La Vie Est Un Combat

Les Français face à la guerre A) Un conflit brutal : horreur des combats et brutalisation des esprits 1- la dure vie dans les tranchées Ex. La tranchée des baïonnettes à Verdun 11 juin 1916, 57 soldats sont morts debout ensevelis sous la terre et l’acier après un bombardement d’une intensité exceptionnel… Un monument protège aujourd’hui cette tranchée… Des conditions de vie horrible : boue, rat, froid, poux… les « poilus », la mort présente à chaque instant… 2- Tenir Comment

les as est né le 6 janvier 1913, à Kergrist-Moëlou (près de Rostrenen). Fils de paysan, le garçon s'avère être une véritable tête brûlée. Mais son talent de chasseur est extraordinaire. Un pilote hors pair Aujourd’hui, ce sont ces exploits au combat qui sont cités en exemple. « À l’occasion des campagnes de tirs, ses réflexes étonnants le classent parmi les meilleurs de son groupe, relate Yves Donjon, président adjoint de la section départementale des sous-officiers de réserve de l’armée de l’air

avions et autres moyens de transports rapides. Il s’agit d’une expérience unique pour les personnages, avec des rencontres inattendues, des cultures différentes, une chance de vie meilleure pour Soleiman, etc … Volonté : une volonté énorme est nécessaire pour entreprendre ce genre de voyage sans retour. Quitter sa famille, sa vie routinière du jour au lendemain est très difficile et très perturbant. C’est d’ailleurs pour cela que la rencontre entre Piracci et Soleiman est si importante : elle constitue

de la violence du conflit. La violence des conditions de vie * les soldats L’image des tranchées demeure aujourd’hui encore associée à la Première Guerre mondiale. Dés que cesse la guerre de mouvement, à la fin de l’année 1914, ce système défensif constitue le cœur du dispositif militaire des deux armées. A travers les textes de poilus, on peut analyser l’organisation matérielle des tranchées et le type de combats : préparation intense d’artillerie et assaut par vagues qui se brisent

narrateur objectif qui prend le relais après la mort de Paul Baümer. Temps utilisé : Présent de l’indicatif. Les personnages : Paul Baümer  : C’est le personnage principal, c’est le narrateur. C’est un soldat allemand de 18 ans envoyé au combat lors de la première guerre mondial. Il raconte ce qui se passe à la guerre, montre les horreurs du front (les morts, les mutilés, la famine). Il donne son point de vue. Ce n’est pas un récit de guerre que l’on raconte dans les livres d’histoire.

Les conséquences de cet engagement : expliquer la façon dont ce combat a marqué son époque mais aussi l’époque actuelle : En quoi cette femme a-t-permis de changer l’histoire ? Comment la situation a-t-elle évoluée ? Quelles reconnaissances a-t-elle obtenues ? - Une conclusion pour justifier votre choix et exprimer votre

Les deux Coqs Deux Coqs vivaient en paix : une Poule survint, Et voilà la guerre allumée. Amour, tu perdis Troie ; et c'est de toi que vint Cette querelle envenimée, Où du sang des Dieux même on vit le Xanthe teint. Longtemps entre nos Coqs le combat se maintint : Le bruit s'en répandit par tout le voisinage. La gent qui porte crête au spectacle accourut. Plus d'une Hélène au beau plumage Fut le prix du vainqueur ; le vaincu disparut. Il alla se cacher au fond de sa retraite, Pleura sa gloire

Claude Pinault est un quinquagénaire sportif, passionné de Jazz et de peinture. Plus d’un an et demi après avoir contracté un syndrome de Guillain-Barré, alors qu’il souffre toujours des sequelles de sa maladie, Claude Pinault, écrit ce récit sur son combat contre la maladie. Tout juste après sa sortie du centre de rééducation dans lequel il séjournait. Résumé : Le syndrome du bocal est un récit qui relate en détail la descente aux enfers de Claude Pinault, depuis l’otite particulièrement douloureuse

résistants tombés au combat. Profession : il n'exerçait pas de profession avant l'arrivée de la Peste. Dès le début de l'épidémie, il tient à occuper un poste important et va très vite devenir le principal responsable de l'organisation sanitaire de la ville, dont il est l'initiateur. Son but, comme celui de Rieux, est de sauver autant de vies que possible. Parallèlement à cette lutte, il s'emploie à rédiger un carnet retraçant avec exactitude et objectivité certains moments de la vie des habitants

J'ai été très touchée par ce livre émouvant et percutant. On sent une force inhabituelle chez cette jeune fille puis cette femme qui a toujours voulu aller de l'avant malgré ses faiblesses. Elle considère que sa vie n'est pas plus difficile que celle d'une autre personne car elle a toujours été sourde mais ce qui ne va pas c'est la communication avec les entendants. Le langage des signes a été une révélation pour elle et sans ce moyen, elle n'aurait pas pu faire tout ce qu'elle a entrepris. J'ai