La Violence Antithèse

irraisonnée pour Hippolyte oxymore : ma raison égarée hyperbole : implorait 285/ adorais H 286 j’offrais tout à ce dieu 288 : indéfini = totalité. Hyperbole comble des horreurs 260Champ lexical de la violence et hyperboles dans son attitude : arrachèrent, idolâtre, injuste marâtre, cris éternels, ennemi ( voc guerrier)hyperbole : j’ai pris la vie en haine, flamme en horreur, de l’amour j’ai toutes les fureurs 259métaphore blessure saignaitgradation pour

notamment avec - souligne donc ce jeu pour les hommes mais qui a l’air d’une torture pour l’oiseau car ce sont les hommes d’équipage qui s’amusent sans inclure l’oiseau. - afin de mettre le substantif « hommes »= marins - référence à la violence -pour un fait + général = Baudelaire veut ainsi ne pas parler que de son cas personnel mais de tous les poètes - qui indique leur grande taille « vaste » et leur élément « mer, eau » = ça renvoie encore une fois à leur majesté - les

d’interrogation, des points d’exclamation, etc.); – Procédés syntaxiques (phrases interrogatives, négatives, passives, impersonnelles, non verbales, etc.); – Procédés stylistiques (figures de style : énumération, répétition, comparaison, métaphore, antithèse, etc.). – Notions littéraires : narration, description, monologue, dialogue, didascalies, etc. EXEMPLES DE CONNAISSANCES LITTÉRAIRES GÉNÉRALES : - Courants littéraires : - En littérature française : classicisme, siècle des Lumières, romantisme, réalisme

Comment le texte met-il en valeurs la violence de l'Usine Ford ? Abattoir = scatologie, machine qui broie l'homme animalité = champ lexical des animaux : chimpanzé mécanisation = homme machine, travail à la chaine abrutissement physique et moral hiérarchisation (capitalisme → monde machine à faire de l'argent) texte narratif et descriptif → temps : imparfait et passé composé registres : 1) pathétique 2) polémique 3) tragique (1) champ lexical de la déshumanisation, comparaison

- Quelle(s) stratégie(s) argumentatives l’auteur utilise-t-il pour illustrer le baroque ? Eléments de l’introduction : - Jean de Sponde est un poète baroque protestant du XVIème siècle (1557-1598) - Contexte historique de violences dues aux guerres de religions entre catholiques et protestants - Henri IV et proclamation de l’Edit de Nantes - Mouvement littéraire et culturel du baroque, qui crée une rupture entre la Renaissance et l’âge classique : mouvement de l’instable

Néron : v20 Imparfait duratif Force du Sadisme  * Plus il y a de violences, plus la femme est attirante. * Violence dans la scène ; cruauté « menace ; arracher au sommeil ; farouche » II- Naissance l’être tragique * Opposition entre l’amour et la mort : « ravisseurs contraire à douceur » V11 antithèse * Hyperbole : « mais trop tard » « Quelquefois » on retrouve ici le fatalisme

donc approprie Pauline. La tension dramatique est soulignée par la paronomase antithétique : « je t’aime » et « Je te maudis » ; ainsi dans cette réplique est mis en valeur une ambivalence du désir à la fois créateur et destructeur => antithèse : « cria le moribond en courant » + « Je veux mourir à toi ! » lie le grandiose du romantique mélodramatique avec un grotesque du désir irrépressible. Synthèse du 1er mvt : C’est une scène d’épouvante : atmosphère fantastique par le

conforte l’homme dans le malheur • Le divertissement : ANTITHESE du bonheur • Démonstation oratoire : bouillonement futile La mort et la maladie nous attendent au bout (l. 19/20) - Divertissement : « buit » , « pénible », « peines ».. qui détourne l’homme de l’éssentiel • Accumulation : « jeu chasse guerre charge » • Procédé anaphorique « ce n’est pas.. mais » - Le divertissement n’apporte pas le bonheur. - S’oublier soi-même • Antithèse oppose le repos et l’agitation (« misérable » « consoler

- il est vantard => énumération de ses titres l. 8-9  comique de caractère. b) Mère Ubu - ambition démesurée, d’où antithèse par rapport au mari : => questions rhétoriques nombreuses l. 6 + 10-12+ 17 + termes comme « couronne », « trône »n « reine » = désir de pouvoir. - elle est impatiente => « en huit jours » l. 38 ; là aussi, antithèse p/r au mari qui est peureux. - elle est sanguinaire => « assassiner » l. 4 + « massacrer toute la famille » l.17 ; sans pitié.

mais-vous rêvez ! (v. 1408) […] Que ce laquais était l'enveloppe d'un homme ! (v.1458) Ainsi cette scène clé dans la progression dramatique repose sur une antithèse, le choc de deux positions extrêmes. Dès lors, il apparaît que le public est invité à réfléchir aux rapports entre le maître et l’esclave mais aussi à s’émouvoir de la violence des passions qui se déchaînent au cœur d’un combat dont l’enjeu devient spirituel. [...] Don Salluste ne cesse de lui rappeler sa condition. Il recourt à l’ironie