La Vision Pessimiste De La Realité Dans Pierre Et Jean

messages se sont beaucoup langue dans la communication. Les traductions en plu- enrichis (documents, images). Les messageries électrosieurs langues vernaculaires du Livre des merveilles du niques, l'internet… permettent d'atteindre des groupes monde de Jean de Mandeville eurent un impact consi- de personnes, et de faire une véritable communication de dérable au XVe et au Xe siècle sur les explorateurs (no- groupe. tamment Christophe Colomb), peut-être davantage que le Devisement du monde qui relatait

portent sur l’idéologie et les aspects esthétiques des deux ouvrages. Cependant, en se concentrant uniquement sur un seul écrivain, leurs lecteurs se privent de la possibilité de comparer, d’affirmer s’il existe un rapport entre milieu et vision, ou entre vision et esthétique. Notre étude répond effectivement à ce besoin. Elle vise une appréciation plus globale non seulement du rôle que joue l’idéologie dans des créations littéraires, mais aussi détermine la place du milieu dans l’idéologie, donc

de l'Encyclopédie. La nouveauté de l'Encyclopédie qui provoqua d'une part l'enthousiasme mais aussi la colère, est due à ceux qui l'ont créé. Il y a deux objectifs. En effet, l'article « Encyclopédie » rédigé par Diderot l'explique. Il s'agit en réalité de « faire le tour des connaissances mais également de tout examiner [...] sans exception et sans ménagement ». Le premier objectif nécessite une bonne répartition et une bonne réflexion sur le savoir. Le second correspond aux préoccupations et aux

licites »[9] peuvent être créées. Apparaît un théâtre nouveau qui, tout en rompant avec les traditions littéraires, renoue avec l’Antiquité. XVIIIe siècle, en France : La comédie issue de Molière se voit admirablement prolongée par un auteur comme Jean-François Regnard. La Tragédie, au-delà des imitations raciniennes que l'on perçoit chez Antoine Houdar de La Motte, se tourne vers la mise au théâtre de scènes d'horreur à la limite de la malséance. Néanmoins, des renouvellements plus profonds apparaissent

impossible, si ce n’est gigantesque, mais nous verrons que ça vaut la peine. Nous retrouverons un écrivain de notre époque, très lisible, dans lequel le peuple pourra encore facilement se reconnaître. D’ores et déjà, je pense que l’invitation lancée par Jean Cocteau est très juste : « On devrait le relire (2). »   Le « lyrisme prophétique (3) » de Zola est d’une grande actualité. Il sait encore libérer notre imaginaire. Il a cette force inouïe qui traîne le peuple. Écrivain « rouge sang (4) », emporté

idéologique et moral. Fierté nationale, le Président Jacques Chirac résume cette idéologie républicaine dans la phrase qui suit : «la démocratie, c’est l’égalité des droits, mais la République, c’est l’égalité des chances». Or, parallèlement en France, une réalité sociale se développe. Il s’agit du communautarisme, soit le processus par lequel les individus construisent et déclinent leur identité en rapport avec une communauté d’appartenance établie sur des critères culturels, sociohistoriques, ethniques, ethnolinguistiques

qu’il arrive une tournure positive en fin de compte. L’optimisme est le contraire du pessimisme. Cette opposition est métaphoriquement illustrée par la question de savoir si un verre donné doit être considéré à moitié plein (vision optimiste) ou à moitié vide (vision pessimiste). L'optimisme est un sentiment positif en tant que moteur de l'initiative. Toutefois le suroptimisme (ou surconfiance) est un biais cognitif (et émotionnel) pouvant conduire à des prévisions hasardeuses, un excès de confiance

écrivains sont tentés par deux thèmes essentiels et opposés : d’une part, le romantisme, le dilettantisme et le symbolisme qui s’attachent avant tout à la représentation du moi, et d’autre part, le réalisme et le naturalisme qui préfèrent décrire la réalité et la vie sociale. Le XIXe siècle fut le siècle des grandes expériences, des luttes littéraires fécondes, un siècle audacieux qui voulut aller jusqu’au bout des idées, des genres et de l’expression. Il fut aussi marqué par la montée du capitalisme

entier. Origines du romantisme Tous les auteurs s’entendent pour dire que plusieurs facteurs sont en cause dans la naissance de ce nouveau courant littéraire. D’abord, il y a ceux qu’on a nommé plus tard les « préromantiques » et qui, comme Jean-Jacques Rousseau au XVIIIe siècle (avec Julie ou la Nouvelle Héloïse, les Rêveries du promeneur solitaire et les Confessions) ou Chateaubriand au tournant du XIXe siècle (avec Atala, en 1801, René, en 1802 et le Génie du christianisme, en 1802) ont

interventionniste, de façon unilatérale s’il le faut, qui façonne le système international plutôt que de laisser d’autres forces, éventuellement malveillantes, le faire. + Par ailleurs, ils désirent également prolonger ce qu’on appelle la vision « messianique » des États-Unis, c’est à dire une Amérique qui favorise la démocratie contre la tyrannie, y compris par la force lors de « guerre préventive », pour lutter contre le terrorisme et les régimes menaçants et dans