La Vue Et Les Couleurs De Schopenhauer

entre ceux qui font la mimesis et une conception plus moderne (qui annonce le romantisme) de l’œuvre comme produit du hasard et de l’imagination.  Une peinture bien composée fera l’effet d’une chose naturelle vue dans un grand miroir. - Regarder des pierres et imaginer un paysage. - Les formes suggèrent la réalité mais ne la reproduise pas telle qu’elle. PRECURSEURS. Les investigateurs de la crise des Lumières (1700)

(xviiie siècle) 34 Charles-Louis de Montesquieu (1689-1755) 34 David Hume (1711-1776) 34 Jean-Jacques Rousseau* (1712-1778) 35 Emmanuel Kant (1724-1804) 36 Histoire et révolutions (le xixe siècle) 38 Friedrich Hegel (1770-1831) 38 Arthur Schopenhauer (1788-1860) 39 Alexis de Tocqueville (1805-1859) 43 L’ère du soupçon (fin du xixe siècle) 44 Karl Marx (1818-1883) 44 Friedrich Nietzsche* (1844-1900) 48 Sigmund Freud (1856-1939) 48 La philosophie contemporaine (xxe siècle) 49 De la phénoménologie

d’actualité au XXIème siècle. Ce texte est particulièrement innovant car il nous donne une esquisse de réponse sur un mystère auquel chaque être humain, un jour ou l’autre, sera confronté : la vie après la mort. Norbert de Varenne donne un point de vue alarmiste de notre rôle sur Terre. Il va de soi que nous étudierons tout d’abord, ce que représente la mort pour Norbert de Varenne et la place qu’elle tient dans sa vie quotidienne. Ensuite, nous nous intéresserons à ce que Duroy retient de ce discours

Montaigne. Expression = manière de faire circuler des infos (→ émotions avec intention). Pas de distinction langage animal/humain. Le système de communication des animaux se fait par les sons (ex ultrasons dauphins), les postures, les odeurs, les couleurs (ex oiseux en fonction de leur capacité productrice) et les substances chimiques. Cependant, ce système de communication est mécanique : il s'agit d'un stimulus-réponse (→ danse des abeilles, expérience de Von Frish). Ainsi pour toutes les espèces

.............81 L’actualisation de l’essence des choses dans un moment de lecture ...................................................84 Développement du concept de phénomène sous la plume d’Emmanuel Kant......................................86 Schopenhauer et le pouvoir de séparer le phénomène de l’idée ..........................................................87 LECTEUR DE SOI .......................................................................................................................

prend pour fil conducteur. C’est la question que je suis pour moi-même qui ménage un accès possible à la compréhension de qui je suis, mais cette possibilité est au même moment affectée par l’impossibilité de savoir pleinement qui je suis. Schopenhauer exprime également le fait que notre existence s’impose à nous comme une énigme qui nous tient en éveil et nous pousse à philosopher. « Excepté l’homme, aucun être ne s’étonne de sa propre existence […] L’homme est un animal métaphysique […] Avoir

méfier de notre sensation immédiate d’être libre. On ne choisit pas toujours ce qu’on croit choisir (vêtements, musiques, nourriture par exemple les insectes, les chiens, les lapins…). Par exemple, au Moyen-Age, le bleu est pour les femmes, c’est la couleur de la robe de la vierge, tandis que le rose et le rouge sont le symbole de la virilité. Liberté : elle se définit comme un pouvoir d’agir et de penser, sans contrainte extérieure et intérieure, selon sa seule volonté, de façon autonome. Elle s’oppose

elle y met toutes les douleurs de la tragédie ; mais pour ne pas nous laisser au moins la dignité du personnage tragique, elle nous réduit dans les détails de la vie au rôle du bouffon. » Le monde comme volonté et comme représentation, Arthur Schopenhauer A l’origine, Truelle – Une histoire d’enfant triste est le fruit d’une commande passée par trois co- médiennes. Le projet, que je ne devais pas mettre en scène, à force de ne pas se réaliser, a fini par être abandonné. La pièce, cependant, existe

DES SIGNES. Cours I : Le monde est ma représentation. Ce premier cours est une prise de contact, nous l’articulerons autour de la formule de Schopenhauer « Le monde est ma représentation ». Il s’agit de comprendre ce que signifie « représentation ». Cette idée nous la développerons à partir de l’observation suivante : pour un sujet, le monde n’existe que dans la mesure où il est en situation

l’idéalisme, du sublime). Un idéal représenté par deux métaphores, celle de Stendhal, la métaphore du miroir et celle de Balzac (analogie entre littérature et vitre). Trois procédés d’illusions : La restitution du point de vue. L’écriture de la sensation : (idée de Schopenhauer « Le monde est ma représentation », hégémonie de la subjectivité). C’est une philosophie idéaliste, on ne peut voir le monde entier objectivement. Il faut restituer les impressions, les sensations vu par les autres, seule