La Vie Des Poilus Dans Les Tranchées

aux cotés de la triple-alliance. En Afrique : L'entente s'empare des conquêtes Allemandes ( Togo, Cameroun, etc...) Automne : La stabilisation s’effectue, dans les deux camps les nombreux kilomètres de batailles épuisent alors ils creusent des tranchées → GUERRE DE POSITION. La guerre de position (1915-1917) Situation sur le front Ouest : De larges offensives se soldent par des avancés minimes, la guerre est un carnage. En 1915 à Champagne : 350 000 morts

Pour répondre à cette question nous verrons dans un premier temps les causes de cette nouvelle expérience de guerre, dans un deuxième temps nous étudierons l’arrière front de façon social, économique et politique avant d’analyser les conditions de vie des soldats au front. 1ERE PARTIE : La Première Guerre mondiale marque un tournant dans l'histoire de la guerre du fait du nombre de pays et de combattants qui s'opposent sur le front, du fait des moyens technologiques employés, du fait de la

Panneau de droite : Un soldat surgit de gauche, c'est un autoportrait d'Otto Dix, il se montre comme un sauveur. Il porte le corps d'un homme à la tête bandée. Il semble vouloir sortir de cet enfer, en se frayant un chemin à travers les corps sans vie. L'effet de mouvement est accentué avec le tronc d'arbre calciné et les flammes tourbillonnantes dans l'arrière plan. Ce portrait surnaturel apparaît comme une vision fantomatique au milieu de ce contexte. Prédelle : C'est l'apaisement des corps. On

exprience dans les tranchees . Cete œuvre et un triptyque et d'un predelle chaque panneau lateraux mesurent 204 102 cm , le panneau centrale mesurent 204 204 cm . Le panneau de gauche representent des soldats avec des armes et portant un sac a dos. Il tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume , ainsi ils forment une armee humaine sans visage donc sans identite . Le panneau central representent le decor apres la bataille.Au premier plan on voit la tranchee dans toute son horreur

peuvent être lus comme un témoignage direct sur les conditions de vie des soldats et sur leur moral loin de leurs familles. · Montrer la spécificité du témoignage de guerre : les témoins sont aussi les acteurs des événements. On ne peut attendre d’eux la même objectivité que celle d’un témoin externe. · Supports  : · Le Feu, Henri Barbusse · La chanson de Craonne · Lettres de poilus. 1. Lecture du corpus 2. Présenter le corpus (nature, thème, époque

DES TRANCHEES I NATURE DE L'OEUVRE L’œuvre que nous étudions ici a pour titre « C’était la Guerre des Tranchées », dédiée à son grand-père. Tardi met en image, sous forme de fiction des témoignages de poilus, combattants français de la Première Guerre mondiale lors de la période dite des tranchées… Les 20 premières pages ont d’abord été publiées en album sous le titre « Trou d’obus » en 1983. La première publication de l’album intégral sous le titre « C’était la Guerre des Tranchées date

Oralité Thèmes et motifs Les autres L’embusqué On ne le reproche pas d’avoir peur, mais bien de jouer au poilu. Il est calamistré, débrouillard et élégant. L’arrière et le civil Ils donnent du courage (lettres), mais n’en comprennent rien. L’armée (officier EM QG médecins) La presse et le journaliste Disent toujours la même chose. Viennent regarder dans les tranchées et écrivent sans sentir Camarades (rapports entre - ) Ils se battent l’un pour l’autre, mais il y a beaucoup de

Décemnbre 1914: C'est la fin de la guerre de mouvement: les fronts se stabilisent sans victoire dessicive. Bataille de Verdun: les Français dirigés pas Pétin resistent mais on compte 53 000 morts en 131 jours. Dans les tranchées, les conditions de vie sont très dure pour les poilus (surnom soldats). Ils vivent dans la boue, le froid, couverts de poux et entourés de rats. La mort est omniprésente. En 1917 la lassitude gagne les deux camps : Des mutinneries (révolte des soldats qui refusent d'obeir)

et la sauvagerie vécues pendant le conflit. ELEMENTS PLASTIQUES La couleur : dans cette œuvre Otto DIX utilise principalement des nuances de rouge et de brun. La couleur dominante est le brun, brun de la terre des tranchées, environnement quotidien et unique horizon des poilus. Le rouge est utilisé pour représenter tour à tour le ciel tourmenté sous lequel les soldats partent au front (panneau de gauche), l’amas de viscères ensanglanté (panneau central) et le feu du champ de bataille (panneau

général Joffre lors de la bataille de la Marne en septembre 1914. C’est une guerre de position. Aucune armée ne parvient à s'imposer, et, début 1915, les fronts se stabilisent. Les troupes s'enterrent dans des tranchées. La vie dans les tranchées est inhumaine. Les soldats ("poilus") vivent dans la boue, l'humidité et le froid. La peur ne les quitte jamais. Les grandes offensives destinées à briser le front adverse sont très meurtrières (Verdun en 1916 fait 400000 morts en 6 mois) et se soldent