La Visite Chez Madame De Restaud

ecriture d'invention Cela faisait un moment que le spectacle des Bouffons avait commencé. J’étais assis au troisième rang, accompagné par madame de Nucingen. Mon regard s’était profondément fixé sur l’un des Bouffons ; je le regardais machinalement, en me remémorant de mon passé. Etais-je peut-être aussi drôle, lors de ma première visite chez madame de Restaud. Je n’avais pas de repère, j’étais maladroit, ridicule, et bien même aussi comique que ce Bouffon. J’étais si petit, rempli d’espoir et de

mettre que 900 francs à son logement. Ce nouveau « titre » a un effet dévastateur sur l’image que se donne le lecteur sur Goriot, en plus de n’avoir plus d’argent à sa disposition, il perd sa dignité. On se permet alors de faire des ragots sur lui ; la visite de celles dont il prétend être le père, des femmes tant belles que riches, fait penser à ses voisins que Goriot n’est en fait qu’un libertin, ou pire un proxénète et n’a en fait jamais, contrairement à ses dires, eu ni femme ni fille. 2) Le personnage

cette prise conscience lorsque qu'il rendait visite à la comtesse de Restaud accompagnée de son amant : Maxime de Trailles et qu'il fit la connaissance de son mari : Monsieur de Restaud. Nous étudierons cet extrait en trois grandes parties : « Rastignac dans la société parisienne »; « Un jeune amoureux » et « Le jeu subtil de la société ». 1ère partie : Rastignac dans la société parisienne 1) Des préjugés Dans le texte, personne, sauf la comtesse de Restaud ne connaît Rastignac, du moins personne ne

Les personnages Le Père Goriot : Vieillard, ancien vermicellier, qui a dédié sa vie à ses filles, Delphine de Nucingen et Anastasie de Restaud. Pour elles, il n'hésita pas à se ruiner, leur offrant tout ce qu'elles désiraient. (Au fur et au mesure de l'histoire et que sa fortune se lapide, il monte dans la pension Vauquier). Son dernier vœu sera de voir ses filles sur son lit de mort. Il ne réalisera pas, ce qu'il le laissera mourir sur l'idée que ses filles ne l'aiment pas. → Voir des pages

sjour chez elle Comment est-ce que la comtesse de lAmbermesnil la aide 13. Commentez le rle du narrateur qui se permet de faire toutes sortes de jugements moraux sur ses personnages. 14. Comment est-ce que Mme Vauquer prend sa vengeance sur le pre Goriot Est-ce que a marche 15. Pourquoi croit-on que le pre Goriot soit un libertin 16. Quest-ce que Rastignac a appris pendant sa premire anne Paris 17. O Rastignace est-il invit 18. A quoi est-ce quon compare la comtesse Anastasie de Restaud 19. En

tante à madame de Bauséant. Ce à quoi la vicomtesse répondra par une invitation de bal. 2 jours plus tard, Eugène, après son bal, rentra à la pension où il logeait au 3ème, vers 2 heures dans la nuit. Le jeune homme venait de reconnaître en la vicomtesse une reine de la mode à Paris, logeant dans la maison « la plus agréable » du faubourg Saint-Germain. Elle était, de par son nom et sa fortune, une des sommités du monde aristocratique.Au bal, il y entrevit la comtesse Anastasie de Restaud, avec laquelle

propriétaire une femme âgée avec ses travailleurs Sylvie et Christophe. Dans cette petite maison se côtoient des pensionnaires, qui sont : Mlle Michonneau, une vielle femme, Victorine Taillefer la fille d’un des hommes les plus riche de Paris, et Madame Couture sa marraine, Monsieur Poiret un retraite, Bianchon un étudiant en médecine, Vautrin un mystérieux personnage qui se fait passer pour un ancien commerçant, Eugène de Rastignac un jeune étudiant nouveau a Paris venu pour faire des études en

les lieux pour nous livrer l’atmosphère et le milieu dans lequel les personnages vivent. Il est important de souligner d’où sont partis Eugène et le Père Goriot pour faire mieux voir où ils arrivent, quel chemin ils ont parcouru. LES PERSONNAGES Madame Vauquer : veuve, patronne de la pension. Calculatrice, âpre au gain, amère. La grosse Sylvie : cuisinière de la pension. Bourrue, simple. Vautrin, (Jacques Colin de son vrai nom ), est un bagnard évadé, surnommé Trompe-la-mort : ingénieux, obligeant

la fin de l’année 1819, dans la Maison-Vauquer, rue Neuve-Sainte-Geneviève, près du Panthéon, à Paris. Il s’agit d’une pension où vivent madame Vauquer, l’hôtesse et ses pensionnaires, mademoiselle Michonneau, une vieille fille, et Poiret, un ancien employé qui la suit partout. Il y a aussi Victorine Taillefer, une jeune fille déshéritée par son père et madame Couture, une parente éloignée qui lui sert de mère et le mystérieux monsieur Vautrin. Enfin Eugène Rastignac, un étudiant pauvre, fils d’une

Le père Goriot Honoré de Balzac Document fourni par les éditions Acamedia http://www.acamedia.frEtudes de mœurs [Document électronique]. 3e livre. Scènes de la vie parisienne. I Une Pension bourgeoise Madame Vauquer, née de Conflans, est une vieille femme qui, depuis quarante ans, tient à Paris une pension bourgeoise établie rue Neuve-Sainte-Geneviève, entre le quartier latin et le faubourg Saint-Marceau. Cette pension, connue sous le nom de la Maison Vauquer, admet également des hommes