La Vanité Dans Les Liaisons Dangereuses

fin du XVIIème siècle apparaît la vogue du roman à la première personne, et les grands romans d'analyse du XVIIIème siècle (ceux de Marivaux, de l'abbé Prévost) adopteront cette forme, ou encore la forme épistolaire (La Nouvelle Héloïse, Les Liaisons dangereuses). Les problèmes de l'information du narrateur et de la narration autorisée ne se posent plus avec la même acuité, puisque les héros eux-mêmes rapportent leur propre expérience intérieure. Il conviendrait également d'insister sur l'extrême

libre), la description (cadre spatio-temporel - portraits) que le récit proprement dit (péripéties), le commentaire ou l'expression poétique. Le roman a été et est toujours l'objet de remises en question qu'il s'agisse pendant très longtemps de sa vanité et de son immoralité (jusqu'au XIXe siècle), puis de la mise en cause de la psychologie avec le behaviourisme, de la notion même de personnage avec le Nouveau Roman, de l'éclatement de la narration (forme chorale avec la multiplication des narrateurs

costumes et décors - surnaturel Thèmes de prédilection : - illusion trompeuse et du surnaturel - mise en abyme - le changement perpétuel (femmes, caractère, costume) - la double facette et l'antithèse (S. pleutre et DJ. Libre) - mort et de la chute (vanité / fin de l'aristocratie) LES LIBERTINS AU XVIIème Introduction Définition libertin -> vient de libertinus, « esclave affranchi » et désigne le libre penseur affranchi de la morale religieuse 16ème Siècle : -apogée de l’humanisme -> redécouverte des

bien lire ce qui précède et ce qui suit, car cela donne le ton et la portée du discours). Rien n’assure qu’un « prêche » puisse convaincre. Ce dosage oblige à revoir le choix et la portée des arguments : Montaigne est-il à ce point sensible à la « vanité » et prend-il à son compte l’exemplarité du maintien stoïque de la fin ? Autant il est prêt à entendre tout ce qui le console sur le versant de la nature et de la « fortune », autant il est douteux qu’il se laisse convaincre de la nécessité, perceptible

qui avaient des lettres de maîtrise les autorisant à exercer certaines professions (comme celle de lingère, par exemple). Les privilèges des maîtresses n’allaient être supprimés totalement que sous la Constituante. Page 117 : - «dérober nos liaisons» : Les cacher. Page 118 : - «Solliciteur de procès» : Personne payée pour hâter l'instruction des affaires auprès des avocats et des procureurs. Page 119 : - «langueurs» : Peines de I'esprit. Page 120 : - «plus d'action» : On entendait

mains : - Poétiques (Baudelaire) 2 Narratifs ( des romans qui racontent une histoire, comme le tour du monde de Jules Verne en 80jours) 3 Théâtraux (le malade imaginaire de Molière) 4 Épistolaires –correspondance de lettre en général- (les Liaisons dangereuse de Choderlos de Laclos 5 Argumentatifs (des essais, comme les livres de psychologie de Michel Onfray, Bourdieu… qui essaient d’avancer des arguments qui sont les leurs en essayant d’être légitime, de manière plus ou moins scientifique)

Rosanette. Avec son argent, Frédéric s’offre de beaux habits et un logement spacieux. Il invite une fois ses amis chez lui, mais l’ambiance est assez tendue. Un soir, il se rend chez les Arnoux et assiste à leur dispute: Mme Arnoux a découvert la liaison de son mari en ayant vu sa commande d’un foulard en cachemire sous le nom de Jacques Arnoux. Frédéric se rend régulièrement chez eux, mais l’ambiance est tendue entre les époux. De plus, les problèmes d’affaires de M. Arnoux n’arrangent pas les choses

Destruction des Indes (1598) – Gustave Doré, La Vieille et les deux Servantes (1868) – François Boucher, La Marquise de Pompadour (1756), et Madame du Châtelet (XVIIIe s.), anonyme d’après Quentin de la Tour – Vincent Laurensz Van der Vinne, Vanité avec une couronne royale (XVIIe s.) ➤ Questions portant sur les images qui accompagnent les textes. • Comparer des textes, des documents et des supports. ➤ Extraits accompagnés de Textes échos, donnant lieu à des questions de comparaison

fidèle qu’il lui porte et cherche par ses discours à faire perdurer cette liaison sans céder aux avances du général. Elle prétend vouloir préserver leur amour des caprices et des altérations en le rendant absolument pur. Montriveau, fou d’amour, se montre patient, mais finit par douter de la sincérité d’une femme qui lui résiste. Il est alors mis en garde par son ami, le marquis de Ronquerolles, contre la coquetterie et la vanité d’une Parisienne telle que la duchesse de Langeais, qui cherche à plaire

| | |Cécile Volanges |14 |14/08 |Elle fait l’éloge de Mme de Merteuil : jalousie, beauté et vanité naissantes de Cécile. | | |à Sophie Carnay | | |