La Vérité Dépend Elle Du Temps

La Princesse de Clèves Mme de La Fayette (1678) p274-275 Introduction 1°) Recherche de la vérité psychologique = analyse les sentiments complexes 2°) Intrigue très dépouillée/épurée Roman bref (≠ au roman baroque : Mme de Scudéry avec l’Astrée, et Cyrus ≈ 5000 pages = multiplication des personnages + intrigues secondaires -> psychologie caricaturale, invraisemblances) La Princesse de Clèves = cohérence psychologique 3°) Reflète les grands courants de pensée (psychologiques et religieux)

L’esprit des lumières, Tzvetan Todorov FICHE DE LECTURE : L’esprit des lumières, Tzvetan Todorov 1) Le projet Les idées des Lumières ne sont pas complètement innovantes mais issues des époques passées et constituent donc un héritage. Elles sont principalement basées sur trois concepts liés : L’autonomie : désigne le fait décider par soi même pour soi même et s’émanciper d’une tutelle extérieure (religieuse,..). En effet, l’autonomie désigne l’autonomie de la connaissance et doit donc

des erreurs ? Dans une première partie nous allons nous intéresser au faite que la raison ne peut pas toujours être juste et qu’elle n’est pas toujours utilisée pour connaître la vérité. Puis dans un second temps, nous démontrerons que la raison a toujours raison en toute circonstance et qu’elle exprime toujours la vérité. Pour finir nous essayerons de trouver une solution à notre problème. On entend par raison une faculté qui caractérise l’être humain. Il s’agit d’une faculté d’intelligence, de

une tradition fait de la vérité un devoir : le christianisme considère que tout mensonge, y compris celui par omission, est un pêché. Quant au philosophe, n'est-il pas celui qui aime et se doit d'enseigner (donc de dire) la vérité ? Pourtant, en même temps, il nous arrive d'affirmer que toute vérité n'est pas bonne à dire et il existe des circonstances où je sais pertinemment que dire la vérité nuira à autrui. Que faut-il alors en penser : Y a-t-il un devoir absolu de vérité ou est-il parfois moral

exprimons des sentiments que nous ne ressentons pas, des opinions qui ne sont pas les nôtres, nous agissons de cette manière soit par intérêt soit par lâcheté lorsque nous en sommes conscients. L’hypocrisie est synonyme de mensonge, de dissimulation de la vérité et encore de duplicité. Elle est également perçue comme un vice car certaines personnes sont hypocrites pour arriver à des fins malhonnêtes. Dans une première partie, nous expliquerons notre affirmation sur le fait que la société sans hypocrisie

c’est-à-dire des vérités particulières ou individuelles. Or tous les exemples qui confirment une vérité générale, de quelque nombre qu’ils soient, ne suffisent pas pour établir la nécessité universelle de cette même vérité, car il ne suit point que ce qui est arrivé arrivera de même (…) D’où il paraît que les vérités nécessaires, telles qu’on les trouve dans les mathématiques pures et particulièrement dans l’arithmétique et dans la géométrie, doivent avoir des principes dont la preuve ne dépende point des

Métaphysiques (1 et 2) de Descartes | Note : ce cours était à l'origine, une introduction au cours sur la conscience (où il s'agissait essentiellement de se demander si la conscience est une entité réelle ou une fonction et si elle est une source de vérité). Il me permettait d'insérer dans un cours l'étude d'une œuvre. Étant donné la longueur des Méditations, j'avais choisi de n'étudier que les deux premières. J'ai quelque peu remanié ce cours, afin de l'extraire du cours sur la conscience. Vous trouverez

développe sa conception de « la croyance dogmatique ». Celle-ci est généralement considéré comme un obstacle à la recherche de la vérité mais l’auteur lui se demande dans quelles mesures ces croyances sont nécessaires pour permettre aux hommes de se réunir en société. Il propose de considérer « la croyance dogmatique » pour son rôle social et non pas pour sa valeur de vérité. Il structure son argumentation en trois étapes. Dans une première partie, il décrit la nature de la recherche de croyances dogmatiques

cités voisines : la langue la religion un idéal de liberté  (« eleutheria ») : des lois sont établies en commun ; même dans les monarchies (ex : Spartes), elles font autorité. La présence d’un Parlement contraint le pouvoir du monarque, puisqu’il dépend des citoyens et des sages religieux. Pour les Grecs, la politique représente l’exercice de la citoyenneté (notion qu’ils ont également inventé). Ainsi, le citoyen a des droits et des devoirs. Selon ARISTOTE, « il est évident que la cité est une réalité

ignorent surtout qu'ils n'ont pas à recevoir la vérité de quelqu'un d'autre. C'est ce qu'illustre, dans un dialogue de Platon, le Ménon, le célèbre exemple du petit esclave qui, sans avoir jamais étudié, trouve tout seul la solution d'un problème de géométrie, guidé seulement par les questions opportunes de Socrate. En un temps qui séparait absolument les Grecs des «Barbares» et les hommes libres des esclaves, la sagesse socratique enseigne ainsi que la vérité s'offre à tous, sans appartenir à personne