargantua, on peut se trouver déconcertés par ces géants qui boivent trop, qui répandent leurs fluides corporels. Mais on va voir que tous ces débordements ont en fait un sens caché… Vous connaissez l’Ogre des contes de fée. Personnage effrayant, destructeur : il dévore les enfants ; du côté de la négativité, c’est une figure mortifère. Hé bien Gargantua est exactement l’inverse : son gigantisme est un prodige… Tout est générosité

homme, il se fait homme » ERASME. Appellation de « renaissance » est contemporaine du 16e s. ≠ aux hommes du M-A qu’ils voient comme barbares, obscurantiste, marqués par la superstition et ignorance. Reflet de l’orgueil du 16e s. RABELAIS ds Gargantua chap 9, fait passer sa pensée. Auto-désignation par les hommes de la Renaissance eux-mêmes. Se défaire de la pensée symbolique. Mais certaine choses restent : ex : gout scatologique de RABELAIS réfère aux fabliaux du M-A, continuité du M-A