La Terreur

André Chénier, Iambes, « Derniers vers », 1794 Les Iambes ont été composés pendant la Terreur, alors que Chénier attendait son exécution à la prison Saint Lazare Comme un dernier rayon, comme un dernier zéphyre Animent la fin d'un beau jour, Au pied de l'échafaud j'essaie encor ma lyre. Peut-être est-ce bientôt mon tour. Peut-être avant que l'heure en cercle promenée Ait posée sur l'émail brillant, Dans les soixante pas où sa route est bornée, Son pied sonore et vigilant

chef du gouvernement insurrectionnel. Il fait face à l'invasion prussienne tout en pratiquant la Terreur. Instigateur de la levée en masse et créateur du Tribunal révolutionnaire, membre du Comité de Salut Public, il est ensuite attaqué par les Girondins et, n'ayant pas su réduire les insurrections, il est écarté du pouvoir au profit de Robespierre. Il reprochera à celui-ci sa politique de la Terreur; Robespierre et Saint-just au nom de la vertu se débarrassent de lui et de ses amis en les décrétant

insurrectionnelle, à Paris, dominée par les révolutionnaires les plus extrémistes. La nouvelle commune administre Paris, et elle seule, à la possibilité de recourir à la force armée. A la suite de ces événements, la nouvelle commune organise une 1ere terreur en créant un tribunal révolutionnaire, en confisquant les biens des émigrés... Le 20 septembre 1792, après de nombreuses défaites militaires, les armées révolutionnaires sont victorieuses à Valmy. Le lendemain, le 21 septembre 1792, la royauté est

constitue une république, c'est la destruction de tout ce qui s'oppose à elle. » dit Louis Antoine de Saint-Just lors de son disocurs à la Convention nationale du 26 Février 1794. Cette phrase décrit bien la période de Terreur. Saint-Just est un Montagnard et surnommé « l'archange de la Terreur », Saint-Just joue un rôle important dans la lutte qui oppose les Montagnards aux Girondins. Après l’abolition de la monarchie, la France se trouve dans une situation d’une double menace - à l'intérieur, c'est l'époque

a) Origine : Du latin terror qui signifie terreur, apparu pour la première fois au 18ème siècle, durant la Révolution française, pendant le régime de la Terreur, lorsque le Comité de salut public dirigé par Robespierre exécutait ou emprisonnait toutes les personnes qui étaient considérées comme contre-révolutionnaires. b) Approche de l’ONU : Bien que l'Organisation des Nations unies n'ait pas encore accepté une définition du terrorisme, la « définition de consensus académique » de l’ONU est la

conflit œdipien opposant un père à son fils. Le travail du cinéaste est vraiment remarquable, il a littéralement pu « transformer la douleur en forme ». Il a en effet fait preuve de professionnalisme en trouvant la fluidité nécessaire pour exprimer la terreur qui plane à la maison ainsi que la honte et les conséquences morales ou physiques qu’elle suscite. L’histoire est celle d’un adolescent, Alexandre, qui est maltraité physiquement par son père. Les brimades qu’il subit lui empêchent de pratiquer

pas présentes dans toutes les classes sociales. Ils s’attaquaient aux riches inutiles et fainéants, leurs souhaits n’étaient d’ailleurs pas la suppression mais la limitation de la propriété. Pour eux, la dénonciation d’inégalité était un devoir, la Terreur était un moyen de défense et ils vénéraient la sainte guillotine. Ils gardaient un culte pour Marat assassiné par la « garce du Calvados » et le journal « le Père Duchesne » qui était connu pour la violence de ses propos étaient leur journal de référence

la loi est autorisé  et personne ne peut forcer quelqu'un à faire quelque chose qui n'est pas inscrit dans la loi, Ces propos sont d'une extrême radicalité, La liberté paraît presque totale, C'est d'ailleurs ce qui justifiera l'instauration de la Terreur par Robespierre, qui au nom de la représentation nationale, légiférera et établira des lois illégitimes, Il utilisera cette liberté pour créer des lois qui elles-même vont à l'encontre de la liberté de l'homme, On constate également que le citoyen

Il n'est malheureusement pas réélu au Comité de Salut Public, on lui préfère Robespierre. Il participe à l'élimination des enragés, députés extrémistes de la convention. Danton se retire alors dans sa ville natale. Vers 1794, il s'oppose à la terreur et condamne les exécutions, et pousse Camille Desmoulins à prôner de la modération dans un article du vieux cordelier. Danton est accusé de conspiration par le Comité de Salut Public, il se défend avec éloquence devant la convention, le comité, craignant

(1720-1797) était procureur auprès du Parlement de ParisNote 2. Il est le père d'un autre Jean-Baptiste de Gaulle (1759-1832), cité dans les généalogies comme avocat au Parlement de Paris qui comparut devant le Tribunal révolutionnaire pendant la Terreur mais réussit à éviter la guillotine3. Les de Gaulle résidaient depuis près de cent cinquante ans à Paris quand Charles de Gaulle naquit en 1890. La famille maternelle de Charles de Gaulle, les Maillot, était originaire des Flandres françaises