La Tristesse De Lamartine

mesures qui crée le rythme du vers : Un soir, t'en souvient-t'il ? nous voguions en silenc(e) ; On n'entendait/au loin,/sur l'ond(e)./F.t sous les cieux, (4/2/2/4) Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadenc(e) Tes flots harmonieux. Lamartine, Le lac, Méditations poétiques Alexandrin : vers de douze syllabes, vers popularisé par les poètes de la Pléiade au XVIème siècle, vers noble au XVIlème siècle dans la grande Comédie et la Tragédie Allégorie : personnification d'une idée abstraite

qu’il éprouve pour la mort de sa fille. Ce poème lyrique, sous son apparence bref et simple, n’en est pas pour le moins recherché. Il est composé de trois strophes, de quatre vers écrit en alexandrins en rime embrassées. L’ambiance du poème est la tristesse que l’on peut souligner par le vocabulaire « triste », « seul », le cadre spatiale qui est « la forêt », « la campagne » et enfin le cadre temporel « nuit » « soir» qui créent un sentiment de solitude. Le poète partira le lendemain matin ("Demain

Alphonse de Lamartine (1790-1869), Méditations poétiques (1820) « Le Lac » Lecture analytique des 9 premières strophes Analyse linéaire rédigée + plan succinct (à apprendre !) Introduction Quand Lamartine écrit « Le Lac » (qui sera publié dans Les Méditations poétiques, un recueil poétique publié en 1820 qui regroupe 24 poèmes, considéré comme le premier manifeste du romantisme français) Julie Charles, femme aimée immortalisée sous le nom d’Elvire, est encore vivante mais retenue près de Paris

thème dramatique complexifie d’autant plus la compréhension du poème. Parfois même, la poésie donne un nouveau sens aux mots : Le mot anglais « Spleen » signifiant la rate, organe autrefois considéré comme responsable de l’humeur noire et de la tristesse, est repris et enrichit par Baudelaire. A travers ce terme, le poète désigne l’ennui et le dégoût de la vie. Il lui inspire son ouvrage «  Le Spleen de Paris » où il évoque les thèmes de l’angoisse, de la peur du néant et d’un idéal inaccessible

Victor Hugo utilise presque exclusivement le registre lyrique. Par exemple, dans Demain dès l’aube, on s’aperçoit de l’omniprésence du « je », de l’expression de ses sentiments ; il se rend sur la tombe de sa fille, et durant tout le poème, la tristesse due à l’éloignement est décrit. Il utilise aussi des images poétiques, comme « triste, et le jour pour moi sera comme la nuit ». Le registre lyrique permet donc au poète d’exprimer ses sentiments et de parler de lui-même à travers un vocabulaire

mais aussi la contrélite continuité ininterrompue et irréversible. Le champ lexical du temps s’organise au tour des verbes « couler, s’en aller, passer » (l’eau et le temps étent fortement associés par les écrivains romantiques (Chateaubriand ; Lamartine/Hugo). b) La modernité * Absence totale de ponctuation * Chaque strophe est brisée par une rime masculine isolé. Rappel : Rime masculine – se termine par une consonne et autres voyelles sauf E. Rime féminine – se

avec beauté) ● La Beauté : (une beauté maudite incomprise et divine, une condition insoupçonnée la beauté est une malédiction et perdition), ● Tristesse de la lune : (Rencontre de la lune personnifiée, un poète à l’aspect romantique abordant un amour mélancolique, une scène poétique)Oeuvres parlant de Spleen : Méditations poétiques ,Alphonse de Lamartine ; Crépuscule et déclin, Georges Trakl Oeuvres parlant d’Idéal : L’utopie, Thomas more ; Confessions, Rousseau, Brise marine Mallarmé Poètes du XIXe

Sujet : Les poètes cherchent-ils toujours à fuir le monde réel ? Introduction : Inspiration poetique, mythe d’Orphée, definition des termes dii sujet I- Le poète fuit le monde reel et le quotidien...A- Le poête fuit le monde réel pour s’isoler de la souffrance qui le consume Le poete se présente volontiers comme un être venu d’ailleurs, éternel voyageur qui fait la réalite, « n’importe oir, loin du monde » (« Anywhere ont of the world », titre d’un poeme des Fleurs

une des plus ancienne forme littéraires. Cherchant son origine dans la Grèce antique, Aristote pose sa définition et ses genres dans sa Poétique. Les poètes l’utilisent pour exprimer un sentiment qu’ils ressentent, comme l’amertume, l’amour, la tristesse, … . Ces sentiments portent des messages et idées comme une arme d’engagement. Cependant chacun la ressent différemment, par ses vers, créant rythme et harmonie. De ce fait, les poètes voient en la mer une source d’inspiration par le son monotone

p.13 - Charles Baudelaire “L’appel du large”, les Fleurs du mal (1857) p.14 - Alphonse de Lamartine “Le lac”, Méditations poétiques (1820 ) p.15 - Alphonse de Lamartine “Souvenir”, Méditations poétiques (1820 ) p.18 - Alfred de Musset “Souvenir”, Poésies nouvelles (1850) p.21Préface “Notre richesse, ce sont nos souvenirs” François Hertel. Les