Laboratoire d’électronique et de technologie de l’information

(Digital Cinéma) Bon, commençons par définir grosso-modo ce qu'est le "cinéma numérique", et ce qu'il n'est pas. Le cinéma numérique c'est avant tout la traduction de "Digital Cinema", mais surtout le domaine du cinéma qui fait appel à des technologies numériques, faisant elles-mêmes l'objet de recommandations (Digital Cinema Initiative) et de normes en découlant (SMPTE et AFNOR... et probablement d'autres dans d'autres pays que la France). Ces normes font objet d'un format d'image qui utilisent

Stage effectué au Laboratoire de Physique des Laser de l’institut Galilée CNRS UMR 7538 Université Paris 13 Sous la direction de Paul-Eric Pottie en qualité d’Ingénieur de Recherche Du 21 mai 2007 au 30 juin 2007 Projet de lévitation d’une balle par asservissement optoélectronique Remerciements Arrivé au terme de ce stage, je tiens tout particulièrement à remercier : • Charles Desfrançois, directeur du laboratoire, pour avoir bien voulu m’accueillir au sein du Laboratoire de Physique des

1Page Sommaire I. Introduction page 4 II. Historique de l’université page 5 III. Historique Laboratoire de physique des lasers A. L’institut Galilée B. Le Laboratoire de Physique des Lasers (LPL) C. Le groupe COMETA page 7 page 7 page 8 page 10 IV. Mon projet page 12 V. Les éléments optiques A. Le Laser B. Le corps de jumelle C. La séparatrice D. La lentille de focalisation E. La photodiode page 14 page 14 page 14 page 15 page 15 page 16 VI. La

tendances Ces vingt dernières années, les architectures d’automatismes ont très fortement évolué. Ce phénomène s’amplifie avec l’arrivée des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC). Ces changements successifs sont dus, d’une part, à l’évolution des besoins des utilisateurs, et d’autre part au développement des technologies. Par utilisateurs, il faut entendre tous les intervenants : architectes réseaux, intégrateurs, metteurs en œuvre, exploitants, équipes de maintenance

différencient par la synergie multi-compétences tant sur les volets métier que technologique. Depuis sa création en 1970, CBI a toujours eu une démarche d’optimisation des systèmes de l’information. Son offre globale solutions en produits et services est demeurée centrée au fil des années sur les technologies de l'information et n'a cessé de s'enrichir en intégrant les dernières innovations afin de pouvoir répondre aux besoins de ses clients et d'être toujours en avance dans un monde en perpétuelle mouvance

50 École centrale de Lyon ……………………………………………………………50 École centrale de Nantes …………………………………………………………50 École nationale des Ponts et Chaussées ……………………………………… 50 Institut national des sciences appliquées de Rouen ..………………………… 51 Université de technologie de Compiègne ……………………………………… 51 7. Institut de Veille Sanitaire …………………………………………………….. 53 8. Informations concernant plusieurs établissements ………………………… 54 Centre Quetelet …………………………………………………………………… 54 Institut de recherche en informatique

Les services de l’Etat en Région, à travers Messieurs Francis IDRAC, Préfet de la Région Aquitaine, William MAROIS, Recteur de l’Académie de Bordeaux, Chancelier des Universités d’Aquitaine, André TOUBOUL, Délégué Régional à la Recherche et à la Technologie pour l’Aquitaine, pour l’attention constante qu’ils ont portée au projet ; Le Conseil Régional d’Aquitaine, à travers son Président Alain ROUSSET pour son implication dans le projet, et pour le soutien continu apporté par ses services ; La Communauté

Techniques de l'Ingénieur be8579 p2645 Spectrométrie de masse - Principe Électricité photovoltaïque - Matériaux et marchés et appareillage 10/01/2013 Date de publication : 12/09/2014 Par : Abdelilah SLAOUI Guy BOUCHOUX Directeur de recherche, Laboratoire des Sciences de l'ingénieur, de l'informatique et de l'imagerie Professeur à l’université Paris de XI (Orsay), École Polytechnique, DCMR, Palaiseau (ICUBE), CNRS et Université Strasbourg Michel SABLIER Chargé de recherches au CNRS, École Polytechnique

localisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 – Un concentré de technologies embarquées : le cœur artificiel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24 Quartiers, bâtiments et maison . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

UNIVERSITAIRE (ANNEES 1960). PROLEGOMENES D'UNE ............................... 20 SCIENCE ACADEMIQUE ............................................................................................................................. 20 1.2.3- ACADEMIE ET TECHNOLOGIE : DEVELOPPEMENTS SEPARES................................................. 25 Expansion et massification des Universités (1970-90) : la dynamique académique...................................... 25 1.3- VERS L'UNIFICATION DU CHAMP SCIENTIFIQUE