La Violence En Litterature

Dans quelle mesure la littérature peut-elle dénoncer les inégalités, les injustices, les scandales ? La littérature, du latin « littera » (la lettre) se définit comme une forme particulière de la communication verbale qui met en œuvre la richesse de la langue pour atteindre le destinataire. La littérature est souvent employée pour exposer des prises de position et a pu permettre de changer les mentalités. Dans quelle mesure la littérature peut-elle dénoncer les inégalités, les injustices, les

réalisme socialiste : Le romantisme révolutionnaire doit entrer dans la création littéraire...La littérature socialiste doit être riche de contenu révolutionnaire...L’enthousiasme et la passion de l’héroïsme imprègnent notre littérature...Elle est optimiste dans son essence...Oui, la littérature soviétique est tendancieuse car il n’y a pas et il ne peut pas y avoir...de littérature qui ne soit une littérature de classe...Dans notre pays les principaux héros des oeuvres littéraires, ce sont les bâtisseurs

formule de la science moderne appliqué à la littérature. Le romancier travailler sur des documents : "le roman actuel se fait avec des documents racontés d'après nature comme l'histoire se fait avec des documents écrits ". Il trace un tableau des différents comportements de la société à partir de minuscieuses enquêtes. Zola veut appliquer à la littérature les théories de Claude Bernard. A partir d'une observation faite sur un fait social (la violence, la pauvreté, l'éducation, l'alcoolisme..)

(1799-1850) - Le Père Goriot - Eugénie Grandet - Illusions perdues 2. Gustave Flaubert (1821-1880) - Madame Bovary - L’Éducation sentimentale 3. Guy de Maupassant (1850-1893) Le réalisme (4 traits distinctifs) : Collège de Maisonneuve La littérature française d’hier à aujourd’hui (601-102) – Automne 2014 Professeur : François Masse 1. En réaction aux romantiques qui laissaient librecours à leurs sentiments et qui fuyaient la réalité au profit du rêve, les auteurs réalistes privilégient

................................................ p. 14 Références bibliographiques ................................................................................... p. 15 Introduction L’Incendie apparaisse dans l’horizon de la littérature algérienne en langue française en 1954, l'année même du déclenchement de la Guerre de l’Independence. Mohammed Dib inclut ce roman dans la trilogie qu’il avait commencé par La Grande Maison en 1952, qui conclût avec Le Métier à Tisser, le troisième

réécrire une histoire universelle de la vraie foi, sans cesse persécutée. Mais l’histoire effective disparaît derrière la visée eschatologique, c’est-à-dire de la fin des temps, du Jugement dernier et de l’éternité. Pour l’heure, le temps est à la violence, au sang, et à la mort – la poésie aussi. Les vers, pleins de souffrance et de véhémence, semblent des cris de vérité. Et le poète, en son réalisme visionnaire, fait à Dieu l’offrande de ses vers baroques*, ultime hommage à la gloire tragique de

poème, produit des vibrations et se traduit par la violence de la mer combinée avec les sons « nasaux » [on], [an], qui accentuent la lenteur du poème. Victor Hugo a su animer son texte par une ponctuation variée. On note ici huit vers exclamatifs aux vers 10, 14, 19, 23, 28, 31, 32, 43, et deux vers interrogatifs aux vers 1 et 11. L’allitération en [r] reprend le bruit de la mer et sa violence lorsque l’on est confrontée à elle. A cette violence se lie un vent qui vient bousculer lentement un navire

je les romantise4. » August Wilhelm Schlegel, dans ses Cours de littérature dramatique, diffuse le concept de romantique en Europe, ramenant la poésie romantique à la poésie moderne, marquée par la tradition chrétienne, progressive, ouverte aux mélanges des genres. 2) Si le romantisme a été en Allemagne en partie un retour aux fonds primitif en France, ce fut au contraire une réaction contre la littérature nationale. Les littératures anglaise et allemande on servis que momentanément à la discipline

FICHE « DOM JUAN » de Molière (texte 8) Plan : I. L’opposition du monde paysan à celui des nobles a. L’opposition du langage b. La rébellion du pauvre contre le maitre c. Une scène de violence II. Le comique dans la scène a. Le mari, la femme et l’amant b. Le comique de gestes et de mots c. Inversion parodique III. Pierrot et l’expression d’une loi supérieure I. L’opposition du monde paysan à celui des nobles a. L’opposition

parution en 1965, de l’excellent livre, Les écrivains noirs de langue française : naissance d’une littérature de Madame Lilyan Kesteloot sur l’historique de la littérature négro-africaine de langue française, beaucoup d’ouvrage sur le même sujet et s’inspirant de Kesteloot ont vu le jour. Parmi les plus récents, nous voudrions présenter ici la Littérature nègre de Jacques Chevrier, professeur de littérature africaine aux Universités de Paris 12 et Paris 3. Jacques Chevrier éclaire ave perspicacité le