La Violence Antithèse

un chant. • Un secret dangereux ? - La rupture est donc très forte avec le « mais » adversatif qui suit, et son impuissance « je ne pouvais pas ». - L’aveu est donc un secret, d’où la précision « je doit te le dire à l’oreille » qui crée une antithèse avec le verbe « le hurler ». Les conséquences semblent terribles : Nawal emploie le futur pour imaginer l’avenir sombre, et la possible rupture amoureuse. Il ne pourra plus « rester dans ses bras », métaphore ici de leur amour. - Une déclaration

impacts sur les populations. Ces procédés sont repris par Aimé Césaire son pamphlet Le discours sur le colonialisme publié en 1950. L’auteur y dénonce avec force, l’implantation coloniale de l’Europe sur des territoires extra-européens ainsi que la violence et les injustices présentes dans les colonies.De même, d’autres écrivains s’engagent dans certaines affaires et défendent ainsi des personnes ou des principes. Zola, dans un article de presse de 1898 écrit « J’accuse … !» une lettre ouverte dans

mot « Dieux » à deux reprises (vers 679). Nous pouvons également relever « faible mortelle » au vers 682, « faible » étant un adjectif dévalorisant elle montre son impuissance ; et en utilisant le nom commun « mortelle » elle met en avant une antithèse implicite (« mortelle » s'opposant à « dieu »). Par traduction, Phèdre se sent impuissante contre des forces qui la dépassent. Enfin, par le biais d'une question rhétorique, Phèdre dément sa culpabilité : « Cet aveux si honteux, le croistu volontaire

ferez vous ?vous travaillerez ? Exclamation donne de la rigueur au héros antithèse > corruption/talent ; être en force/être rare énumération>plie, hait, calomnier, adore … l.17 il affaiblit R l.1-8 en lui énonçant ce qu’il a accompli, stratégie de persuasion violente, tentateur extrême, manie parfaitement langue et rhétorique mais l’utilise à des fins malhonnêtes III Personnage représentatif de la société A- Violence de son langage traduit ses rapports au monde et celle de la société elle-même

Une argumentation organisée A. La démarche de Victor Hugo On dégage ici 3 partie : l.1-6 « il faut retrancher la communauté, les membres qui nuisent » ; l.6-13 : idée de vengeance ; l.13 à la fin : impressionner la population pour limiter la violence. Puis la démarche argumentative soutient rigoureusement cette structure : argument pour la peine de mort : « parce qu’il importe […] lui nuire encore. » l.2-3 ; « on peut s’échapper de prison » l.4 arguments contre la peine de mort : « la prison

les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre" (Vers 7-8), avec cette personnification il rend le texte plus vivant et accentue le demandé. Hugo montre la violence faite à l'enfant qui ne peut se défendre car il est obligé de travailler. Hugo utilise des antithèses pour montrer l'innocence et la naïveté des enfants "Innocents dans un bagne, anges dans un enfer" (Vers 9). L'auteur montre également l'appauvrissement moral et physique que ce travail produit sur

beauté) les ombres/les flambeaux vers 11 • dualité accordée à la dualité de la scène opposition des vêtements: "simple appareil" /ravisseurs en armes opposition douceur/ violence : larmes /armes douceur/ravisseur hyperbole : "J'idolâtre Junie" : allitération en J et assonance en i • "pour toute ma vie/opposé à "moment": antithèse qui révèle la soudaineté de l'amour • "trop présente": insistance sur l'obsession. Néron est passif : • position inactive: " Immobile" * participes passés:

patience?», hésitations dont Bérénice profite puisqu'elle mène le débat . Les sentiments de l’amante éconduite, expriment une grande violence : au niveau de l’écriture se mêlent des figures de style telles que des hyperboles, des oxymores, des gradations, des chiasmes et des antithèses. Ces figures d’amplification et d’insistance permettent de décupler la violence du ton. On peut citer comme exemple cette gradation:« Le peuple, le sénat, tout l'empire romain,Tout l'univers »cela permet aussi de provoquer

gestes) ==> cela introduit le thème de l’apparence, avec à la rime l’antithèse entre « être » et « paraître » - puis réification avec les « ressorts » - image de l’indifférence profonde des courtisans, fondée sur des parallélismes, des antithèses et un chiasme (« prêts à tout » // « à tout indifférents ») ==> solitude de chacun à la Cour, mais solitude aussi, paradoxale, du monarque qui se croit entouré. En miroir, B/ La morale finale : la critique du roi. - faiblesse royale

fin de la tempête, il leur faut beaucoup d’énergie d’où les termes comme « frappent, éclat» qui souligne leur violence. L’adjectif « étrange » et le participe passé « enrouées »accentuent la dimension fantastique. La figure de Neptune anime la strophe suivante. La mythologie personnifie la tempête qui devient l’expression d’un sentiment : « l’ire » se retrouve dans le « courroux». La violence des éléments se voit aussi par l’étalage macabre des victimes rejetées par la marée : « gens noyés, monstres