La Vérité Religieuse

s’exprime à travers lui. 3. Une autre attitude consiste à respecter la valeur des religions. Elle considère que les dieux des religions sont des formes particulières d’expression religieuse. Le même et unique Dieu est nommé autrement et honoré par des pratiques différentes. Comme personne n’a le monopole de la vérité et que Dieu est au-delà de toute représentation, les diverses voies sont compatibles entre elles. Ainsi beaucoup parmi les théologiens et les philosophes chrétiens ont cherché à trouver

Philo A votre avis, faut-il, dans la vie, préférer le bonheur à la vérité ? Je pense que oui, moins on sait de vérité, plus on est heureux. Plus la personne ignore la vérité pour son propre bonheur plus celle-ci est heureuse. Beaucoup de vérités dans ce monde peuvent nous détruire où nous faire réfléchir sur des choses qui ne sont pas très agréables. Pendant ce temps, là on a des doutes, on pense et on re y pense, donc on ne peut pas être heureux. Dans cette vie, plus on est ignorants, plus

s’oppose à la raison qui est ce par quoi l’homme sort de l’opinion, c’est-à-dire qu’elle permet de déterminer les conditions de vérité d’un énoncé, grâce à la preuve logique ou expérimentale. Le croyant est-il fou? Pour répondre à cette question, il est essentiel de se demander de quelle manière le croyant croit-il, et c’est là que le problème se pose entre croyance religieuse raisonnable et sincère, superstition illusionnée et foi rationnelle. Nous étudierons dans un premier temps l’idée de Pascal

La vérité est-elle affaire de point de vue?

On entend par point de vue soit une position particulière d’un sujet dans l’espace, c’est à dire un lieu duquel l’on observe, soit une opinion, un jugement personnel sans fondement. Dans les deux cas, celui-ci semble dépendre d’un sujet pensant qui perçoit le monde d’une façon unique et subjective. Or la vérité peut être définie comme une valeur incontestable et universelle qui repose sur des principes valables pour tous. Celle-ci ne dépendrait pas d’une

Nietzsche a présenté une théorie tout à fait originale de la vérité. Il pose la question suivante : Pourquoi désirons-nous la vérité plutôt que l’erreur ? Autrement dit, pourquoi la vérité fait-elle l’objet de notre préférence et, plus encore, de notre vénération ? Cette question permet à Nietzsche d’affirmer que la vérité est avant tout une valeur. En ce sens, elle est directement dépendante des nécessités vitales. Si la réalité sensible a le plus souvent été considérée en philosophie comme le domaine

l'Etre. La Sagesse authentique appartient à l’Etre. La connaissance de l'Etre est un mouvement supra-rationnel qui dépend de Lui, qui n’a rien à voir avec l'intellectualisme. Seule la Conscience peut connaître CELA, qui est le Réel, CELA qui est la Vérité. Seule la Conscience peut pénétrer dans le fond légitime de l'Etre. Nous devons préciser que l'être humain est un trio composé d’un corps, d’une Âme, et d’un Esprit. Le corps sert de manifestation dans les trois dimensions d'Euclide. L'Âme est la

les valeurs humaines pouvaient découler de la connaissance des experts, peut légitimer des choix de vie et de société. Mais il faudrait examiner également si le scientisme et ses conséquences néfastes, peuvent se déduire de l'esprit des lumières. En vérité, l'esprit des Lumières ne fait pas découler l'idéal de la réalité, ce qui devrait être de ce qui est. L'autonomie de l'être humain, l'anthropocentrisme, le fondement purement humain de la politique et de la morale, la préférence pour l'argumentation

Le mensonge Le mensonge est l'énoncé délibéré d'un fait contraire à la vérité, ou encore la dissimulation de la vérité, on parlera ici de mensonge par omission. Le mensonge est une forme de manipulation qui vise à faire croire ou faire faire à l'autre ce qu'il n'aurait pas cru ou fait, s'il avait su la vérité. Le mensonge s'oppose à la véracité (le fait de dire le vrai), à la sincérité ou à la franchise. Plus précisément, mentir consiste à dire le contraire de sa pensée dans l'intention de tromper

« pour un lecteur du XVIe siècle » comme le souligne Catherine Durvye dans son Etude sur Rabelais, Gargantua. En effet, pour un lecteur du XVIe, il y a une véritable appréhension du point de vue idéologique, sociale, humaine, et ne l’oublions pas, religieuse. Pour un lecteur du XXe siècle, ce serait davantage l’appréhension d’un mode de langage rabelaisien, qui comporte un certains nombre de néologismes, ainsi que de la syntaxe. Ce jugement s’applique-t-il à Gargantua ? Nous tenterons de répondre à

Voltaire contre Pascal Le texte est extrait des Lettres philosophiques, aussi appelées Lettres anglaises de Voltaire, écrivain du XVIIIe siècle. Cette période des Lumières se permet d’émettre une critique de la vie sociale, politique et religieuse. Dans cette lettre Voltaire s’attaque à Pascal comme son adversaire direct. Il y instaure un double sens, il fait l’hommage apparent de Pascal, mais on remarque l’insinuation qui tend à déconsidérer les Pensées de Pascal. Voltaire y engage un