La Vrai Science Est Une Ignorance Qui Se Sait

dialogue, il faut voir ce qu’il y a de vrai, donc de commun dans ce que l’on pense de la question. Il faut donc que dans notre parole, il y ait quelque chose de vrai, qu’importe le sujet pour qu’elle soit constructive et féconde. Phèdre, en réponse à cela, va citer ce qui lui a été rapporté par les maîtres sophistes sur cette question du « bien parler ». Il est intéressant de voir ici qu’il cite et répète les idées et positions de ses maîtres en les prenant pour vrai, sans se soucier de leur qualité ou

interprétant des métaphores au pied de la lettre. Les deux disputes naissent du fait que les différents maîtres défendent chacun l'importance de leur métier. Dans l' Acte II, scène 2, le maître d'armes dit que « la science des armes l'emporte hautement sur toutes les autres sciences inutiles, comme la danse, la musique. » Les maîtres de musique et de danse, en entendant cette remarque, se mettent à défendre leurs arts en insultant le maître d'armes : « voilà un plaisant animal, avec son plastron

lorsqu’elle est sur papier. L’écrit permet l’hérédité de l’idée. 1.4. QUELLES SONT LES DISCIPLINES QUI CONSTITUENT LA PHILOSOPHIE ? La logique, l’éthique, l’esthétique, la métaphysique et l’anthropologie. 1. La logique = science de la pensée cohérente. Détermine le Vrai du Faux dans le langage. On cite le syllogisme, inventé par ARISTOTE (6ème ACN) qui est un raisonnement en 3 parties (généralité, particularité, conclusion). 2. L’éthique = aujourd’hui assimilée à la morale. En philosophie

nous avons conscience du caractère seulement probable, hypothétique de nos affirmations : « Lorsque quelqu’un dit qu’à son avis, le nouveau bâtiment de la faculté a sept étages, cela peut vouloir dire qu’il l’a appris cela d’un tiers, mais qu’il ne le sait pas exactement». L’opinion trouve son usage correct sur le terrain privilégié de la connaissance par ouï-dire, là où l'incertitude demeure. (texte) Cf. Hannah Arendt. Elle relève de la croyance. "J’ai entendu dire que", alors je bâtis à partir de ce

fabricant des sciences qu’il vend Comme un athlète au combat des paroles, en lutte des raisonnements, faisant métier de la discussion Comme purificateur14 NB : Ici, la purification se dit en grec ancien καθαρτικὸν - mot à rapprocher du mot κάθαρσις, pouvoir de séparer l’âme de son ignorance crasse : ne point savoir et croire que l’on sait. La dialectique entend le sophiste qui, en toute honnêteté et noblesse, montre à son élève les contradictions dont il est la proie par ignorance, et purifie ainsi

de nos dires. Nous ne sommes donc pas libres, i.e., pas les maîtres absolus de nos actes, de nous-mêmes. Il semble que le déterminisme ici à l’œuvre soit un obstacle à la liberté, et fasse de celle-ci une véritable illusion. Problème : si c’est vrai, alors, nous ne sommes pas responsables de nos actes. Je n’ai pas moi-même, en mon âme et conscience, voulu faire cela, j’y ai été poussé par une force obscure, celle de mon inconscient. Il semble donc important d’essayer d’accorder les termes,

sur le modèle des sciences. » Si oui : de quoi et pourquoi? Sinon pourquoi? - Refus du doute systématique : savoir douter à bon escient. - Douter, est-ce renoncer à la vérité ? INTRODUCTION Le doute est un état d'incertitude et d'hésitation dont tout le monde peut faire l'expérience dans sa vie quotidienne. Il est corrélatif d'un certain inconfort psychologique qui conduit toujours à essayer d'en sortir. Cependant le doute n'est pas nécessairement négatif. On sait qu'il peut parfois

assurées sur le modèle des sciences. » → Si oui : de quoi et pourquoi? → Sinon pourquoi? - Refus du doute systématique : savoir douter à bon escient. - Douter, est-ce renoncer à la vérité ? INTRODUCTION Le doute est un état d'incertitude et d'hésitation dont tout le monde peut faire l'expérience dans sa vie quotidienne. Il est corrélatif d'un certain inconfort psychologique qui conduit toujours à essayer d'en sortir. Cependant le doute n'est pas nécessairement négatif. On sait qu'il peut parfois permettre

toutes choses .Il n’y a pas une seule vérité valable, c’est-à-dire il n’y a pas de vérité absolue. C’est l’être humain qui décide de toutes les réponses, alors toutes les opinions se valent. Si ce que l’être humain dit est logique, alors c’est sûrement vrai. C’est ce qu’on appelle le relativisme. Les sophistes prétendent aussi être capables de développer des discours doubles, c’est-à-dire des discours opposés. Le problème dans cette technique des antilogies est que l’orateur, qui est le sophiste, oppose

sociologues, des psychologues, des philosophes? crient-ils alors, arguant des nouveaux quartiers de noblesse de leur discipline, sanctifiée par un prix Nobel. En vérité, ce prix est offert par la banque de suède en f'honneur dAlfred Nobel et n'est pas un vrai prix, décerné par ra Fondation Nobel. Mais cela n'y change rien ! lls ont des Nobel'. Les économistes - des professeurs d'université ou du collège de France, des experts, analystes, des journaristes économiques qui font des pages économiques et des