La Tirade De Marguerite Commentaire

pinacle où veille une horloge, et deux ailes dont chacune est enveloppée d’un perron à balustrade de pierre. Par-dessus les murs du parc et au-delà du plateau que soutiennent les hautes falaises normandes, on aperçoit, entre les villages de Sainte-Marguerite et de Varangeville, la ligne bleue de la mer. Là vivait le comte de Gesvres avec sa fille Suzanne, jolie et frêle créature aux cheveux blonds, et sa nièce Raymonde de Saint-Véran, qu’il avait recueillie deux ans auparavant lorsque la mort simultanée

modèles collectifs. Il libère aussi une conception différente du texte qui, au lieu de devoir susciter une adhésion immédiate, peut être appréhendé de manière globale et confronté avec lui-même. La distance qui s'établit ainsi ouvre un espace pour le commentaire critique. Dans ces oeuvres devenues relativement autonomes par rapport à leur source, le lecteur peut imposer son mode de consommation, son rythme d'appropriation. Comme le texte peut désormais circuler loin de sa source, qu'il peut rencontrer

 Pichois, Études baudelairiennes, III, p. 262 à 289. 99. P. Bénichou, "À propos du Guignon. Note sur le travail poétique chez Baudelaire", Études baudelairiennes, III, p. 232 à 240. Pour la traduction voir Le Guignon, note 185. 100. Voir les commentaires de J.-P. Richard, "Profondeur de Baudelaire", dans Poésie et Profondeur, p. 93-94, et de J.-P. Sartre, Baudelaire, p. 220-221. 101. Richard Wagner, Pl II, p. 803. 102. Notes nouvelles sur Edgar Poe, Pl. II, p. 332. Cf. les images voisines du

VIII - QUELLE EST LA DECORATION QUI DISTINGUE ?................................................................................273 CHAPITRE IX - LE BAL...............................................................282 CHAPITRE X - LA REINE MARGUERITE.................................291 CHAPITRE XI - L'EMPIRE D'UNE JEUNE FILLE !...................299 CHAPITRE XII - SERAIT-CE UN DANTON ?............................303 CHAPITRE XIII - UN COMPLOT...............................

successifs de poèmes pris à différents endroits dans l’œuvre. De toute manière, on choisit toujours des objectifs précis à l’étude d’une œuvre intégrale et on l’organise autour d’axes préalablement définis, afin qu’elle ne s’enlise pas dans un simple commentaire au fil de l’œuvre. La principale finalité de cet exercice, outre d’apporter aux élèves un enrichissement culturel, est en effet de leur apprendre à aborder méthodiquement des œuvres afin qu’ils puissent en lire eux-mêmes, et les amener à comprendre

comme au hasard ? Mathilde eut peur, ne put soutenir son regard, et recula deux pas. Elle le regarda un instant ; puis, honteuse de sa peur, d'un pas léger elle sortit de la bibliothèque. CHAPITRE IX - LE BAL 290 CHAPITRE X - LA REINE MARGUERITE Amour ! dans quelle folie ne parviens-tu pas à nous faire trouver du plaisir ? Lettre d'une religieuse portugaise. Julien relut ses lettres. Quand la cloche du dîner se fit entendre : Combien je dois avoir été ridicule aux yeux de cette poupée

distincts la scène et le hors scène. Le public de cette pièce quotidienne est à l’échelle de la société entière. Maalouf dénonce, par ce personnage, la comédie sociale qui contraint chaque individu à endosser un costume, jouer un rôle, débiter des tirades bien apprises pour être reconnu et accepté par ses semblables . Le personnage d’Abdellatif et la métaphore théâtrale dans laquelle il vient s’inscrire ont également pour fonction de déconstruire le stéréotype de la cupidité des fonctionnaires de l’Empire

prédits ne commençassent qu’une fois la représentation finie, afin qu’il ne fût pas par eux compromis et faussé. J’implorais mes parents, qui, depuis la visite du médecin, ne voulaient plus me permettre d’aller à Phèdre. Je me récitais sans cesse la tirade : « On dit qu’un prompt départ vous éloigne de nous », cherchant toutes les intonations qu’on pouvait y mettre, afin de mieux mesurer l’inattendu de celle que la Berma 29 trouverait. Cachée comme le Saint des Saints sous le rideau qui me la dérobait

Toutes les femmes avaient abandonné leurs besognes et s’accoudaient aux grilles et balustrades de leurs balcons. Lalla Kanza sortit un vieux tapis de prière , s’installa pour écouter dans le patio. » L’atmosphère de l’audition est décrite dans un commentaire du narrateur pour souligner les réactions des auditrices au fur et à mesure que progresse le récit de Rahma : « Tout le monde riait aux larmes. Rahma savait si bien raconter… Les femmes hurlaient de joie. Moi, je trépignais d’enthousiasme. Je réclamai

n’échappe pas. 2 étape : recenser avec les élèves les récits qui dans le livre illustre l’inconstance du cœur ou des désirs humains. - Madame de la Pommeraye. - L’abbé Hudson. - p 128 et 132 la pâtissière et l‘intendant -Dame Suzon et dame Marguerite pour le dépucelage de Jacques. 3 étape : Etude de la « nouvelle » Madame de la Pommeraye. (p 144 à la page 200). Les grandes étapes de la narration. Qui raconte cette histoire et pourquoi ? Comment retrouve-t-on éclairé ce thème