La Vanité Un Défaut

déchirants de cet amour sans égal. Mais il n'a pas eu de point final, elle lui a survécu, elle l'a prolongé en cessant de le vivre, et enfin personne, ni elle-même, n'en aurait connu le dessin si elle ne lui avait donné la courbe nue d'un langage sans défaut. Il n'est pas non plus d'histoire plus romanesque et plus belle que celle de Sophie Tonska et de Casimir dans Les Pléiades de Gobineau. Sophie, femme sensible et belle, qui fait comprendre la confession de Stendhal, « il n'y a que les femmes à grand

l'âge, perché sur son trône, comme il l'appel, domine sa troupe de dix femelles et huit petits tous ses fils et ses filles. Selon lui, il n'avait aucun défaut, il était le lion le plus fort, le plus beau de toute l'Afrique, mais, les lionnes savaient bien qu'il n'était pas parfait. Selon elles, son plus grand défaut était bien sûr sa très grande vanité. Jusqu'au jour où tout changea. Par un jour ordinaire, quelques heures après le levé du soleil, la troupe ayant réussie la chasse de la nuit les lions

d'examiner ces insectes, nous raisonnerons après." Tel est le premier enseignement de ce conte. Le deuxième s'adresse directement aux humains : avant de quitter la terre, Micromégas offre aux terriens un livre blanc, symbole de la prétention et de la vanité humaine : il faut se garder de croire que l'on sait tout car tout reste à apprendre. Enfin, comme dans les contes traditionnels les références de temps sont très anecdotiques et aléatoires : IL ETAIT UNE FOIS( remplacé dans le texte par :" dans une

indiscrètement et tumultueusement. Mon style et mon esprit vont vagabondant de même. Il faut avoir un peu de folie qui ne veut avoir plus de sottise, disent les préceptes de nos maîtres et encore plus leurs exemples. Montaigne, Essais, (III, 9) « De la vanité », 1580. Extrait 2 (transcription en français moderne par G. de Pernon, c’est plus facile à comprendre ;-) ) Quel dommage qu'une si noble conquête6 ne soit pas tombée sous l'autorité d'Alexandre ou de ces anciens Grecs et Romains, et qu'une si

retrouvons ce but, notamment dans la fable la Tortue et les deux Canards, où ce que l’on peut considérer de morale ; « Imprudence, babil et sotte vanité, et vaine curiosité, ont ensemble étroits parentage ce sont enfants tous d’un lignage » lui enseigne que la vanité et la vantardise sont des défauts liés. Par ailleurs, le lecteur des fables peut tirer profit sur le plan historique et culturel. Iel peut aussi trouver un plaisir sur l’apprentissage de

côtoie des personnalités importantes comme le surintendant des finances Nicolas Fouquet. Il se lie d'amitié avec Racine, Molière et Boileau et s'attire la haine de Colbert → sa position privilégiée dans les salons d'époque lui permet d'observer les défauts des hommes, et les travers de la société de son époque, qu'il cherche à corriger dans ses fables. Distrait, rêveur, préoccupé, naïf → traits de caractères qui se retrouvent dans ses écrit. 1692 : il tombe gravement malade, 1693 : Madame de

société que la sienne. Et grâce aux modifications réalisées par l’auteur, le lecteur va être d’accord avec lui. Par exemple les utopies argumentatives sont utilisées pour faire passer un message ou une idée en décrivant un monde idéal et sans aucun défauts. Ainsi le lecteur préférera vivre dans un monde similaire à celui décrit, ce qui le fera réfléchir sur son environnement, par exemple sur les comportements de l’Homme envers la nature, les femmes, les humains, les animaux… ou sur le monde : faut-t-il

mouvements: le début du discours de Diafoirus dans lequel il effectue une double-énonciation, le curriculum vitæ de son fils Thomas et enfin le dernier mouvement traite de la faculté dans laquelle il doit vanter les mérites de son fils malgré tous ses défauts… Le texte cerne donc le portrait du fils par le père, par le biais d’une éloge paradoxale. En quoi le portrait que Monsieur Diafoirus fait de son fils le rend anti-prétendant? Le début de l’extrait a un aspect comique car de la ligne 1 à 3, Argan

son amour pour Élise, alors qu'Harpagon pense qu'il lui parle de sa cassette. (Molière, l'Avare, V, 3) 2°) Le comique de caractère • On le rencontre en particulier dans les pièces de Molière. Ce dernier dénonce les défauts des hommes : l'égoïsme (le Médecin malgré lui), la vanité (le Bourgeois gentilhomme), l'hypocrisie (Tartuffe), le pédantisme (les Femmes savantes), etc. L'avarice excessive d'Harpagon, dans l'Avare, fait de lui la risée de tous. 3°) Le comique de mots

récits sortent le plus souvent de l'imagination de l'auteur. Quand bien même les faits auraient été réels, l'histoire est toujours romancée afin de satisfaire le lecteur. 2) Les défauts de l'être humain Le réalisme s'intéresse beaucoup aux défauts humains. Les auteurs réalistes se sont ainsi beaucoup intéressés à la vanité.