La Technique Peut Elle Changer La Condition Humaine

L'ouvrier humain, lorsqu'il détourne à son profit les objets ou les puissances de la nature, se rapproche de toutes les autres forces naturelles. Au niveau du déploiement de l'activité, on peut légitimement comparer un écureuil qui rassemble ses provisions pour l'hiver (photographie ci-contre (c) Regroupement des Astronomes Amateurs de l'Outaouais Québecois) et un agriculteur qui rentre sa récolte. Pourtant, entre eux, une énorme différence existe : si l'activité de l'écureuil se voit déclenchée

Peut-on agir contre nature ? Du Néolithique jusqu’à nos jours, les sociétés humaines n’ont de cesse d’intensifier la pression sur leur environnement afin d’assurer leur développement. On parle alors de « révolution Néolithique » car elle a constitué selon l’anthropologue Claude Lévi- Strauss une rupture dans l’histoire humaine en raison de la transformation déterminante du mode de subsistance. Le rapport des hommes à leur environnement change, la domestication et la destruction de la

grande ressources humaines mais aussi cause beaucoup de problèmes. Un des grands problèmes est la plupart des main-d’oeuvres en base qualité, ce qui limite le développement d’économie. Avec l’accumulation du capital et technique pedant 30 ans, en même temps le changement du contexte mondial, on ne peut pas continuer la stratégie de la concentration du travail en quantité. « L’atelier du monde » doit devenir « la création du monde ». A la fin de 1990s, le contexte du monde a changé : la crise financière

L’essor technologique et l’idée de progrès Longtemps, le développement de la technique s’est fait quasiment sans bornes ni limites. Le présupposé d’un progrès, à la fois fin (but de l’action technique) et produit (résultat obtenu grâce à son intervention), lui conférait un pouvoir souverain. Conçue comme autorégulatrice et, de plus en plus, comme autofinalisée, la technique a répondu à sa propre expansion ou à des besoins par elle-même créés, dans une logique de surenchère, ou dans une forme de

Thème : La banalité du mal dans la post-modernité Problématique : Comment un siècle destiné au progrès et au bonheur des hommes a-t-il pu se transformer en un siècle de barbarie et de grand sacrifice humain ? [pic] Introduction : Aujourd’hui, la société contemporaine peut être qualifiée de société post moderne, certes, mais aussi et plus fondamentalement de post-mortem. En effet, cette société que tout prédestinait au progrès a aboutit à une véritable négation ontologique. C’est

(paradoxe), tout porte à croire que si avoir ce que l’on veut peut nous rendre heureux, toutefois cela risque plus encore de nous pousser à vouloir encore et toujours, comme une addiction au bonheur de laquelle nous finirions par nous lasser, et encore : si elle ne s’est pas révélée vaine avant cela. Nous en venons donc à nous demander s’il n’est pas préférable de renoncer à ce que l’on veut pour être vraiment

Introduction Les employés et les managers cherchent toujours des changements positifs des conditions du travail. Les  recherches internationales portant sur les changements qu’ils soient d’ordre organisationnel, sociétal ou individuel, montrent toutes qu’il n’est pas suffisant de prendre connaissance d’un problème ou d’un danger pour que la situation change .Ce constat s’applique à de nombreux milieux de travail où on connait les problèmes et les moyens pour les régler

Morale et Politique Dissertation : Le progrès technique peut-il se concilier avec une exigence éthique ? A priori, le progrès technique et l’éthique semblent s’opposer. Le progrès technique suppose un changement permanent auquel l’éthique semble opposer des obligations absolues, immuables qui fondent ce qui fait que l’homme soit humain. C’est attribuer à la technique le pouvoir de modifier l’essence de l’homme. En effet, le progrès technique constitue une amélioration des moyens, mais également

dissertation donnés au bac depuis 1996 avec les sujets 2009 tout en bas de la page ( pour rechercher sur cette page : Ctrl + F ) ------------------------------------------- ES : Amérique du Nord et Liban – Session NORMALE 1996 Peut-on tout dire ? Au nom de quoi peut-on reprocher à autrui d’être égoïste ? ------------------------------------------- ES : Amérique du Sud - Session NORMALE 1996 Nos rapports avec autrui sont-ils nécessairement conflictuels ? Qu’est-ce que prouver ? -------------------------------------------

Thèmes : Action Peut-on réaliser l'impossible? (Impossible) Doit-on réfléchir avant d'agir? (Action) Nos actes sont-ils toujours réfléchis ? (Action) Qu'est ce que ne rien faire? Peut-on dire du doute qu'il est utile a la connaissance et nuisible a l'action ? (Action) Est-ce nécessaire d'avoir des règles ? (Action) "Soyez réalistes, demandez l'impossible!" (Action) "Repartir a zéro " Quels thèmes / idées peut-on employer pour répondre et argumenter le thème ? (Action) Est-il bon d'avoir peur? (Action)