Label « Patrimoine du XXe siècle »

communication, mais où il n’a jamais été aussi difficile de trouver la bonne information au bon endroit au bon moment, qui permet de se parler de plus en plus, mais où l’on finit par s’écouter de moins en moins. Cette société de la communication ouvre le xxie siècle sur la promesse de la mobilité et de l’enrichissement par la diversité ; mais l’isolement sera probablement son dramatique corollaire. Une administration à l’écoute apporte un apaisement ; une administration sourde ajoute une crispation supplémentaire

encore relativement intacts. En savoir plus Gargominy, O., 2003. Biodiversité et conservation dans les collectivités françaises d'outre-mer. Paris : Comité français de l'UICN. 246 p. (Coll. Planète Nature). Sites Internet • Inventaire national du patrimoine naturel du Muséum national d’histoire naturelle : http://inpn.mnhn.fr/ • Union internationale pour la conservation de la nature : http://www.uicn.org/ méthodologie Les résultats présentés correspondent à l’évaluation réalisée par le Muséum national

économique et social, qui peut leur permettre de bénéficier de plusieurs aides, notamment de l’État (prêts, indemnités, régime social). – La responsabilité des associés est fixée à deux fois la valeur du capital de chacun. Leur patrimoine personnel est dissocié du patrimoine du groupement. – Des prêts à moyen terme spéciaux (prêts bonifiés soit des pouvoirs publics soit de l’Union européenne) peuvent être accordés au GAEC. – Chaque associé bénéficie d’une économie d’investissement, de gains

la bohème et de l’insouciance, d’une période de la vie passée dans un certain bonheur, bien qu’aussi soumise à une certaine pauvreté dans des réduits situés sous les toits de Paris. Cette vie d’étudiant, décrite par les écrivains célèbres du XIXe siècle, restait animée par cette force de la jeunesse, capable par ses élans de changer le monde et d’accepter, parce que l’avenir devait se révéler radieux, des conditions de vie transitoires, difficiles sur le plan de l’habitat. Aujourd’hui, la situation

Augustin, Pierre-Laurent Bescos, Alain Burlaud, Laurent Cappelletti, Jean-François Casta, Stéphanie Chatelain-Ponroy, Eve Chiapello, Bernard Christophe, Bernard Colasse, Philippe Desbrières, Jean-Guy Degos, Robert Descargues, Lazhar Elorf, Réal Labelle, Serge Evraert, Yves Gendron, Christophe Germain, Michel Gervais, Larbi Hasrouri, Caroline Lambert, Evelyne Lande, Didier Leclère, Hélène Löning, Jean-Véronique Malleret, Louis Malo, François Meyssonnier, Marc Nikitin, Charles Piot, Bernard Raffournier

c’est cohabiter, Éd de l’Aube, 2009 ; D. Wolton, Informer n’est pas communiquer, CNRS Éditions, 2009 Sur l’histoire de la communication et les théories de la communication : P. Breton, S. Proulx, L’explosion de la communication à l’aube du XXIe siècle, La Découverte, 2002 ; P. Flichy, Une histoire de la communication moderne. Espace public et vie privée, La Découverte, 1997 ; E. Katz, « La recherche en communication depuis Lazarsfeld », Hermès, 4, 1989 ; A. Mattelart, Histoire des théories de

de l’Amazonie est très importante, au rythme d’environ 140 km2 par jour (chaque seconde, 5 000 m2 de forêt primaire disparaissent, entrainant la perte de 72 espèces par jour) ; à un tel rythme, la forêt pourrait disparaître d’ici au milieu du siècle ; 2. que cette déforestation est pour l’essentiel menée illégalement (on estime que 80 % des grumes coupées en Amazonie brésilienne le sont sans autorisation) ; 3. que cette déforestation progresse moins rapidement depuis que l’État fédéral brésilien

de l’Amazonie est très importante, au rythme d’environ 140 km2 par jour (chaque seconde, 5 000 m2 de forêt primaire disparaissent, entrainant la perte de 72 espèces par jour) ; à un tel rythme, la forêt pourrait disparaître d’ici au milieu du siècle ; 2. que cette déforestation est pour l’essentiel menée illégalement (on estime que 80 % des grumes coupées en Amazonie brésilienne le sont sans autorisation) ; 3. que cette déforestation progresse moins rapidement depuis que l’État fédéral brésilien

l'intensification des activités humaines, l'accroissement des populations urbaines, il a fallu revoir des solutions anciennes et en rechercher de nouvelles. L'environnement est devenu un nouveau problème pour l'agronomie. On a commencé à demander au xxe siècle et l'on demande toujours à l'agriculture de contribuer à la lutte contre les pollutions, et, simultanément, on l'accuse de polluer. C'est un vaste problème qui ne pourra être traité ici qu'à l'aide de quelques exemples. Traditionnellement,

nouveau point sur ce thème. En effet, ces dernières années ont vu apparaître un phénomène nouveau : la création par les assureurs de leurs propres filiales de banques. C’est ce que l’on nomme l’assurbanque. Deux modèles, deux siècles : La bancassurance a vu le jour au XXe siècle, l’assurbanque au XXIe. L’un constitue une référence dans la plupart des pays développés, l’autre en est à ses balbutiements. C’est pourquoi nous ne vous parlerons pas d’assurbanque dans ce focus mais de bancassurance, c’est-à-dire