Laboratoire de Bure

Le 29 octobre 2011 à 16h28 Par Bruno Scala, Futura-Sciences Déchets nucléaires : le site de Bure devra tenir cent mille ans ! E n 1991, la loi Bataille définissait les axes de réflexion pour le stockage des déchets radioactifs à vie longue. En 2025, le site de Bure dans la Meuse devrait accueillir, à environ 500 mètres de profondeur, ces déchets hautement toxiques au sein d’une structure qui devra tenir pendant des dizaines de milliers d’années. Retour sur les origines et enjeux du projet

radioactifs est encore incertain Trois journées d'audition parlementaire viennent de faire le bilan de près de quinze années de recherches sur le traitement et la gestion des rebuts de l'industrie nucléaire. A un an d'une nouvelle loi sur le sujet, le laboratoire censé qualifier leur stockage en profondeur a pris beaucoup de retard. Le 30 décembre 1991, la loi dite "Bataille" donnait un délai de quinze ans à la nation pour étudier la meilleure façon de gérer les déchets radioactifs de haute activité à vie

été les travaux portant sur les conditions d’approvisionnement en matériaux. Le but de ce travail est de présenter les résultats d’observations et de mesures portant sur une population de 68 modelés de coulées de débris, étudiés autour du plateau de Bure, situé à 2 600 m d’altitude, un secteur du massif du Dévoluy dans les Alpes françaises. On recense chronologiquement tous les modelés (entre 1948 et 1997), on les cartographie et on recherche dans les archives météorologiques les circonstances météorologiques

Ces déchets représentent 90% de la totalité des déchets radioactifs. Ils sont à vie courte et d’activité faible ou moyenne. Ils contiennent essentiellement des filtres, des gants et des petits matériel venant de l’exploitation de centrales, de laboratoire de recherche ou des hôpitaux. Ce sont les vêtements des personnels, les équipements peu contaminés et les filtres à air. Ils sont compactés et conditionnés dans des fûts de métal ou de béton. La période de leur radioactivité est inférieure à 300

faisabilité d’un enfouissement souterrain des déchets à moyenne et forte radioactivité) car cet organisme ne correspond pas au positionnement éthique de BILLIOTTE, qui compte déjà parmis ses clients le CLIS (Comité Local d’Information et de Suivi du Laboratoire souterrain de recherche sur la gestion des déchets radioactifs), organisme chargé d’informer objectivement la population locale sur les avancées des recherches d’enfouissement, quelles soient positives ou négatives. L’exemple de BILLIOTTE nous prouve

------------------------------------------------- Le nucléaire en France Introduction Fondé sur la découverte de l’équivalence entre masse et énergie, le nucléaire n’est initialement sorti des laboratoires de physique, en 1942, qu’en vue de ses applications militaires. Dans l’après-guerre, il a permis simultanément de développer une seconde génération d’armes bien plus puissantes que les premières qui a joué un rôle stratégique majeur au cours de la guerre froide, et de mettre en œuvre de très

du pain, Media Graphic, Rennes, 1999 - Laboratoire d’application Chopin, Manuel d’application Mixolab, Analyse Rhéologiques et Enzymatiques, Chopin Technologie, Septembre 2006 - Jean Claude Frentz, Les pains français, Maé Editeur Erti, Valdoie-Belfort, 2003 - Michèle Mosiniak, Roger Prat et Jean-Claude Roland, Du blé au pain, consulté le 16/03/2010, disponible sur www.snv.jussieu.fr/vie/dossiers/bleaupain/pain/03pain.htm - boulangerie.net - Jean Bure, Le Pain, Editiond du CNRS, Paris 1977

futures des risques que présentent ces types de déchets. L'ANDRA ce compose de 500 salariés, trois centres de stockages dont un est en phase de surveillance active , d'un laboratoire souterrain et d'un espace technologique. Leurs missions sont de, gérer les déchets radioactifs de l’industrie électronucléaire, des hôpitaux, des laboratoires et des universités, de rechercher des solutions de stockage pour tous les déchets radioactifs ultimes, d'exploiter et surveiller des centres de stockage sûrs pour l’homme

l’antibiothérapie et des techniques d’explorations, l’hôpital devient un lieu d’hypertechnicité, et l’on assiste d’une part à l’apparition de nouveaux professionnels de santé (diététiciennes, manipulateurs en radiologie médicale, techniciens de laboratoire...) et d’autre part à l’appropriation par les infirmières de nouvelles compétences médicales. Les soins dispensés en série sont centrés sur la maladie ou l’organe atteint. L’hypertechnicité entraîne une hiérarchie professionnelle construite sur

 la  radio  en  1951.  Le  Groupe  de  recherche  de  musique  concrète   devient   le   Groupe   de   recherches   musicales   (GRM)   en   1958,   qui   va   servir   de   laboratoire   à   toutes   les   expérimentations,   pour   aboutir   finalement   à   la   remise   en   question   de   notions   a   priori   évidentes   comme   la   musique,   l'écoute,