La Tentatrice

sur les distinctions féminines et sociales. C’est d’abord dans un conte facétieux que nous nous retrouvons. En effet, nous assistons à la mise en œuvre du stratagème du clerc qui va tromper la jeune « garse » relativement naïve. Cette dernière, tentatrice contre son gré, est déshumanisée et devient un objet sexuel. Comme le dit si bien un vieil adage : « l’habit ne fait pas le moine ». En ce sens, Bonaventure Des Périers a voulu faire une critique de la Justice et de l’Homme. Pour conclure, nous

n'est qu'incohérence. Ce monde va changer à la suite d'une péripétie dont Cunégonde sera la cause (le baiser). Voltaire caricature en quelques sortes le départ de Candide en le montrant chassé du paradis terrestre comme Adam mais ici, la tentatrice n'est plus Eve mais Cunégonde. Un paradis où tout le monde s'efforce de mentir et croire à autre chose que la réalité. Candide n’est qu’au début de son apprentissage, il est encore bien loin de l'idéal voltairien.

femme (figure) : Ce recueil montre l'ambivalence, la dualité de la figure féminine : Elle peut mener le poète vers l'Idéal mais aussi figure de la cruauté=> Femme est muse et sorcièreDans le recueil inspiration de 3 femmes : Jeanne Duval, femme tentatrice et destructrice Marie Daubrun, actrice et compagne de Théodore de Banville Mme Sabatier, femme sublime, digne de toutes les vertus-De la figure du poète : Elle est contrasté. Parfois communie ft le monde et cœur des choses quand Idéal

Charles Baudelaire a tenu à entretenir durant toute sa vie littéraire. En effet, l'auteur considère la Nature comme étant, par définition, laide ; il considère la beauté comme artificielle. Cette même beauté est vue comme de nature provocatrice et tentatrice (donc pouvant entrainer l'être humain vers le péché - rapport à la conception immanente qu'a eu Baudelaire par rapport à la religion) : l'Homme ne peut lui résister. ''Les fleurs du mal'' en sont ici l'allégorie. Le poète a divisé son recueil en

dire qu’il fait un voyage vers elle, pour elle. En conclusion, le symbolisme de Baudelaire est très présent dans le poème «Le serpent qui danse», extrait des Fleurs du Mal. Les métaphores et comparaisons filées dans ce poème associe la femme, tentatrice, au serpent. La femme séduit Baudelaire et par son exotisme l’entraine a voyage vers un endroit indéfini. Il reste à savoir si le symbole maléfique du serpent se transmet pour Baudelaire dans cette femme ou si c’est juste sa beauté et tentation

l’origine du malheur, présentée comme l’instigatrice de la relation ; celle elle qui en a eu l’initiative : « Toi qui » : anaphore aux vers 1et 3. 2. Un être hors normes dangereux - « folle » (v. 4) - « parée » (v.4) : image de la femme séductrice, tentatrice. - démoniaque (v. 3 et 4 : comparaison), puissamment nocif, qui vide le poète de sa substance vitale (CF : le titre « Le Vampire » repris par le dernier mot du poème) 3. Un être dominateur Celle qui exerce un pouvoir absolu sur le poète - v

Charles Baudelaire a tenu à entretenir durant toute sa vie littéraire. En effet, l'auteur considère la Nature comme étant, par définition, laide ; il considère la beauté comme artificielle. Cette même beauté est vue comme de nature provocatrice et tentatrice (donc pouvant entrainer l'être humain vers le péché - rapport à la conception immanente qu'a eu Baudelaire par rapport à la religion) : l'Homme ne peut lui résister. ''Les fleurs du mal'' en sont ici l'allégorie. Le poète a divisé son recueil en

n'est qu'incohérence. Ce monde va changer à la suite d'une péripétie dont Cunégonde sera la cause (le baiser). Voltaire caricature en quelques sortes le départ de Candide en le montrant chassé du paradis terrestre comme Adam mais ici, la tentatrice n'est plus Eve mais Cunégonde. Un paradis où tout le monde s'efforce de mentir et croire à autre chose que la réalité. Candide n’est qu’au début de son apprentissage, il est encore bien loin de l'idéal voltairien.

trouve que toutes les femmes sont des salopes à cause de sa mère. Mais il est attiré par les femmes sexuellement, il les méprise donc puisqu'il aime quelque chose qu'il méprise. À cause de ça, il s'en veut. La femme parfaite n'existe pas, c'est une tentatrice au péché • La religion : il est chrétien mais pour lui Dieu n'est pas quelqu'un d'incroyable. C'est juste quelqu'un qui condamne et qui juge. • La politique : rien à faire. Ses seules consolations sont la mort ( résolution à tous les problèmes

bazar où il lui faut voler le plus possible, non pas pour le seul fait de posséder, mais plus pour dépenser sans compter, accumuler les folies, multiplier les plaisirs. Parmi ces plaisirs, il y a celui de la provocation sensuelle qu’en impudente et tentatrice, elle dispense sans vergogne, car son jeune age attire, sa beauté éblouit, son charme enflamme le sang de ses « victimes », prises dans ses filets infernaux, son animalité suscitant un désir qu'elle ne saurait rassasier. On ne peut s’empêcher de