La Vertu Aimable Montaigne

Mengstrasse, dont la faillite est évoquée comme un mauvais présage dès le premier chapitre, einer ehemals so glänzenden Familie, die das Haus erbaut und bewohnt hatte und die verarmt heruntergekommen davongezogen war. (Bud. 8) semble se répéter comme en vertu d’une loi : elle se répète même de façon si flagrante (« Cette maison de commerce avait fait faillite, cette vieille famille était passée » (Bud. 9) que l’on serait tenté de considérer la durée comme une forme de répétition qui fait penser à la conception

de l'Académie française (1932), Le bon usage de Maurice Grevisse (1936) et la Grammaire Larousse du XXe siècle (1936). Détail pittoresque : le seul Saussure cité dans cette Grammaire Larousse est Théodore, oncle de Ferdinand, auteur en 1885 d'une aimable plaquette d'Études sur la langue française : de l'orthographe des noms propres et des mots empruntés… On a donc retenu les grammaires ou ouvrages qui visent, souvent sans la revendiquer ni l'afficher explicitement, une portée « scientifique »

que je t’ai dit des mœurs de ce pays-ci, tu t’imagines facilement que les Français ne s’y piquent guère de constance. […] Quand ils promettent à une femme qu’ils l’aimeront toujours, ils supposent qu’elle, de son côté, leur promet d’être toujours aimable, et, si elle manque à sa parole, ils ne se croient plus engagés à la leur. »17 Ricca est très ironique à la fin de sa lettre ; cette conviction du mari français d’être dans son bon droit lorsqu’il se délie de sa promesse est aberrante de bêtise

personne perçue comme dotée d’une supériorité qualitative, sinon de perfection, au sens platonicien du terme. Or, le Narrateur, au moins dans les premières parties de la Recherche, évalue le monde réel selon sa correspondance avec de tels idéaux. En vertu de la règle générale du néoplatonisme, la valeur d’un objet ou d’une personne est en proportion directe avec la proximité de l’idée préconçue de sa perfection et, inversement, une vive déception se fait ressentir si la réalité entre en contradiction

classe évolue. La société se démocratise avec le suffrage universel instauré en 1848. Les héritiers, qui bénéficient des fortunes accumulées par les générations précédentes, ont tendance à vouloir se libérer des contraintes liées à la pratique des « vertus bourgeoises ». L’étude des matières ardues, les longs horaires de travail, l’affectation d’une part du revenu à l’investissement, la stabilité conjugale, l’entraide familiale ont fait la force des premières générations 13 d’entrepreneurs

po�sie de Racine perd un moment son ordonnance architecturale, montrant un �beau d�sordre� (enjambement, phase interrompue, coupes hardies) qui traduit un enthousiasme d�bordant ; - au vers 982, �Trop de vertu pourrait vous rendre criminelle�, la coupe 4 / 8 met bien en valeur les mots �vertu� et �criminelle� ; - au vers 1072, la c�sure est doublement suspensive�: le verbe �voir�, qui �tait faible dans la bouche de C�phise, prend ici une valeur myst�rieuse ; - le vers 1281 est fortement

Jean-Francis Reille, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1968. Récits, traités, poésie L’Heure de tous et la Fortune raisonnable, édition, introduction, traduction et notes de Jean Bourg, Pierre Dupont et Pierre Geneste, Paris, Aubier-Montaigne, 1980. Sonnets amoureux, traduction de Frédéric Magne, Paris, La Délirante, 1981. L’Ombre dernière, traduction de Sophie et Carlos Pradal, édition bilingue, Pin-Balma (Haute-Garonne), Sables, 1988. Monuments de la mort : trente et un sonnets

courage, conquérants et champions dans leur ville, et par des liens politiques, familiaux et sentimentaux. Ce qui a intéressé Corneille : les conquérants capables de grands exploits, le personnage passionné jusqu’à la démesure, partagé entre vice et vertu, et les intrigues 49 politiques, familiales et sentimentales comportant de nombreux dilemmes. Texte 2 J. Racine, Bajazet ➜  p. 94 v. 27 ; fermons, v. 28 ; Laissons, v. 29 ; Poussons, v. 30 ; tentons, v. 30 ; Voyons, v. 31) et enfin le

chaque jour avec son ami Ferder, ancien rédacteur en chef du “Berliner Tageblatt”, exilé comme lui et bien meilleur joueur. C’est sur cette base qu’à partir d'octobre, il composa, tout en continuant la rédaction de ses mémoires et en travaillant sur Montaigne, une “Schachnovelle” (littéralement «une nouvelle d'échecs», le mot allemand «Schach» ne désignant que le jeu, et non pas l’échec) inspirée par sa découverte récente du jeu, une oeuvre qui rappelait à plus d'un titre d'autres de ses nouvelles (les

Me voici encore dans ma prison, madame; toujours imprudent, toujours coupable à ce qu’il semble, et toujours confiant, hélas! dans cette belle étoile de comédie, qui a bien voulu m’appeler un instant son destin. L’Étoile et le Destin: quel couple aimable dans le roman du poëte* poëte* < poète Moncriff[sic] < Moncrif — 11 — 5 10 15 20 25 VI 5 10 15 20 25 A ALEXANDRE DUMAS. Scarron! mais qu’il est difficile de jouer convenablement ces deux rôles aujourd’hui. La lourde charrette qui nous