La Vanité Un Défaut

critiquant l’aristocratie. Il cherche à se faire aimer uniquement par intérêt personnel. Il n’est pas altruiste, il est guidé que par l’amour propre (vanité et orgueil). Enjeu : En quoi le portrait de Panphille, courtisan hypocrite et vaniteux, permet-il de critiquer la médiocrité d’une aristocratie qui se croit grande mais aussi de mettre en scène des défauts universels ? 1er mouvement  : Le texte s’ouvre par une négation totale, cela suggère la portée négative de l’ éthopée

impossibles, quand je m'en veux mêler. J'ai sans doute reçu du Ciel un génie assez beau pour toutes les fabriques de ces gentillesses d'esprit, de ces galanteries ingénieuses, à qui le vulgaire ignorant donne le nom de fourberies; et je puis dire sans vanité qu'on n'a guère vu d'homme qui fût plus habile ouvrier de ressorts et d'intrigues, qui ait acquis plus de gloire que moi dans ce noble métier. Mais, ma foi, le mérite est trop maltraité aujourd'hui, et j'ai renoncé à toutes choses depuis certain chagrin

ayant empoisonné la vie de la population. Dans ses contes philosophiques voltaire s’amuse dans un discours satirique, dans son œuvre éponyme intitulée « Micromégas », à ridiculiser de façon très inattendue et drôle l’enthropocentrisme ainsi que la vanité de l’homme dans son entreprise de dénonciation. Il utilise des procédés visant à ménager une complicité avec le lecteur tout en le menant implicitement à se poser des questions. Dans « candide ou l’optimisme » voltaire dénonce la guerre, activité

ancrés dans la réalité sociale dont les motivations sont simples et familières. Le registre réaliste montre des personnages modestes qui aspirent à un bonheur simple. Mais il montre également des hommes et des femmes entraînés par l’argent et la vanité sociale, qui témoignent parfois d’un esprit d’envie, de jalousie, de calcul ou de ruse. Au XIX : la description réaliste est faite de détails. Il n’y a pas de beauté si parfaite qu’on ne puisse la décrire dans le détail, et en la décrivant dans le

L’opinion est mal vue chez les philosophes, prônant le concept, la raison et la réflexion ,car semble toujours spontanée et superficielle, irréfléchie et contestable. Opiner n’est pas juger, mais s’empresser de prendre position par inquiétude, par vanité. Les hommes se croient d'ailleurs imbéciles quand ils n’ont pas d’avis. S’appuyant sur leur liberté et droit à penser, ils se font un devoir de tout juger. Cependant, l’opinion est hâtive, ignorante et les avis précipités . En effet, elle n'est pas

ventre des moutons, lorsque le cyclope devenu aveugle les cherche. Ulysse n’est pas cependant exempt de défauts, il fait preuve d’orgueil, de prétention lorsqu’il crie son nom au cyclope : ‘Cyclope si jamais quelque mortel t’interroge sur ton affreuse cécité, dis lui que tu la dois a Ulysse, Fléau des ville, fils de Laërte et noble citoyen d’Ithaque !’ (Chant IX, V 502-505). Cet excès de vanité lui coutera cher, Polyphème fils de Poséidon, prie pour que son père divin le venge : ‘Ecoute, Poséidon

individuelles et les interactions sociales sont saturées de mensonges et de faux semblants. Nous nous questionnerons donc sur comment alors Les Caractères de La Bruyère, en pratiquant la métaphore du theatrum mundi exposent t-ils et donnent ils à voir la vanité humaine? Dans une première partie nous verrons la mise en scène et l’écriture de La Bruyère, puis dans un second temps nous nous attacherons à la façon d’on il peint avec ironie les travers de ses contemporains. La Bruyère représente le monde

Pascal a une vision pessimiste de la condition humaine. Depuis le pêché originel d'Adam et Eve, l'hommevit comme une bête, coupée de Dieu. -La construction du livre fut influencée par St Augustin (354 - 430), pour lui l'homme est un puit infini de défauts. Il existe 2 états, 2 natures de l'homme qui s'opposent: _Pré-Lapsaire (avant A&E). _Post-Lapsaire (Après l'erreur A&E). -Depuis la chute, l'homme fut perverti. Dieu a créé l'homme pour qu'il s'aime avec des limites et pour qu'il

chanté tel et tel artiste, de quelle façon ils l’ont joué ou chanté. D’autre part, il n’y a plus aujourd’hui une grande ville où vous ne soyez assurés de trouver au moins une, et souvent deux ou trois expositions de ta-bleaux, dont les mérites et les défauts fournissent aux cri-tiques d’art la matière de minutieuses études. Quant aux romans et poèmes, pas un jour ne se passe sans qu’il en paraisse de nouveaux ; et les journaux se considèrent comme tenus d’en offrir à leurs lecteurs une analyse dé-taillée

énumération ( subsister dans un même sujet sans se détruire ». ( Montesquieu, dans toutes ces lettres, dénonce la faiblesse d’esprit des Hommes. Cette faiblesse d’esprit est encore plus accentuée par la vanité qu’ils ont et parce qu’ils se croient justement intelligents. III. La vanité du peuple (lettres 44, 48, 50, 59) Lettre 44 : Supériorité que les français de toute condition s’attribuent : tout le monde se croit supérieur aux autres : « Il n’y a jusqu’aux plus vils ( la supériorité