La Terreur 1793 1794

Directoire sera instauré de 1795 à 1799, il suit une période très dure pour les Français, appelé la Terreur. La terreur se définit comme la politique mis en place pour lutter contre les ennemis de la révolution. Les premières mesures qu’on peut rattacher à la Terreur vont être adopté en septembre 1793 et jusqu’au printemps 1795. C’est une politique qui va rapidement se radicaliser à partie de 1794. En effet à cette période ce régime d’exception va très vite se transformer en dictature personnelle

Bourgeoisie vs. Patriciat ; ▪ Deuxième phase 1789-1791 : entrée dans l’échiquier politique des Natifs. Conflit Natifs vs. Bourgeois ; ▪ Troisième phase 1792-1793 : égalité politique pour tous les Genevois et révolution ; ▪ Quatrième phase 1794 : crise économique et « Terreur » ; ▪ Cinquième phase 1795-1798 : « Thermidor ». - Conclusion - Annexes Chronologie raisonnée | |A Genève[3]

avocat royaliste à permit de retrouver les corps. Celui-ci habitait rue d’Anjou à côté du cimetière, et avec un petit groupe de royaliste ils recensaient tous les corps. - Ligne 9 : « à Saint Denis » : En 1793, à la suite de la profanation des tombes de la basilique Saint-Denis, les révolutionnaires jettent les cendres de quarante-deux rois, trente-deux reines, soixante-trois princes, dix serviteurs du royaume, ainsi que d’une trentaine d’abbés et de religieux

d’une forte portée symbolique a sauvé la révolution française. Que signifie la Terreur ? La terreur est le nom pour lequel on désigne une période de la révolution française. La date de son commencement n’est pas définie, elle débute selon les auteurs, a la naissance du tribunal révolutionnaire an mars 1793. Qui sont Robespierre et Danton ? Robespierre est né à Arras en 1758, décédé à paris le 28 juillet 1794, Robespierre est issue d’une famille de la petite bourgeoisie. Jeune homme pauvre

tombeau. Ce qui constitue une république, c'est la destruction de tout ce qui s'oppose à elle. » dit Louis Antoine de Saint-Just lors de son disocurs à la Convention nationale du 26 Février 1794. Cette phrase décrit bien la période de Terreur. Saint-Just est un Montagnard et surnommé « l'archange de la Terreur », Saint-Just joue un rôle important dans la lutte qui oppose les Montagnards aux Girondins. Après l’abolition de la monarchie, la France se trouve dans une situation d’une double menace -

insurrectionnelle, à Paris, dominée par les révolutionnaires les plus extrémistes. La nouvelle commune administre Paris, et elle seule, à la possibilité de recourir à la force armée. A la suite de ces événements, la nouvelle commune organise une 1ere terreur en créant un tribunal révolutionnaire, en confisquant les biens des émigrés... Le 20 septembre 1792, après de nombreuses défaites militaires, les armées révolutionnaires sont victorieuses à Valmy. Le lendemain, le 21 septembre 1792, la royauté est

la refusent : les catholiques tous ceux qui restent fidèles à une idée de la monarchie. Le 21 janvier 1793, Louis XVI est guillotiné. Cela marque une fracture, et une grande partie de la noblesse, de la bourgeoisie, du peuple… n’accepte pas cette rupture brutale. Tous ceux qui refusent la Terreur (guerre civile, guillotine… : l’expression vient de Robespierre, qui voulait instaurer « la terreur et la vertu ». François Furet voulait que la Révolution devienne « un objet froid », car au 17ème, on

vote la 1ère République. Le Roi est guillotiné le 21 Janvier 1793. Les monarchies européennes forment une coalition contre la france pour stopper la révolution, car ils ont peur des révoltes dans leurs royaumes. Les guerres de Vendée éclatent car les royalistes catholiques se révoltent contre la convention de la république. Les fédérés sont des républicains qui se révoltent contre les députés de la convention La politique de la Terreur. La convention forme un gouvernement composé du : -Comité

mais une mesure de salut public à prendre, un acte de providence nationale à exercer […] Louis doit mourir parce qu’il faut que la patrie vive. » Prisonnier, Louis XVI est accusé de trahison contre la Révolution, jugé et condamné à mort (17 janvier 1793) par la Convention (749 députés) à une courte majorité de députés (les régicides) dont son cousin, le duc d’Orléans qui a pris le titre de « Philippe Egalité » pour s’affirmer ami de la Révolution. Louis Capet, ci-devant Roi des Français, est-il coupable

citoyens, faire aimer la Patrie (éduquer) Recherche d’un compromis entre instruction publique et éducation nationale – discours à la Convention le 21 décembre 1792 de Jean-Paul Rabaut Saint-Etienne (1743-1793, guillotiné le 5 décembre). I. Le temps des plans d’éducation nationale (juillet 1789 – Juillet 1794) Le plan d’éducation nationale présenté par Charles-Maurice de Talleyrand Périgord, dit Talleyrand (1754-18383), le 10 septembre 1791. Trois degré d’enseignement : Le premier degré s’adresse