Laborem exercens

l'a toujours entendu dans le contexte plus vaste du droit commun de tous à utiliser les biens de la création entière : le droit à la propriété privée est subordonné à celui de l'usage commun, à la destination universelle des biens » (encyclique Laborem exercens, n° 14. Voir aussi : CEC n°2444-2448). L'église considère que ce principe ne s'oppose pas au droit de propriété, mais indique la nécessité de le réglementer. Pour nous JD la tache est rude car mettre l’économie au service de l’homme c’est bien

du travail, 1996-6. Jean Boissonnat, Le travail dans 20 ans. Rapport pour le Commissariat général au Plan, Odile Jacob, 1996. Jean-Louis Laville, Une troisième voie pour le travail, Desclée de Brouwer, 1999. Jean-Paul II, Le travail humain. Laborem exercens, Éd. du Cerf, 1981. Jérémy Rifkin, La fin du travail, Paris, La Découverte, 1996. Karl Marx, Les manuscrits économico-philosophiques de 1844, trad. Franck Fischbach, Paris, Vrin, 2007 Marie-Dominique Chenu, Pour une théologie du travail, Seuil

XIII — à dire « le mot qui lui revient » sur les questions de la vie sociale. Continuant à élaborer et à actualiser le riche héritage de la doctrine sociale catholique, le Pape Jean-Paul II a publié, pour sa part, trois grandes encycliques — Laborem exercens, Sollicitudo rei socialis et Centesimus annus —, qui constituent des étapes fondamentales de la pensée catholique en la matière. Pour leur part, de nombreux évêques, dans chaque partie du monde, ont contribué ces derniers temps à approfondir

(text. č. 19) (Pavel VI.) (obr. č. 29) 1968 Vydání encykliky Humanae Vitae (text. č. 20) (Pavel VI.) 1968 Umírá Romano Guardini (obr. č. 30) 1968 Umírá Karl Barth (obr. č. 31) 1976 Umírá Rudolf Bultmann (obr. č. 32) 1983 Vydání encykliky Laborem exercens (text. č. 21) (Jan Pavel II.) (obr. č. 33) 1986 Vydání nového Kodexu kanonického práva 1987 Vydání encykliky Sollicitudo rei socialis (text. č. 22) (Jan Pavel II.) (obr. č. 33) 1989 Pád komunistického režimu ve střední a východní Evropě

dénonce l’oppression des plus pauvres et les inégalités criantes qui existent dans le monde. JP II met en garde contre le capitalisme sauvage en tant qu’application inhumaine du libéralisme. Dès sa première encyclique sociale sur le travail Laborem Exercens en 1981, JP II fait le constat que l’essor de nouvelles technologies dans le monde du W est devenu patent pour l’homme puisqu’il asservit l’homme à la technique (sorte de nouvelle rév industrielle) et supprime des emplois. De plus, il constate

au progrès. » (Sandór Maraï) - « Le progrès et la catastrophe sont l'avers et le revers d'une même médaille. » (Hannah Arendt) Le travail - « Le premier fondement de la valeur du travail est l’homme lui-même. » (Jean-Paul II, Encyclique Laborem exercens, 1981) - « Le travail permet d’éloigner de nous trois grand maux : l’ennui, le vice et le besoin ». (Voltaire, Candide) - « La division du travail, aussi loin qu’elle peut y être portée, donne lieu à un accroissement proportionnel dans la puissance

moindre mal : personne "ne consentirait à échanger contre une région étrangère sa patrie et sa terre natale, s’il y trouvait les moyens de mener une vie plus tolérable" [11]. L’expression juste de "mal nécessaire" est employée par Jean-Paul II dans Laborem Exercens en 1981 : "l’émigration est sous certains aspects un mal", qui peut être "en des circonstances déterminées ce que l’on appelle un mal nécessaire". En 1985, le Saint-Père rappelle, après avoir énuméré les méfaits du déracinement, "qu’on ne peut

préparation la panacée pour le problème social -un rêve qui s'est évanouit avec le temps. Le magistère pontifical, en commençant par l'encyclique de Léon XIII: Rerum Novarum (1891), jusqu'à la trilogie d'encycliques sociales de Jean-Paul II: Laborem, Exercens (1981), Sollicitudo Rei Socialis (1987) Centesimus Annus (1991), a affronté avec toujours plus d'insistance le problème social, et s'est confronté avec les situations problématiques toujours nouvelles, et il a développé une doctrine sociale très

lui ouvre l’accès à une certaine sainteté : « Par le travail non seulement l’homme transforme la nature en l’adaptant à ses propres besoins, mais encore il se réalise lui-même comme homme et même dans un certain sens, il "devient plus homme" » (Laborem Exercens n°9). Le fait que Jésus ait été fils de charpentier donne une dimension spirituelle au travail (après bien des controverses, on a heureusement renoncé à lire Bible comme une description des origines historiques de l’humanité et reconnu que le

Pologne Walesa à la permission de rencontrer le pape en 1981, il affirme alors que « sans l'Eglise rien ne peut se passer » en Pologne[A 117],[D 20] Jean-Paul II publia sa première encyclique sociale entièrement consacré à la question du travail, Laborem Exercens[13]. Il affirme dans cette encyclique la supériorité du travail sur le capital, définissant une anthropologie catholique du travail. Il affirme aussi la légitimité des syndicats[A 118]. Par cette encyclique il montre son soutien à la cause polonaise