La Vrai Science Est Une Ignorance Qui Se Sait

du 4° et du 7°§. Nous sommes encouragés à penser que ces deux paragraphes jouent un rôle de conclusion. Cette hypothèse est renforcée par l’observation des propositions initiales de ces deux paragraphes : « L’esprit philosophique est donc … » ; « Le vrai philosophe est donc … ». Ces formules apparaissent comme des définitions : verbe « être » au présent de vérité générale », utilisation de l’article défini « le ». En outre, nous remarquons le rappel du titre : « philosophique », « philosophe », qui

du 4° et du 7°§. Nous sommes encouragés à penser que ces deux paragraphes jouent un rôle de conclusion. Cette hypothèse est renforcée par l’observation des propositions initiales de ces deux paragraphes : « L’esprit philosophique est donc … » ; « Le vrai philosophe est donc … ». Ces formules apparaissent comme des définitions : verbe « être » au présent de vérité générale », utilisation de l’article défini « le ». En outre, nous remarquons le rappel du titre : « philosophique », « philosophe », qui

l'avenir, est-ce tomber dans la superstition ou la voyance ? Même si la connaissance de l'avenir apparaît comme impossible, on peux se livrer à des prospectives, des suppositions . il n’est pas totalement idiot de chercher à prévoir le futur . Il est vrai que l'avenir n'existe pas par définition et c'est sans doute une des raisons qui le rend si difficile à connaître. Mais si l'avenir pouvait être objet de savoir, cela voudrait dire que d'une certaine manière, " tout est écrit ", qu'il y a un destin

distingue radicalement de la science, puisque là où la science déploie une visée téléologique, l'expérience reste un processus foncièrement dialectique. La dialectique de l'expérience trouve son achèvement propre, non dans un savoir définitif, mais dans l'ouverture à l'expérience suscitée par l'expérience elle-même. L'expérience effective de la pensée est ensuite celle de l'ouverture : l'expérience se constitue comme un procès dont nul n'est maître. Contrairement à la science qui se réclame d'une universalité

“grand homme”, la passion amoureuse... etc. Si le désir vient de l'inconscient, en un sens il "ignore le non" : il ne se soumet pas au "principe de réalité", mais veut sa satisfaction, à n'importe quel prix. Dans les cas précédents, le sujet ne sait pas qu’il vise l’impossible. La folie consiste précisément à ne pas faire la différence entre le possible et l’impossible. => Il faut donc que le désir soit éclairé par la raison, afin de s’adapter au réel, et au possible => stoïcisme, épicurisme

sens, on est amené à prendre conscience de notre environnement. On peut dire que notre conscience nous permet de dvlper nos connaissances et d’avoir une idée de ce qu’il faut faire ou pas dans notre monde. Sans la conscience ( pas de science. [ Rabelais : « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme » ] L’homme comme les animaux ont une conscience immédiate le fait de saisir un certain nombre d’info grâce à nos sens qui nous permet de réagir ; ce qui se passe en nous ou en dehors de nous

les mêmes exigence. L'accélération de la scène des réplique de plus en plus courtes : stichomythie. Don Juan n'a plus le temps de répondre, le jeu scénique évolue, les personnages se rapproche. Un ralentissement Don Juan semble embarrassé, il ne sait plus quoi faire, il est prit au piège. Grande tirade, la rhétorique alambiquée (rhétorique très compliquer avec beaucoup de figure que peu de personne ne comprenne) prolonge l'illusion, chacune d'elle croit encore être l'élut. Don Juan est un pantin

expérience scientifique, rend l’homme savant. Le mal apparaît ici comme l’objet d’un savoir qu’on doit acquérir. Le mal n’est ni dans l’intention, ni seulement dans la conscience, mais dans le fait lui-même. Le mal est donc dans l’action mauvaise dont on sait après coup qu’elle est mauvaise (parce qu’elle est condamnée, parce qu’elle fait mal, …). Y a-t-il lieu de distinguer schématiquement 2 “niveaux” de l’expérience : l’expérience immédiate (la souffrance qui entraîne révolte, vengeance, mépris, haine

1. Double ignorance : Je pense savoir = j’ignore que j’ignore 2. Simple ignorance : Je sais que je ne sais pas (Socrate) 3. Connaissance : Je sais que je sais Le doute hyperbolique (méthodique) : 1. Première certitude (je pense donc je suis) Une seule idée résiste aux hypothèses du malin génie et au rêve éveillé : * Descartes compare cette idée au point d’Archimède Cette idée ouvre la porte à la connaissance JE PENSE DONC JE SUIS Je suis : qui suis-je un homme Faux, on ne sait pas (malin

Ainsi, l'esclave devient le maître du maître et le maître devient l'esclave de l'esclave. Mounier : le travail travaille à faire une chose en même temps qu'un homme. Il montre l'accomplissement de soi même par le travail. Nietzsche : (dans Aurore) le vrai travail est le travail intellectuel qui permet à l'homme de se révéler à lui même. Rousseau : "l'Homme est perfectible" donc par nature apte à progresser Aristote : l'Homme est avant tout un Homo Faber ( qui fabrique). LA CONSCIENCE : Hume : la conscience