La Vraie Morale Se Moque De La Morale

universelles, une morale qui n’est pas éthique. Par définition, l’éthique est un ensemble de valeurs qui peut être amené par des institutions, comme par exemple, la démocratie, et elle se diffère de la morale, qui concerne ce qui s’impose comme obligatoire. Ainsi peut-on qualifier les dictatures comme le nazisme. En outre on peut affirmer qu’Hitler avait une morale mais pas d’éthique concernant cette morale. Blaise Pascal n’a-t-il pas dit un jour que «  la vraie morale se moque de la morale » ? En effet

de violents conflits, de harcèlements qui s'enchaînent en ne lui laissant aucun répit. Don Juan est un aristocrate libertin qui abuse de ses privilèges et se fait agresser par le peuple. Don Juan (sadien), installé dans sa charette fuit la société morale du XVIIe par l'érotisme et la perversion. Mais il en devient victime, assommé par une « machine pour tuer les libertins » (Chéreau) symbole du Pouvoir... Sganarelle (Marcel Maréchal) émanation du peuple, handicapé du langage, gros clown, une sorte

les Cyrénaïques, au contraire, font de la satisfaction de tous les désirs le bien suprême. Toutes ces réflexions ont conduit à de nombreuses distinctions, comme on le voit par exemple chez Épicure. La classification des désirs La morale épicurienne est une morale qui fait du plaisir le bien, et de la douleur le mal. Pour atteindre le bonheur (l'ataraxie), l'épicurien suit les règles du quadruple remède, appelé le "Tétrapharmakos" : les dieux ne sont pas à craindre ; la mort n'est pas à craindre

La conception métaphysique de Dieu, les superstitions et la Bible Diderot se moque de la Bible à laquelle Orou fait allusion - p. 59 "un jour on te dirait tue…" allusion ironique aux 10 commandements et aux interdits alimentaires - p.74 débat sur l'inceste : Orou rappelle qu'il y en a forcément eu au début (Adam et Eve) - Ironie et démonstration par l'absurde : contradiction dogme moral ≠ texte biblique  Les couvents (p.79-80) - moines et nonnes oisifs

les passages sont courts. D’après la ponctuation qu’elle utilise Cléanthis caricature sa maîtresse Euphrosine « Qu’on m’habille » (l.14) Nous pouvons dire qu’il y a un mépris et un regard abaissant. Nous pouvons dire que Cléanthis se moque de sa maîtresse tout en ayant un regard abaissant et du mépris envers elle. Nous passerons maintenant au théâtre dans le théâtre. DUCLOS Meilie Terminer a 12h18Nous sommes maintenant au théâtre dans le théâtre, car Cléanthis

Gusman public a) Personnage immoral * Attitude critiquée au 17eme siècle * «  rien de trop chaud ni trop froid » = met en avant une séduction incessante * «  toi, son chien et son chat » = il est prêt a épouser n’importe qui ( il se moque de son maître) C’est un portrait très négatif DJ = épouseur à toutes mains : il veut juste obtenir les faveurs de la dame Il est évoqué qu’il a épousé plusieurs femmes b) Fr Relation maître-Valet qui apparaît Avec Gusman et Elvire : exemple

sensuelles, ses descriptions sont réalistes, audacieuses. Comme personnages on trouvera des gens de cour et les prostitués, on se moquera d’eux. Il écrira un recueil intitulé Satire en 1608, des poèmes des lieux de réflexion, il se moque et inclus des petites morales. Poésie libertine : Théophile de Viau ou le prince des poètes, il est le chef de fil d’un groupe de poètes avec Saint-Amant, Tristan l’Hermite, Magnard et Boisrobert. Sa pensée est audace, ses poèmes annoncent le surréalisme, il rompt

les caractéristiques du drame romantique et l’importance de La Préface de Cromwell (voir Profil. p.11-12 et photocopie) : « la poésie vraie est dans l’harmonie des contraires… », « le réel résulte de la combinaison naturelle de deux types, le sublime et le grotesque. » Savoir définir ces deux notions : sublime : qui est très haut dans la hiérarchie des valeurs morales et esthétiques ; vient de sublimis, élevé dans les airs ; grotesque : risible par son aspect, ridicule, qui fait rire de son extravagance

Gentilhomme (1670). Même si elle est une ancienne œuvre, nous pouvons rencontrer plusieurs leçons de vie et morales ridiculisant la noblesse et la bourgeoisie. Pour comprendre mieux ce travail, on peut le partager en trois parties : le prétexte, le contexte et le texte. LE PRETEXTE Les sources : L’auteur se base sur différentes œuvres pour écrire le Bourgeois Gentilhomme : La vraie Histoire comique de Francion, de Charles Sorel, Nuées, d’Aristophane, la Sœur de Rotrou et Discours physique

politique et administratif alors que Rousseau raisonne civilisation (mœurs et arts → inoculer poison de Rome → décadence de Rome)  Chiasme antithétique : (ligne 19) pluriel/singulier  L’idée de Rousseau : conquêtes de territoires justifiées par la morale (donc pas d’objectif militaire) pour « faire régner la vertu » et récupérer les valeurs des civilisations conquises  Fabricius développe, pour parachever son discours, un exemple des qualités romaines grâce à une anecdote tirée de la vie de Pyrrhus