La Theorie Du Domaine Royal

opposition au pouvoir démocratique. Les philosophes des lumières voulaient modifier la monarchie et la critiquent, après la révolution de 1789, ils récupèrent l’absolutisme. Sous réserve de cette nuance et de cette ambiguïté. Section 1 : La théorie de l’absolutisme Cette notion sera très lentement reconstituée au cours du moyen âge classique par les capétiens. On a tenté de reconstituer la souveraineté, qui avait existé chez les romains, pour tenter de défendre les français contre des rivaux

de la couronne. 3- Elles limitent l’autorité royale Le roi est libre à l’égard des lois ordinaires par contre il est lié par les lois fondamentales qui sont les lois du royaume et non celle du roi. Les lois fondamentales du royaume s’imposent au monarque qui ne peut pas leur porter atteinte. La garde de ces lois fondamentale est confiée au Parlement de Paris et il est intervenu à plusieurs reprises pour sanctionner les actes royaux violant les lois fondamentales. Paragraphe 1 : Les

de la monarchie Dès le 15e Europe des nations du sud (aujourd'hui plutôt nord) qui domines Espagne, Portugal, France, certaines cités italiennes, ces nations du sud sont entreprenantes, tellement que vont bouleverser le paysage central dans le domaine de la pensée, de l'art, mais aussi de l'économie, du pouvoir et des institutions. Contrairement à la période médiévale c'est une période de mouvement, paradigme qui change à partir du 14e 15e siècle car grande période de tensions religieuses, 16e

France Plusieurs dynasties se sont succédé sur le trône royal. Les mérovingiens d’abord, qui sont les descendants de Clovis. Puis les carolingiens, dont fait partie Charlemagne, et enfin les capétiens, descendants de Hugues Capet. Depuis, tous les rois qui ont régné en France, que ce soit avant la Révolution ou après ont été des capétiens. Paragraphe 1 Le légendaire royal Au fil des siècles, toute une légende s’est forgée autour de la personne royale, accompagnée d’une symbolique particulière. Il y a

définition de la théocratie qui s'adapte au sens qu'a pris le terme dans les débats sur la papauté. Ce qui est ici envisagé comme théocratie est l'inverse du césaropapisme, le césaropapisme étant la tendance du pouvoir politique à gouverner dans le domaine spirituel. Ce concept a commencé à être utilisé au xixe siècle en même temps que l'idée d'une théocratie pontificale s'est imposée dans la recherche historique. Pour tenter de clarifier le problème de la signification que pouvait avoir le terme théocratie Max

françaises avant la révolution : Deux grandes orientations vont guider le développement. La première est : comment expliquer l’émergence et l’affirmation de la notion d’Etat au cours du Moyen-âge. - Notion d’Etat : résurgence, vient du passé, de théories plus anciennes héritées de l’antiquité (RES PUBLICA). Les juristes médiévaux parviennent à lui donner une signification originale (à partir du 12ème siècle) en commençant par fixer des règles qui s’appliquent à tous même au roi : sorte de Constitution

pouvoir III. Les attributs du pouvoir A. Pouvoirs d’origine germanique 1. Le mundium 2. Le ban B. Pouvoirs d’origine romaine §2 – Charlemagne ou l’idée d’Empire retrouvée I. La nouvelle conception du pouvoir A. La théocratie royale 1. Le sacre royal 2. la doctrine théocratique B. La rénovation de l’idée impériale II. La transmission du pouvoir 1. L’élection et ses correctifs 2. Election fictive et effective III. Les attributs du pouvoir Section II – L’administration du

dynastie a la volonté de restaurer l’empire Romain tel qu’il était dans l’antiquité. Mais à partir de 850 cette dynastie s’essoufflent et doit faire face à des pouvoirs concurrents. Cette royauté qui domine la France jusqu’en 989. Ce redressement royal ne débute qu’à partir du règne de Philip August (13e siècle), les progrès de la monarchie seront continue jusqu’au 15e siècle ou il y aura un coup d’arrêt (1337-1456). Cette perte de sang-froid permet le début de l’unification du territoire, elle permet

France, et l’existence de ce cercle vertueux unissant règles de la dévolution, pérennité du royaume et renforcement du pouvoir royal.       I.                   Un successeur désigné par des règles coutumières de dévolution de la couronne.   Dans la mesure où il existe un corps de règles régissant la dévolution de la couronne, la stabilité est garantie car la succession royale ne peut pas être l’objet de lutte à chaque génération – comme cela fut le cas notamment sous les dynasties franques. La coutume

satisfaire l’intérêt commun, uniquement celui de l’ensemble des citoyens romains. Autre conséquence de la conception romaine, le dirigeant n’est pas propriétaire de la Res Publica, et ne dispose pas à son gré, de ce fait, ni du trésor public, ni du domaine public. En dernier lieu, le pouvoir impérial était assorti de limites, fixées par la Loi exprimant la volonté des citoyens. D’après les écrits des juristes romains, les empereurs étaient tenus de respecter la volonté commune. Ainsi, ils n’avaient