La Vertu Selon Aristote

impossible, dans la Critique de la Raison pure . Nous désirons légitimement connaître l’absolu, mais l’absolu (comme Dieu) ne peut être qu’objet de croyance, aussi légitime qu’elle puisse être. La science en effet, selon Kant, est nécessairement relative aux catégories de l’esprit humain qui permettent de la constituer, ainsi qu’à l’expérience à laquelle ces catégories s’appliquent. La science ne peut donc atteindre des vérités absolues, concernant la totalité du monde

pouvoir et ses derniers décidèrent de le faire assassiner quand il était encore enfant. Ils envoyèrent des soldats pour le tuer mais une fois devant l’enfant qui tendait les bras, les soldats eurent pitié et décidèrent de lui laisser la vie sauve. Selon Hérodote, notre autre source sur les évènements, les soldats revinrent, pris de remords, mais la mère du nouveau né avait eu le temps de le cacher dans un coffre, kypsélè, et que c’est à cette occasion qu’il fut nommé Cypsélos. Ils racontèrent aux

extrémités »(Furetière), ou « qui est entre le grand et le petit, entre le bon et le mauvais. » (Littré). Le héros « médiocre » désigne ainsi un homme ni trop méchant, ni trop vertueux, et qui, entre le bon et le mauvais, constitue « le cas intermédiaire » selon les propres termes d’Aristote, le philosophe grec nous en fournit les raisons; d’une part, la représentation du malheur d’un homme parfaitement bon ne provoquerait que de la répulsion dans le cœur des spectateurs; et de l’autre, si un méchant foncier

de l’Etat idéal – fondé sur les quatre vertus cardinales de sagesse, courage, tempérance et justice – dans lequel la propriété est abolie. Cet Etat deviendra possible lorsque les philosophes seront au pouvoir ou lorsque les gouvernants deviendront des " philosophes ", c’est à dire des hommes qui " aiment " et " désirent la sagesse ". Aristote : La science politique est pour Aristote une science pratique qui vise le bien et le bonheur des citoyens. Aristote soutient que la science politique est la

société naturelle, il n’y a pas d’Homme possible qui ne soit pas social ou politique. Tout état de nature décrirait ainsi, selon les théoriciens de la société naturelle, une réalité non humaine : « un être sans Cité n’est pas un Homme mais ou bien un être inférieur, un animal, ou bien un être supérieur, un Dieu ». Par ailleurs, le pouvoir politique en tant que tel est, selon les théories de la société naturelle, à la fois « spécifique » et « originaire » ce qui signifie qu’il a une nature propre

palatiale.   II- Le réveil de la fin du IX° siècle et la naissance de la cité Accroissement rapide des établissements humains, réapparition de l'écriture, premières manifestations de la vie civique : débats, conseil, roi. La Constitution d'Athènes, Aristote → glissement du pouvoir royal vers les magistratures archaïques (slt les aristoi) puis classiques   III- Les transformations des cités grecques entre le VIII° et le VI° siècle Athènes → Crise agraire → Solon reconstitue la communauté civique sur

puisque c’est cette définition qui permettrait de déterminer quels moyens mettre en œuvre. Or un premier problème se pose ici : Peut-on définir le bonheur ? Le bonheur est subjectif, empirique, c’est un « idéal de l’imagination et non de la raison » selon Kant. Comment dès lors agir en fonction d’un objectif qui sans cesse nous échappe, qui n’est peut-être qu’une illusion ? « Vivre pour » signifie aussi que toute notre existence serait guidée par l’espoir du bonheur, bien suprême, fin en soi. Mais

dit rien : parce qu'il n'y a pas de sons : le silence est absence de bruits. Une classe est silencieuse quand elle est vide, quand les élèves se taisent parce qu'il n'y a pas de sens : le silence est le bruit qui n'a pas de sens. Cf. la voix selon ARISTOTE. Ainsi, une classe peut être bruyante et en ce sens silencieuse parce qu'il n'y a rien de distinctement audible. parce qu'il n'y a pas d'intentions : le silence est le sens qui échappe à la personne ou à l'être qui émet le sens. Un soupir reste

indépendamment de la perception que nous en avons. (Le monde des noumènes n'est accessible que par la foi.) | 2. Nos sens peuvent-ils nous indiquer de quoi le monde est réellement fait ? |  NonAristote Pour Aristote, rien ne peur exister dans la conscience qui n'ait d'abord été perçu par nos sens. Aristote était un empiriste dans la mesure où il pensait que notre connaissance du monde se construit à partir de nos expériences sensorielles. Contrairement à Locke et à Hume, il insistait sur le fait que les

valeur du commerce. Ce paradigme vient d’Aristote ( selon Aristote la richesse un moyen et non une fin). L’activité était très marginale. Cette idée change avec le mercantilisme, l’économie commerçante se développe, les mentalités changent, dans le contexte de la découverte de l’Amérique. Nous sommes maintenant dans un paradigme d’échange marchand, mais ça n’était pas le cas il y a quelques siècles. Dans le mercantilisme on va trouver l’idée selon laquelle les états doivent s’enrichir en accumulant