La Theocratie Royale

culture savante et les traditions - La religion : Blaise Pascal: écrivain, philosophe, mathématicien qui a mis toute sa culture savante au service de la foi. 1640: Proche des jansénistes dont le foyer intellectuel se situe à l'abbaye de Port-Royal, proche également des moralistes français. - les penseurs réactionnaires du XIX qui essaient de défendre les traditions contre la poussée irrésistible de la démocratie. Au départ, ce sont des conservateurs ( => Réactionnaires) La pensée réactionnaire

République François Mitterrand de 1981 à 1991, après seulement trois entrevues. Il conseille au président de faire venir à l'Élysée Jean-Louis Bianco, Alain Boublil et quelques jeunes énarques prometteurs, comme le couple François Hollande/Ségolène Royal… Il rédige chaque soir des notes pour le président sur l'économie, la culture, la politique ou le dernier livre qu'il a lu ou parcouru. Le président lui confie également le rôle de sherpa (représentant personnel du chef de l’Etat) pour les sommets

royauté. C’était bien sûr la coutume. En l’occurrence une coutume familière ou générale. Durant cette période elle a un caractère religieux. Le droit n’est pas encore distinct de la religion. Y avait-il des lois ? Effectivement, il y avait les lois royales. Selon les historiens romains, le roi avait un certain pouvoir législatif. Il pouvait proposer, aux assemblées curiates, des lois. Vers la fin de l’époque de la royauté, un juriste appelé papyrus a constitué un recueil des lois de la royauté. Certaines

indépendance du pouvoir temporel et de la puissance spirituelle. Il y a une séparation de l’Etat et de l’Eglise d’où la notion de laïcité par exemple. Au contraire, il peut y avoir une confusion entre ces 2 puissances C'est ce que l'on nomme la théocratie : c’est le pouvoir souverain des Dieux. En Egypte, il y a une confusion totale entre le Roi et Dieu puisque le roi est divinisé dans la mesure où il est considéré comme le fils des Dieux. Entre ces 2 solutions, il y a des systèmes intermédiaires

partie à l'Est du Rhône devint la Lotharingie (du milieu). Ultérieurement, cette dernière fut séparée au profit du Royaume de France (Flandre, Bourgogne, ...) ou du Saint Empire Romain Germanique (rive gauche du Rhône, Provence, Savoie). L'autorité royale déclina constamment en France. Les vassaux devenaient plus puissants que le Roi. Parmi eux, les Comtes de Toulouse. A la fin du XIème siècle, un grand mouvement ébranle toutes les couches sociales de la société médiévale à savoir les Croisades (1ère

pouvoir La conception du pouvoir à l’époque franque est extrêmement conditionnée par les traditions germaniques, qui placent le roi en tant que chef absolu du pouvoir. Une importance très grande est accordée à l’hérédité, avec ce qu’on appelle la race royale. A. La royauté mérovingienne C’est le pouvoir de l’individu, et non de l’Etat. C'est-à-dire que le roi exerce le pouvoir pour sa satisfaction, dans son intérêt propre, et non pour la collectivité. Bien qu’il y ait chez les mérovingiens une

monarchie que l'aristocratie parvient à rendre celle-ci élective. De 633 (élection du roi Sisenand par le quatrième concile de Tolède) à 711 (conquête arabe), dix conciles de Tolède désignent les rois et les contrôlent, établissant une sorte de théocratie conciliaire. Le dynamisme de l'Église espagnole se traduit par une activité théologique et intellectuelle qui tranche avec le reste de l'Occident : en témoigne surtout l'oeuvre encyclopédique de saint Isidore de Séville (vers 560-636). 2. MOYEN

le pouvoir central et le peuple ; ensuite ils avaient un devoir d’aide : ca peut être une aide militaire, mais c’est surtout l’aide financière, ils donnaient leur autorisation pour créer les impôts. L’institution était placée sous la suggestion royale, chaque ordre avait un nombre égal de députés, cette réunion commencé toujours par un discours du Roi « Os Apertum » ce qui veut dire « ouvrir la bouche » il exposé les motifs de la réunion et l’ordre du jour. Ensuite chacun se retire pour délibérer

que l’intrigue se décline beaucoup autour des désirs masculins convergents vers Esméralda, l’intérêt du roman de Victor Hugo réside aussi beaucoup dans la signification historique de l’ouvrage. Nous y croisons ainsi un archidiacre symbole de la théocratie de l’Eglise de l’époque, mais aussi de la nouvelle monarchie mise en place sous Louis XI et incarnée par le capitaine ; s’y mêlent aussi toutes les composantes sociales d’une époque : la figure du monstre, le peuple puéril… L’écrivain dresse un

apparaît souvent comme mettant en avant l’Etat, il est renforcé. Ce système s’effondre en 1989 en occident et persiste encore principalement en Asie, à Cuba et en Corée du nord. Section III : La théorie théocratique islamique : Théocratie= gouvernement de dieu. La théocratie est fondée sur des principes qui s’opposent au droit constitutionnel occidental classique. Islamiques = musulmans ≠ Islamistes = musulmans qui défendent l’idée d’un Etat religieux Islam (musulmans) n’est pas un bloc homogène :